L’actualité nous démontre encore aujourd’hui toute la pertinence du mythe de Sisyphe, de l’absurdité de l’existence humaine déchirée entre l’aspiration à toucher, comprendre et maîtriser tel un Dieu les secrets de notre Univers pour retomber prosaïquement aux réalités les plus consternantes de notre condition.
Parvenir à faire poser en douceur, après dix ans de voyage dans l’espace, un robot de 100 kgs sur un minuscule caillou gazeux perdu dans le ciel à plus de 500.000.000 de kilomètres de la terre, est un exploit incommensurable pour la science humaine ; l’honneur et la grandeur des physiciens et des mathématiciens qui nous élèvent à l’universel, nous pauvres humains, confrontés quotidiennement à la médiocrité et aux magouilles infâmes de « l’homme normal ».
Mais ce que révèle la première photo transmise par le robot « Philae » de la comète « Tchouri » remet en question toutes nos certitudes historiques sur l’exploration du cosmos et l’existence de formes de vies extraterrestres dans l’univers : la découverte avérée sur la comète d’un « plug anal » homosexuel tel que celui qui fait la gloire de l’artiste américain Paul Mac Carthy nous interpelle sur sa provenance : est-il signe de l’existence de civilisations extra-terrestres adeptes, comme les adjoints au Maire de Paris, de la sodomie ? Ou est-ce Paul Mac-Carthy lui-même qui en guillotinant ses poupées BARBIE puis en les enfonçant dans son anus, comme il le fit publiquement en 1995 lors de son exposition au Centre Beaubourg, aurait découvert les secrets du voyage dans le temps et l’espace et aurait déposé le plug anal de Pierre Bergé sur la comète pour en témoigner devant les hommes et l’histoire.
C’est la question énigmatique que la science se pose désormais face à cette découverte incroyable !