Souvenir de la République Populaire Démocratique de Guyane et de sa Présidente à Vie, Christine Taubira

Louis Philippe, Monarchie de Juilet
Sous la Monarchie de Juillet, ces caricatures et ce manque de respect pour le Souverain étaient parfaitement tolérés ; sous FLANBY et TAUBIRA, elles vaudraient à leur auteur la peine de mort !

Et la farce continue conformément au plan machiavélique ourdi par le  « Cabinet noir » élyséen pour victimiser le Front National et pousser les électeurs traditionnels de la droite démocratique à le rejoindre, assurant ainsi la victoire Marine Le Pen au premier tour des élections présidentielles et le triomphe assuré du champion teint de la démocratie totalitaire, prolétarienne et vaguement ennemi du monde de la finance, au second.

LES PERSONNAGES :

  • Au départ, une blague de potache d’une membre du FN (candidate aux Municipales à RETHEL !), présentant sur sa page personnelle FACEBOOK le portrait d’une adorable petite guenon à côté de celui de l’Indépendantiste guyanaise Christiane Taubira.
  • Ensuite, le parti indépendantiste guyanais WALVARI, crée par Christine Taubira pour la satisfaction de ses ambitions personnelles guyanaises, dont elle est Présidente d’Honneur à vie
  • Le premier rôle échoit évidemment à Christine TAUBIRA, Juge et partie dans cette affaire, Garde de la Tinette (seau dans lequel on fait ses besoins), qui décide de la carrière et de l’avancement des Magistrats,
  • Enfin, le Tribunal de Grande Instance de Cayenne, présidé par un membre éminent du Syndicat de la Magistrature et obligé de sa Ministre (bien sûr, dans le fief même de la Ministre, il faut présenter quelques garanties … !)

LE DRAME SE NOUE :

  • WALVARI, pour l’honneur de sa Présidente indépendantiste, dépose une plainte à CAYENNE contre Anne-Sophie LECLERE et le FRONT NATIONAL
  • Ni Anne-Sophie LECLERE, ni le Front National, ne trouvent sur place le moindre avocat qui accepte de les défendre à l’audience programmée à Cayenne le 08.06.2014 (défendre une telle cause serait s’exposer à une agression à la machette suivant la grande tradition démocratique locale)
  • En l’absence de la prévenue et du parti incriminé, non représentés faute d’avocats, WALVARI, téléguidé à distance par sa marionnettiste,  se présente avec six Avocats et une floppée de militants tenant à affirmer combien cette blague les a heurtés et blessés : le FRONT NATIONAL doit être interdit !
  • Le Procureur de la République, qui doit complaire à son Ministre et supérieur hiérarchique, prend des réquisitions d’une extrême sévérité, uniques dans l’histoire de la justice française – (même au XIXe siècle lors de la Restauration, de la Monarchie de Juillet ou sous le Second Empire, on n’a jamais connu tel extrêmisme !) en réclamant une peine de 4 mois de prison ferme et 5000 € d’amende, 
  • Le SYNDICAT de la MAGISTRATURE en rajoute encore par l’intermédiaire de son militant, Président du TGI de CAYENNE, qui condamne Anne-Sophie Leclere à l’invraisemblable peine 9 mois de prison ferme, 50.000 € d’amende et cinq ans d’inéligibilité et le FRONT NATIONAL à 30.000 € d’amende 🙂
  • Contrairement aux voyous, assassins, trafiquants de stupéfiants, braqueurs, djihadistes, violeurs et autres pédophiles, elle ne bénéficiera pas d’une peine aménagée avec port du bracelet électronique ; l’administration carcérale de Mme TAUBIRA réfléchit à une réouverture du bagne de Cayenne, notamment de l’Ile du Diable,  à son usage exclusif ; cela vengerait à la fois Jean Valjean et d’Alfred Dreyfus … et ouvrirait la voie glorieuse du Panthéon à Mme TAUBIRA !

LE DENOUEMENT (PROVISOIRE ?)

