Dans son ouvrage « Merci pour ce moment », l’ex-favorite royale répudiée décrit le monarque comme déconnecté de la réalité, amateur de grand luxe., et méprisant pour les petites gens qui l’ont porté au pouvoir et dont il poignarde les idéaux en rigolant.
Elle précise :
« Il aime les grands restaurants (…) les grands hôtels (…), ne mange pas mes fraises si elles ne sont pas des « gariguettes », ne goûte pas aux pommes de terre si elles ne proviennent pas de Noirmoutier, et met directement à la poubelle la viande si elle est sous vide. » Les accusations se font plus personnelles lorsqu’elle lui reproche de l’avoir parfois surnommé « Cosette », et d’avoir « méprisé » sa famille aux origines modestes. « Je me souviens d’un soir , au sortir d’un repas de Noël chez ma mère (…). Il se tourne vers moi, avec un petit rire de mépris, et me jette: « Elle n’est quand même pas jojo, la famille Massonneau. »
Ces quelques paroles de femme blessée avaient provoqué l’hystérie vengeresse des sectateurs de la bienpensance d’état et des médias affidés qui avaient déversé des torrents de boue sur cette femme, sans égard pour la dignité de la personne ni respect pour le calvaire enduré. Aujourd’hui, la Présidence de la République du Kazakhstan publie une photographie de la tenue arborée par le bourreau des « sans dents » lors de sa visite au palais impérial kazakhe. Effectivement, il n’aime pas le luxe et n’a qu’un seul adversaire, le « monde de la finance » comme l’écrivait Aquilino MORELLE dans un discours devenu légendaire !
Photographie officielle publiée sur le site de la Présidence kazakhe, dont les laudateurs de l’autocrate pervers et irresponsable n’ont pas manqué de décliner à l’infini la force émotionnelle pour développer encore le mythe transgressif du clown pathétique.
