Depuis la campagne 2011 des primaires socialistes, c’est un torrent de boue et de matière fécale qui submerge notre démocratie, à l’initiative du clown BOZZO, devenu par accident Président de la République.
Pour lui, en effet, faire de la politique c’est mentir, mentir toujours, tout le temps, et à tout le monde ; et ce aussi bien dans le domaine de sa vie privée, sa famille, à ses proches, à son parti, aux citoyens et électeurs de ce pays, aux institutions régaliennes, et bien sûr à ses adversaires au sein de son parti et plus encore à ceux de l’opposition, quitte à manipuler l’opinion et utiliser la puissance de l’état pour les déshonorer et détruire les valeurs qu’ils incarnent
Présenté comme « Première Dame de France » pendant la campagne pour les élections présidentielles 2007, il s’est prêté à cette mascarade en jouant ce rôle sur les estrades publiques, alors qu’il ne vivait plus depuis deux ans avec la mère de leurs quatre enfants, qu’il avait quittée pour une journaliste ; il se mit ensuite en retrait pour se composer un personnage nouveau, maigrir, changer de tailleur, teindre ses cheveux, changer la monture de ses lunettes et surtout prendre des cours de théâtre pour imiter désormais tant dans la parole que dans la gestuelle, son maître François Mitterrand.
Il ne dut qu’au dérangement mental priapique de son adversaire, Dominique Strauss Kahn, d’être désigné candidat du Parti Socialiste, puis d’être élu ; la première partie de son mandat fut une errance pathologique, un déni permanent quant à l’état du pays, une catastrophe pour la France qu’il ruina économiquement, dont il multiplia le nombre des chômeurs et assomma d’impôts, causant l’appauvrissement des citoyens, l’explosion de la dette, et la fuite des élites à l’étranger. Par des réformes sociétales insensées et par son refus de donner la parole au peuple, il cliva comme jamais depuis les guerres de religion et la révolution française la France, qu’il ridiculisa et déshonora à l’étranger par une vie privée dissolue et amorale, digne du théâtre de boulevard, qui fut exposée à la Une des Journaux de la Planète.
Le seul point où il connut quelques succès fut la prise en main et la mise sous tutelle de la Presse de gauche subventionnée, qui passa entre les mains du groupe BNP (Bergé – Niel – Pigasse), tous en affaire avec ce gouvernement, qui leur remboursa généreusement leurs investissements aux frais du contribuable, et du groupe Mediapart crée par son ami Edwy Plenel, nègre de son livre de campagne électorale, qui obtint en échange accès permanent aux dossiers d’instructions judiciaires mettant en cause les adversaires politiques du pouvoir, dont il publia au mépris du principe de secret de l’instruction, les meilleures pages dans sa revue.
Déjà contrôlés par ses amis du lobby « lesbien – gay – bisexuel – transexuel, les groupes multimédia FRANCE TELEVISION (avec ses cinq chaînes de télévision nationales, ses 24 antennes régionales France 3, ses neuf stations radio et ultramarines), ainsi que le groupe subventionné CANAL PLUS, (création socialiste à l’intention de la gauche bobo) furent réduits au rôle de courroies de transmission du Parti Socialiste et du Gouvernement, seuls les journalistes soumis au parti dominant de la bienpensance pouvant y travailler et s’y exprimer, à l’exemple d’une Audrey PULVARD, d’un Lionel HAZIZA, d’une Patrick COHEN, d’une Anne-Sophie LAPIX ou d’une Maïté BIRABEN, parmi bien d’autres ! Par l’intermédiaire du syndicat maison, le « syndicat de la magistrature », dont les adhérents obtinrent les postes clés du Ministère de la Justice, et de la Présidence de la section du Contentieux du Conseil d’Etat, dévolu à un militant ayant fait ses preuves à la fin des années 1990 dans le gouvernement de Lionel Jospin, le Président avait en main toutes les manettes pour réduire l’opinion à sa merci et la manipuler dans le sens qui lui convenait.
Cette toute puissance s’accompagnait au plan législatif par une majorité écrasante à l’Assemble Nationale et au Sénat de la République, qui plaçaient entre les mains d’un homme « normal » tous les leviers de la République ! Mais son impuissance et son incurie furent telles, que même dans une telle situation inespérée, il se retrouve avec 13% d’opiions favorables, la plus faible jamais connue par un Président de la République !