Ce Jugement est évidemment purement politique, inique, grotesque et ridicule ! Bravo Mr Bruno LAVIELLE, Président du TGI de CAYENNE pour cette magnifique pierre dans le jardin d’une Justice libre, indépendante et impartiale ! Dans le pays des bouffons de  cour, des « fous du roi », l’insolence envers le pouvoir a toujours été érigée en principe (souviens-toi que la roche tarpeïenne est proche du Capitole, susurrait lors du triomphe du Général vainqueur l’esclave son oreille !), constituait un droit fondamental et une nécessité, illustré par des maîtres aussi illustres que TRIBOULET. Jamais, même au-cours des siècles les plus implacables (au XIXe siècle par exemple, lors des périodes les plus répressives contre les Républicains – Restauration, Monarchie de Juillet, Empire – , on n’avait connu justice aussi aveugle et révoltante !) ; une constante historique à retenir cependant : les excès et les outrances d’un camp justifient toujours à l’avance les excès et les outrances du bord opposé. Ainsi naissent les Guerres de Religion, les Révolutions, l’absolutisme, le fascisme, le national-socialisme et le communisme, les coups de force, les coups d’état, les « pronunciamentos » et tous ces mouvements sanglants où chacun se mure aveuglément dans ses certitudes et son sectarisme, déniant tout droit aux idées opposées de s’exprimer, quitte à les détruire et brûler comme Hérétiques sur les bûchers de l’Inquisition Taubirale ! Mais BOZZO et TAUBIRA sont contents ; dans un pays démocratique apaisé, ils ont lâché les démons de la discorde et de la dissension, volontairement opposé les unes aux autres les factions rivales, les communautés, les courants philosophiques, les religions, les écoles, les sexes (et même le troisième !),  voire les multiples maîtresses présidentielles.

Attiser toutes les haines pour survivre et garder le pouvoir, fût-ce au prix de l’abaissement total  et du naufrage de la Nation, tel est leur unique programme et leur idée fixe ! « Divide et Impera », diviser pour régner ; FLANBY, faute de mieux n’a pas oublié le vieil adage du Sénat romain, et se montre fidèle aux enseignements du Diable de Solutré, Grand dignitaire de la Francisque, protecteur et ami de Bousquet !

  • localement WALVARI réaffirme son attachement à sa Présidente à vie et démontre qu’il est le seul parti local à défendre l’honneur des guyanais !
  • au plan national, le SYNDICAT de la MAGISTRATURE réaffirme une nouvelle fois sa totale soumission au régime de gauche et son jusqu’au boutisme politique en tant qu’acteur de la révolution prolétarienne !

Le message subliminal délivré par le Syndicat de la Magistrature est clair :

Que notre message soit clairement entendu par Nicolas SARKOZY et les partis de la droite républicaine. La démocratie, la loi et la justice, on s’en fout !  Nous, c’est la guerre que nous menons, une lutte à mort pour laquelle seules deux issues sont possible : soit le SYNDICAT de la MAGISTRATURE vaincra et éliminera à tout jamais les ennemis de la gauche plus ou moins prolétarienne, installant le pays dans une dictature des Juges ; soit les cadavres de ses membres joncheront le champ de bataille ou seront suspendus à des crochets de bouchers ! 

Mais FLANBY et TAUBIRA, la main sur le coeur,  tiennent à réaffirmer qu’à aucun moment ils n’ont été informés de la situation, bien que parties au procès par l’intermédiaire de WALVARI ; les Magistrats qu’ils ont nommé et choisis parmi les membres du Syndicat de la magistrature sont totalement libres et indépendants : leurs jugements politiques ne doivent être ni commentés, ni critiqués et il appartient à chacun de les respecter ! Même JUPPE et Jean-Louis DEBRE l’ont affirmé ; quant à François FILLON, il discute secrètement de son avenir politique avec le Monarque !

Suivre le compte-rendu de l'affaire dans le quotidien guyanais FRANCEGUYANE ; la réaction de Philippe BILGER, ancien Avocat Général près la Cour d'Appel de Paris, et soutien de François Hollande lors des élections présidentielles de 2012 : "Une justice d'exception"