Comme chacun peut le constater depuis deux ans et demi, le néo-socialisme n’a plus aucun point commun avec le socialisme de nos anciens, tel qu’il se manifestait dans nos jeunes années. C’était alors des ouvriers, des artisans ou commerçants, de petits fonctionnaires, de modestes gens qui en étaient l’émanation dans nos villes et villages ; des gens honnêtes, généreux et courageux, disponibles pour les plus faibles de notre société ; des gens respectables en tout cas, quelle que soit notre opinion !
Mais insensiblement, après que la direction eut été investie et conquise par des trotskystes issus de la mouvance post « soixante-huitarde », des délinquants qui cheminèrent au sein des associations lycéennes ou étudiantes dont ils prirent insidieusement le contrôle afin de les utiliser comme coffre-fort et les vider de leur substance et de leurs moyens en détournant à des fins personnelles les fonds dont elles disposaient (CAMBADELIS – 2 condamnations judiciaires définitives – DESIR – une condamnation définitive -, Julien DRAY – un rappel à la loi pour des dépenses somptuaires réglées par la carte bancaire de mouvements lycéens – Jean-Marie LE GUEN, impliqué mais non condamné), surnommés les « RAPETOU de la POLITIQUE » ou « LA BANDE DES QUATRE ». Ces gens-là, qu’utilisa et manipula François MITTERRAND pour tous ses mauvais coups contre ses adversaires politiques, ont infesté et colonisé de l’intérieur le Parti Socialiste, conquis les postes de responsabilité, l’ont pourri et asséché jusqu’à le transformer en une autre entité totalement différente.
- Ils incarnent le socialisme d’aujourd’hui, avec cette « novlangue » héritée du jargon des syndicats de l’éducation nationale,
- cette bienpensance désespérante qui n’est qu’émotion feinte et superfétatoire pour jouer la comédie médiatique,
- cette pensée unique urticante déniant à toute expression originale la possibilité de s’exprimer sans que son auteur ne soit immédiatement taxé de « beauf », « fasciste », « antisémite », « raciste », « homophobe » ;
- cet accaparement de la presse de gauche (subventionnée par l’état, car cela limite les investissements !) et des médias audiovisuels entre les mains de « rastignac » arrivistes constitués dn groupe financiers « de gauche » que sont Pierre Bergé – Xavier Niel – Matthieu Pigasse qui en attendent de fructueux retours sur investissement pour leurs affaires professionnelles, après les avoir placés au service exclusif de la « bienpensance » et du communautarisme LGBT, concubinage malsain qu’il faudra bien un jour dénoncer les conflits d’intérêt, puisque ce ne sont sûrement pas les magistrats du Syndicat de la Magistrature ou Christiane TAUBIRA qui le feront ;
- enfin, cette présence permanente et étouffante des hérauts de la pensée unique dans les médias : l’information bien sûr totalement cadenassée pour censurer, taire, minorer ou falsifier les annonces de tout fait contraire à leurs intérêts ; mais aussi dans des domaines aussi anodins que la variété ou Laurent RUQUIER, parce qu’il est homosexuel et de gauche, règne sans partage sur le service public, avec des complices aussi détestables qu’Aymeric CARON ou Nicolas BEDOS, tenant en permanence des propos hostiles aux adversaires du pouvoir et caricaturant sans vergogne leurs propositions ; mais aussi Anne-Sophie LAPIX, Elisabeth QUIN, Patrick COHEN, et la « tâche » journalistique absolue, le summum de la vacuité intellectuelle, Frédéric HAZIZA, qui limitent leur déontologie journalistique au service des intérêts de leur chapelle communautaire et la censure immédiate de toute opinion autre que la leur.
- Et je ne parlerai pas des excès permanents de CANAL PLUS, avec sa présentation d’une information dirigée et manipulée par sa chaîne I’TELE avec Audrey PULVARD en tête de gondole, et des émissions à sens unique que sont LE PETIT JOURNAL, NULLE PART AILLEURS ou celles de Maïtena BIRABEN avec ses commissaires politiques !
- Dans les émissions littéraires, il est difficile d’échapper à des auteurs aussi pompeux que Henry Bernard LEVY, Pierre Marc BENHAMOU, ou Jacques ATTALI dont les engagements politiques sont bien connus, alors qu’en matière théâtrale, les seuls intervenants autorisés se limitent au couple homosexuel Jean Michel RIBES (Théâtre du Rond Point) et Olivier PY (Festival d’Avignon), amis personnels du clown BOZZO et du budget de l’Etat qui subventionne leurs activités !
Et quelle image plus attrayante pour le néo-socialisme que ce Conseil Municipal de PARIS, dirigé par un Maire atteinte du syndrôme de Stockholm du fait de son péché originel d’hétérosexualité, dans un Conseil entièrement pétri à son image par Bertrand DELANOE, l’ancien maire homosexuel, aujourd’hui contrôlé et dominé par le lobby LESBIEN-GAY-BISEXUEL-TRANSEXUEL.
Oui, le néo-socialisme et l’image qu’il donne de la France, c’est cela :