Najat, Janus ministériel à deux visages !

« Elle s’appellerait Claudine Dupont, elle ne serait peut-être pas là. Elle doit assumer son identité et en être fière. »
Ségolène Royal

L'énigme
La femme aux deux visages

Quelle est-elle vraiment ?
Au Maroc, son pays de naissance et de coeur, où elle a vécu jusqu’à l’âge de quatre ans, c’est une femme soumise comme les autres,  musulmane, voilée, docile et silencieuse, acceptant sans révolte que Boris VALLAUD doive se convertir à l’Islam pour l’épouser et que l’homosexualité soit encore de nos jours poursuivie et condamnée comme délit pénal ;
En France, désinhibée, belle et provocante dans ses tenues de haute couture, franc-maçonne, laïque, alliée des « femens » pour outrager les lieux de culte catholique,  combattante du « Mariage pour tous », de la Gestation pour Autrui, de la Procréation Médicalement Assistée, c’est une féministe ultra, adepte de l’enseignement de la « théorie des genres » dans les écoles maternelles avec son ABC de l’EGALITE, qui a fait voter une loi pénalisant les adultes majeurs clients des prostituées consentantes
Au titre de Ministre de l’Education auquel elle accède sans autre expérience que celle d’assistante parlementaire, puis de Ministre des droits de la femme, elle souhaite que l’école s’attaque aux stéréotypes « inculqués » par les parents aux enfants en matière de différenciation filles-garçons, alors qu’elle-même élève ses propres enfants dans le respect des stéréotypes les plus éculés de l’Islam. Certainement promue trop jeune et sans expérience,  à des postes éminents, en raison de son charisme, de son charme et de son sourire permanent et apaisant qui excusent les énormités qu’elle peut proférer, mais surtout à titre de représentante de la bien-pensante « diversité » culturelle qui, après un bac ES, lui a ouvert les portes de Sciences Po grâce au recrutement par la troisième voie, la fameuse « discrimination positive » réservée aux enfants issus de l’immigration. Par contre, deux échecs à l’ENA qui n’a pas de concours réservé !
Elle n’a conduit aucune réflexion personnelle, produit le moindre mémoire sur l’Education Nationale telle qu’elle souhaiterait la voir évoluer ; en conséquence, elle promeut la philosophie libertaire de ses mentors, Vincent Peillon et Christiane Taubira, et suivra sans discuter les instructions des syndicats enseignants.
Une chose est sure cependant, elle ne dérangera pas la quiétude sociale-libérale du gouvernement par ses frasques et sera toujours d’accord avec la politique voulue par le Président de la République, même si elle implique des virages à 180° et des contradictions totales en-cours de mandat ! Elle aura toujours son sourire éclatant et la blancheur de ses dents pour faire front à ses détracteurs. Non, le danger qui la guette à ce poste très exposé, c’est un excès de transparence, un manque d’expérience, de compétence et de personnalité pour cette mission éminente, car l’obsession des seules égalité « filles-garçons », et formations obligatoires de nos enfants à la « théorie des genres » constituent un socle bien trop étroit et clivant pour un programme d’action ministériel dans l’éducation nationale. Elle ne pourra se limiter à répéter comme un perroquet les sermons maçonniques de Manuel Valls,  Vincent Peillon, Christiane Taubira ou de son mari Boris Vallaud pour formater et contrôler les cerveaux de nos enfants, ni s’abriter éternellement derrière son charisme ravageur pour répondre aux inquiétudes des parents.

 

Si Christiane TAUBIRA, qui a présenté et défendu la loi sur "Le mariage pour tous" devant la représentation nationale, a monopolisé l'attention durant le premier semestre 2013, Najat VALLAUD-BELKACEM a su par son extrêmisme et sa volonté de déchirer le tissu national, devenir la championne de l'enseignement de la Théorie des Genres dans les écoles de la République Française.
Son obstination lui a valu plusieurs surnoms peu amènes, tels que «Khmère rose», «idéologue du genre», «égérie des ABCD de l'égalité»… 
Elle lui a également attiré la réputation de menteuse patentée et cynique, tant ses changements de cap en fonction des circonstances, sont indécents !
Le 11 août 2011, à titre de secrétaire nationale du PS en charge des questions de société, elle déclarait sur "20 Minutes.fr" à la question posée :

En quoi la «théorie du genre» peut-elle aider à changer la société ?
« La théorie du genre, qui explique «l’identité sexuelle» des individus autant par le contexte socio-culturel que par la biologie, a pour vertu d’aborder la question des inadmissibles inégalités persistantes entre les hommes et les femmes ou encore de l’homosexualité, et de faire œuvre de pédagogie sur ces sujets. » Lire l’intégralité du document

Le 6 juin 2013, alors que sa volonté d'imposer l'enseignement de la "théorie des genres" au moyen de "l'ABC de l'Egalité" de manière subreptice dans le cadre du projet d' Aménagement des Heures scolaires, provoque une violente réaction de rejet des parents d'élèves, elle fait preuve de son cynisme le plus total et d'une incroyable impudence , en affirmant publiquement lors d'un débat télévisé :

« La théorie du genre n’existe pas »

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