Alors, il fait ce qu’il sait mieux le faire, il magouille, il triche, il ment ; il coule le pays, le saigne, mais parvient néammoins dans ce contexte à s’accrocher au pouvoir ; incapable de diriger, il prend pour cible son adversaire privilégié, celui qu’il a battu en 2012 et rêve de battre à nouveau en 2017. Comme il ne pourra le faire politiquement, il agit par les seuls moyens qu’il maîtrise, les moyens mafieux. Il créa à cet effet à ses côtés à l’Elysée une cellule en charge de l’élimination judiciaire de son adversaire, dénommée par la Presse CABINET NOIR ANTISARKOZYSTE, dont la seule fonction est de traquer dans les archives de l’Elysée et dans les rumeurs de la vie publique toutes les raisons qui pourraient permettre à la Garde des Sceaux la meute de ses protégés du Syndicat de la Magistrature de poursuivre pénalement l’ancien Président pour l’éliminer.
Comme dans toute curée, ces poursuites sont nombreuses, multiples, humiliantes avec les garde-à-vue imposées à l’ancien Chef de l’Etat, font l’objet de violentes campagnes de presse orchestrées par les Groupes BNP et MEDIAPART, relayées par les antennes de FRANCE TELEVISION et les chroniqueurs de CANAL PLUS, dont Audrey PULVARD sur la chaîne d’information I.TELE, dans l’intention unique de détruire le seul adversaire que l’actuel chef de l’état ne voudrait pas affronter en 2017.
L’affaire ridicule et lamentable dont nous sommes les témoins ces jours-ci, avec la parution d’un livre rédigé par deux salariés du groupe BNP, rédacteurs du « Monde » et antisarkozystes notoires, intitulé « SARKOZY S’EST TUER » est une nouvelle preuve de la malfaisance et des manipulations indignes pratiquées par ce Cabinet fantôme.
Le récit par ces journalistes d’un repas fin Juin entre Jean-Pierre JOUYET, Secrétaire Général et meilleur ami du Président, avec l’ancien Premier Ministre François FILLON, au-cours duquel ce dernier l’aurait informé que l’amende infligée à l’ancien chef de l’état pour dépassement des frais de campagne avait été réglée par l’UMP et demandant donc à la Présidence d’ordonner à la Chancellerie une ouverture d’information et d’en accélérer le cours pour parvenir à l’élimination de la vie politique de l’ancien Président pour les prochaines échéances électorales, ayant été mis en doute, ils n’hésitèrent pas à révéler publiquement leur source, le Secrétaire Général de l’Elysée, patron du Cabinet noir.
Celui-ci publia avant hier un communiqué officiel où il démentait énergiquement cette information ! Les deux journalistes vexés faisant en réponse état d’un enregistrement de cette conversation en leur possession, Jean-Pierre JOUYET publia un nouveau communiqué, tout aussi officiel et énergique, où il reconnaissait les termes de sa conversation avec François FILLON, et la demande de ce dernier de faire activer des poursuites contre l’ancien Président.
Quelques jours après ce repas, la Justice ouvrit une nouvelle information contre l’ancien Président.
Mais cette affaire déplorable, indigne et honteuse démontre une nouvelle fois l’existence d’un service à la Présidence de la République entièrement voué à la destruction politique et morale de l’ancien Président, ainsi que ses liaisons dangereuses et sa colllusion avec les Presses écrites des Groupes BERGER-NIEL-PIGASSE (Le Monde, le Nouvel Observateur, Télérama, les Inrocks, etc …) et MEDIAPART, avec les Groupes multimédias FRANCE TELEVISION et CANAL PLUS qui ne cessent de relayer ces informations, la soumission de la Justice de ce pays à l’exécutif, par l’entremise de la Garde des Sceaux Christiane TAUBIRA et du Syndicat de la Magistrature, pour la poursuite d’un projet commun d’élimination politique d’un adversaire auquel ils vouent une haine totale et tenace, au mépris des règles démocratiques qui fondent le fonctionnement de l’Etat français.
C’est avec beaucoup de mesure que l’ancien Président a répondu et réagi à ces nouvelles attaques, dont il a maintenant l’habitude.
Mais il n’en est pas moins évident qu’une côterie politique et le communautarisme LGBT ont pris le contrôle et confisqué la République, déterminés à conserver le pouvoir par tous les moyens, fussent-ils illégaux, malhonnêtes voire mafieux.
A ce jeu là, face à une situation aussi inacceptable qui prend en otage la République et prive les citoyens de leur libre droit à l’information pour leur permettre d’émettre un choix démocratique non manipulé, malgré le flegme et le calme affichés par ceux qui en sont les victimes, les apprentis-sorciers prennent le risque de voir sortir les fameux « crochets de boucher » dans ce pauvre pays qu’ils ont martyrisé, ruiné et humilié.
Qui alors en portera la responsabilité ?