Après avoir fait triompher, contre la volonté populaire, le principe du « mariage pour tous » en qualifiant d’antidémocratique l’idée de demander au peuple ignare des « sans dents » et des « sous chiens » son avis sur cette question de société, après avoir fait frapper et gazer les personnes manifestant en famille contre cette loi scélérate en s’en prenant notamment à leurs enfants, après avoir fait venir d’Ukraine les agitatrices-provocatrices des FEMENS et leur avoir accordé le statut de réfugiées politiques au nom de leur catholiphobie et facilité les saccages des lieux de culte catholiques en assurant leur totale impunité face à la justice taubirienne manipulée, après avoir donné le statut de simple contraceptif à l’IVG en assurant son remboursement à 100% aux frais de la société, BOZZO insulte encore une fois les catholiques et provoque le Pape FRANCOIS en voulant nommer un ambassadeur militant et représentant de la communauté LGBT, uni à un pédéraste, au VATICAN.
Après avoir essuyé un refus du PAPE face à cette infâmie, BOZZO a menacé de faire bombarder par nos RAFALE le VATICAN ! Le PAPE en conséquence a annulé le voyage projeté dans notre pays (BOZZO s’en fout, puisqu’il organise les jeux olympiques « gays » à la même période), et la FRANCE n’aura pas de représentant officiel au VATICAN jusqu’à la disparition de la honte BOZZO en mai 2017. Autant dire que les relations diplomatiques sont rompues !
Ce conflit était historiquement annoncé dès 1765, lorsque l’Abbé DAZES décrivait dans son ouvrage « L’esprit des Magistrats Philosophes, ou Lettres Ultramontaines » ces paroles au sujet du clown franc-maçon libéral et catholiphobe :
« Il empoisonne tout ce qu’il prétend expliquer, il salit tout ce qu’il touche ; il prête des intentions à ceux qu’il veut noircir, des impostures à ceux qu’il veut discréditer, des impostures à ceux qu’il veut discréditer, des maximes à ceux qu’il veut rendre odieux, des excès à ceux qu’il veut diffamer, des sophismes à ceux qu’il veut rendre ridicules ; il rappproche ce qui est épars, il lie ce qui est isolé, et après avoir mis dans un ouvrage le mal qui n’y était pas, il tait ou empoisonne le bien qui y était »
Paroles que les affidés du communautarisme socialo-franc-maçon, les « bobos » de la pensée unique regroupés dans le monde de l’information et du spectacle, reprennent en continu contre un écrivain nommé Eric ZEMMOUR.