Le clown est vraiment une ordure totale, un charognard purulent se nourrissant du malheur des pauvres gens pour gagner des points dans les sondages à quelques semaines des prochaines élections ! Pourquoi se mettre en scène plusieurs jours après le drame en convoquant pour servir sa gloriole de pauvres familles arrachées d’autorité à leur deuil pour lui servir de « claque » et ainsi traitées avec irrespect indignité et un total mépris pour la douleur des « sans dents » et « sous chiens » ; monopoliser pour assurer sa sécurité des milliers de policiers et gendarmes qui ont bien d’autres charges au service du pays que les campagnes électorales d’un tel bouffon pour lequel tout n’est qu’hypocrisie, comédie et falsification ?
Je n’apprécie pas COHN-BENDIT dont la responsabilité dans la « boboïsation » des esprits depuis 1968 et la faillite morale de notre société est écrasante. Mais pour une fois, lorsqu’il parle
» d’instrumentalisation de la compassion » à des fins purement électorales » par BOZZO
, je ne puis qu’acquiescer
Car ce type est capable de tout : il a massacré les valeurs républicaines et souillé la démocratie que nos parents nous avaient léguée ; avant les prochaines présidentielles, après l’élimination judiciaire de ses adversaires politiques par Christiane Taubira et leur mise hors-jeu, que ne fera-t-il pour jouer encore et toujours sur les mêmes ressorts psychologiques qui resserrent automatiquement la nation autour de son « chef » du moment. Souvenez-vous du fameux « Attentat de l’Observatoire » mis en scène par MITTERAND dans la nuit du 15 au 16 octobre 1959 pour se refaire une virginité ! Pourquoi ne va-t-il dans les quartiers Nord de Marseille réconforter les parents des deux enfants maghrébins de 15 ans et du jeune homme de 24 ans assassinés à l’arme automatique dans le hall d’un immeuble du fait des carences de l’appareil judiciaire d’état ? Non pas que leurs jeunes vies aient moins de valeur que celles des retraités brûlés vifs dans un car de tourisme, mais plutôt qu’elle n’entraînerait aucun bénéfice électoral. On est homme de gauche, ou on ne l’est pas !
Des fois, on a honte de ce que sont devenues les valeurs morales et démocratiques de ce pays, de la médiocrité mesquine de ses dirigeants ; mais la Presse et les médias de gauche subventionnés par l’Etat socialiste et ces journalistes bien-pensants entretenus par milliers par le budget public sont là pour corriger cette impression !