Quel plaisir de lire que l’oeuvre du plasticien homosexuel Paul Mac Carthy, « Tree », représentant un plug anal de 26 mètres de haut, qui avait été impudemment et publiquement érigée Place Vendôme à l’occasion de la FIAC, avec l’accord et le soutien des « Fofolles » de la Mairie de Paris, avait été dégonflée et que l’artiste renonçait à l’exposer dans un espace public urbain..
- Que cet artiste « d’avant-garde » crée avec le soutien de la Mairie de Paris des oeuvres dans des espaces privés ou des galeries où se pressent des amateurs éclairés sachant à l’avance qu’ils viennent se délecter d’oeuvres pornographiques homophiles peut être, selon ses convictions, moralement blâmé ou glorifié, mais non condamné sur un plan taubiro-légal.
- Qu’une collectivité locale impose ces oeuvres provocatrices dans des espaces publics, aux frais du contribuable, est une gifle intolérable pour le citoyen, d’autant plus que de telles créations ne peuvent être comprises et appréciées que par une élite de gauche pervertie, les journalistes de la presse Bergé, MediaPart et ceux des groupes audiovisuels CANAL PLUS et du SERVICE PUBLIC subventionnés avec l’impôt, tous ces « people » qui vivent en concubinage avec l’élite politique des « socialos-bobos ». Mais elle ne sauraient être à la portée des « imbéciles », « sans dents », « illettrés » et autres « pauvres », ces populistes « homophobes », « fascistes » , « racistes » et « antisémites » se déplaçant en bus ou autocars, qu’elles viennent publiquement agresser pour se gausser de leurs « réactions primaires » !.
D’autant que l’artiste est déjà connu, puisque la provocation sexuelle pornographique est son fond de commerce et qu’il sévit depuis 1974 lorsqu’il s’est filmé en pleine « création », s’enduisant tout le corps de mayonnaise, ketchup, d’urine et de ses matières fécales pour composer l’illustre « Painting Wall Ship », « Painter » en 1995, ou bien en 2005 lorsqu’il s’est publiquement sodomisé dans un espace public en s’introduisant une poupée Barbie dans son fondement fort large et extrêmement souple du fait de ses pratiques !
Ses créations les plus universelles sont l’étron géant, « Complex Shit », une merde de chien gonflable haute de quinze mètres, qui fut brièvement exposée au « Zentrum Paul Klee » à Berne avant qu’une tempête de vent ne l’arrache et ne l’envoie 180 mètres plus loin dans un centre d’accueil d’enfants, au risque de les blesser ; ou bien le remarquable (pour lui !) « Train Mechanical » représentant un Georges Bush bedonnant sodomisant une truie !
Des oeuvres de haute valeur morale, humaine, artistique, esthétique et culturelle, parfaitement adaptées au brillant esprit de la ville la plus « gay friendly » de la planète, organisatrice à nos frais des « Jeux Gays de 2018 » ! ; le Chef de l’Etat, ce « grand fornicateur motorisé », même s’il n’a que très peu de goût pour l’art moderne, ne pouvait rester inerte face à un tel déchaînement d’obscurantisme qui fait hurler la nomenklatura des tafioles, pédérastes et autres pédophiles qui monopolisent les médias et disposent de l’espace public parisien ; aussi, hier, lors de l’inauguration de la fondation Louis Vuitton, consacrée elle aussi à l’art moderne mais d’une toute autre veine, s’est-il fendu de l’un de ces discours boursouflés et prétentieux, pleins de suffisance et de forfanterie, qui marqueront à jamais son quinquennat raté :
« La France sera toujours aux côtés des artistes comme je le suis aux côtés de Paul McCarthy, qui a été finalement souillé dans son oeuvre ».
Donc, pour punir les « sans dents » qui se sont sentis humiliés par cette exposition médiocre et outrageante, le Chef de l’Etat s’est engagé à porter sur sa tête le plug anal personnel prêté par son ami Pierre Bergé, grand amateur de ces instruments de délice !
Mais la question centrale est de connaître qui et sur quels critères, au sein de la Mairie de Paris, a pris la décision de privilégier au dépens d’autres artistes, Paul Mc Carthy, et d’ainsi faire exploser la valeur marchande de ses créations en exposant sur la prestigieuse place Vendôme son « plug » anal, le scandale ainsi délibérément crée devant inévitablement multiplier la valeur de ses « oeuvres » scatologiques.
Il serait opportun que Monsieur Bruno JULLIARD, précédemment agitateur-provocateur au sein des mouvements lycéens pour le Parti Socialiste, désormais Premier Adjoint et éminent représentant de la communauté homosexuelle parisienne, en charge de la Culture, plutôt que de pousser ses habituels cris d’orfraie et déverser sur toutes les ondes sa bienpensance dégoulinante quant à la mise en cause de la liberté de création de l’artiste, nous renseigne sur les conditions consenties à Mr Mc Carthy et nous indique ce qui a été contractuellement acté au titre de contrepartie pour la ville hôte : l’artiste reversera-t-il à la Mairie de Paris une portion des bénéfices que cette exposition publique va lui permettre d’engranger, ou sont-ce les notables socialistes, qui lui ont offert sur un plateau d’argent les clés de la Place Vendôme qui profiteront personnellement de ses largesses ?
Peut-être un moyen de couvrir une partie des 400 millions d’euros manquant à la Ville pour boucler son budget ?