Louis-Philippe, « roi des français », qui se voulait simple et modeste, républicain en sus qui se proposait d’apaiser le pays en mettant un terme aux terribles convulsions qui le saignaient depuis sa naissance en 1773 ! ; dont le père dépravé, Philippe d’Orléans (Philippe Egalité) avait voté le mort de Louis XVI, transformé son « Palais Royal » en lupanar, et soutenu les partis les plus extrêmistes de la révolution française avant d’être lui-même décapité en 1793.
Bien pensant plein de bonnes intentions, Louis-Philippe appauvrit encore les misérables classes laboreuses qui le chassèrent en 1848 puisqu’il refusait par principe et avec honneur de leur faire tirer dessus par la troupe (son Ministre GUIZOT leur avait conseillé cyniquement « Enrichissez-vous ! » pour accéder au suffrage puisque le vote était censitaire !).
Son fils, le Duc d’Aumale fut un grand militaire, qui détruisit la Smala d’Abd-el-Kader lors d’une manoeuvre pleine d’audace et de fougue, et mena une brillante carrière dans l’armée républicaine française après l’abdication de son père, restaura de manière remarquable le château de Chantilly qu’il légua à sa mort à l’Académie Française, et laissa surtout son nom connu universellement pour cette raison à une position amoureuse.
FLANBY qui se cherchait encore avait envisagé de placer son quinquennat sous le patronage de ce roi humaniste qui avait grâcié tous les condamnés à mort sous son règne, et dont Victor Hugo était un proche.
Mais voilà, physiquement, ce roi ne lui ressemblait pas (ici une photographie de 1842).
Et l’adaptation du fameux toupet était difficile avec sa calvitie et sa teinture. Donner son nom à une position du « kama-soutra », il voulait bien, mais le règne de son modèle avait été plombé par la terrible caricature de DAUMIER qui représentait la transformation progressive de son visage en poire, caricature qui dans sa simplicité entra dans l’histoire comme l’une des plus cruelles pour son sujet ; bien pire que « Charly Hebdo », et ses provocations ! ;
et cela, FLANBY ne le souhaitait pour rien au monde : humaniste économiquement nul et détraqué sexuel, ça oui, puisque c’était la réalité ; mais ridicule surtout pas ! Il abandonna donc ce projet pour se transformer en Mitterrand bateleur de foire dont l’ennemi était « le monde de la finance », avant de reprendre à son compte avec Valls le fameux « enrichissez-vous » de Guizot