Tout homme d’Etat éprouve devant l’histoire le besoin impérieux d’inscrire son action dans la filiation prestigieuse d’un prédécesseur illustre qu’il reconnaît comme modèle et rêve d’égaler.
François MITTERRAND se reconnut dans MAZARIN , dont le génie diplomatique, mais surtout le cynisme absolu et l’absence de tout sens moral l’inspirèrent au point qu’il donna ce prénom à sa fille adultérine. MAZARIN eut également le génie et la pré-science de distinguer précocement pour les former et les mettre à son service personnel deux des plus grands commis de l’état de l’histoire de France, COLBERT et Nicolas FOUQUET (la « Couleuvre et l’Ecureuil »), qui firent leurs preuves en pillant méthodiquement à son profit le pays pour lui bâtir une des plus colossales fortunes personnelles que le pays eut jamais connu !
François MITTERRAND durant ses deux septennats sut également adroitement faire usage de la richesse nationale au profit de ses amis, de ses copains et coquins, de sa famille, de son parti, tant les scandales financiers parsèment ses septennats. Mais son cynisme politique de grand bourgeois et homme de droite, devenu premier Président de « gauche » de la Ve République, se manifeste surtout par son soutien au Maréchal Pétain et au régime de Vichy qui l’en remercièrent en l’honorant dès 1943 du prestigieux ordre de la Francisque, auquel il resta fidèle et loyal jusqu’à la fin de sa vie en faisant fleurir sa tombe par le représentant de l’Etat tous les XI Novembre, et surtout par l’amitié qui le lia et le soutien qu’il apporta à l’organisateur de la Rafle du Vel d’Hiv, René BOUSQUET.
C’est en voyant la photo officielle du Maréchal PETAIN distinguant en 1943 à VICHY le serviteur zélé de l’Etat français qu’était François MITTERRAND que son héritier et successeur, FLANBY dit BOZZO le CLOWN PATHETIQUE, exigea que son service de Presse fit campagne pour établir que lui-aussi avait été distingué par l’illustre soldat ; il proposa que l’hymne « MARECHAL NOUS VOILA » fut désormais interprété le 14 Juillet sur les Champs-Elysées en place de l’hymne national ; mais c’est finalement cette carte où le Maréchal félicite de sa main l’enfant FLANBY pour le dessin qu’il lui a offert à l’occasion de NOEL qui fut choisie et diffusée partout dans le pays.