#SLIPGATE# : exercice de manipulation mentale des « sans dents et autres sous chiens » dans le département des Landes

liberteL’affaire du SLIPGATE est caractéristique des méthodes de manipulation mentale des masses par la collusion d’un parti politique mafieux, d’une justice politique de classe, d’une presse et de médias audiovisuels pilotés par des intérêts financiers regroupés entre les mains de « Rastignac » (Xavier NIEL, Patrick DRAHI …) pratiquant une désinformation systématique pour les intérêts de partis servant au mieux leur cause financière,  et de communautarismes bien-pensants tels les lobbies « LGBT », « SOS RACISME » et tous les mouvements d’agitation-propagande crées et financés par la « socialocratie » pour conquérir et conserver à l’importe quel prix le pouvoir, tels les « FEMENS » ou « ACTUP »
Elle vient de secouer les réseaux sociaux et fait la première page des grands journaux internationaux et les titres des journaux télévisés ! C’est tout à fait ridicule et hors de proportion, car il s’agit tout simplement de la campagne annuelle de communication et de levée de fonds de la Ligue de Protection des Oiseaux, aussi désigné sous le nom symbolique de « CUICUITRON » , pour faire parler d’elle en créant le buzz, rappeler ses sympathisants à verser leurs cotisations et des dons en espèces. Cette association dirigée par un journaliste, Alain Bougrain-Dubourg, et une politique ancienne ministre Cécile Duflot, vient tous les ans dans le département des Landes, le plus socialiste de France avec ses nombreux élus de gauche dont Alain Juppé, pour mener des actions contre la chasse à la palombe, la capture et la dégustation des ortolans ou contre les corridas et les férias, activités traditionnelles ancrées depuis des siècles dans les us-et-coutumes et pratiques familiales des habitants de ce département, formalisé sous le nom de « CHASSE – PÈCHE – TRADITION »
Comme d’habitude, BOUGRAIN-DUBOURG, illustre figure de la « socialie tarlouzienne » parisianiste, avait convoqué la meute des journalistes audio-visuels pour couvrir l’événement planétaire tandis que les forces de l’ordre sur instructions politiques avaient reçu mission de rester cachées à quelques encablures et ne pas intervenir pour permettre aux médias audiovisuels et aux photographes de presse de couvrir l’événement.
Mais s’en prendre aux chasseurs de palombe est devenu dangereux puisque « los paloumayres » (ces demeurés provinciaux irascibles, ces beaufs brutaux, bons vivants fascistes, racistes, homophobes, antisémites, islamophobes, antiféministes, etc … bien que votant socialiste),  sortent désormais leurs fusils et menacent sans plaisanter de s’en servir après avoir corrigé les militants surexcités de la LPO, et que s’attaquer aux aficionados l’est tout autant puisque BOUGRAIN-DUBOURG a reçu promesse de repartir les fesses empalées sur les cornes d’un taureau furieux à sa prochaine intervention !
Donc, pour plus de sûreté et moins de risque ils avaient décidé de s’en prendre cette fois à un particulier accusé de déposer des pièges à pinsons sur sa propriété privée. Alors qu’ils s’étaient introduits sans autorisation sur cette propriété privée pour dévaster les quelques rangs de maïs censés abriter les pièges, le fils du propriétaire vint leur demander de quitter les lieux ; forts de leur nombre, ils refusèrent. C’est alors que le propriétaire, Jean Marc DUTOUYA, qui était dans sa salle-de-bain vit la scène et sortit précipitamment en slip sur son terrain pour les faire déguerpir. Ne chassant que l’alouette des champs, chasse légale et pour laquelle il possédait en sus une autorisation préfectorale. Il prit une pelle contre le mur de clôture et devant la menace, BOUGRAIN-DUBOURG et ses « 300 » spartiates combattants s’enfuirent comme les lâches qu’ils sont pour trouver la protection des gendarmes miraculeusement apparus. Mais le mal était fait : et plus que le scandale de l’agression à son domicile et des dégradations commises gratuitement à son encontre pour la campagne publicitaire et financière de la Ligue des Protection des Oiseaux, c’est la photo en slip de Jean Marc DUTOUYA qui fit le tour des médias et le ridiculisa.

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Parce qu’il réagit devant l’envahissement de son bien et l’arrachage de ses cultures, il fut ridiculisé par la sphère médiatique

L’opération de communication de BOUGRAIN-DUBOURG a parfaitement fonctionné donc, et malgré la totale illégalité de l’agression (dans un pays de droit, nul n’est censé se faire justice : il appartenait à la LPO, si tant est que l’infraction soit constituée, de saisir les services spécialisés pour la constater, eux seuls étant habilités à lui donner suite !), les médias l’ont couverte  à sens unique lui permettant d’atteindre son objectif qui n’est pas de rendre compte de la réalité des faits mais de faire oeuvre propagandiste en faveur de l’une des thèses en présence.

Quant à la Mère de DUTOUYA, vieille dame de 86 ans maltraitée et jetée à terre, elle a du être transportée aux urgences ; mais cela, les médias s’en moquent et n’en parlent pas, comme d’habitude.
Gageons que cette affaire se terminera mal un jour ou l’autre, et que le pauvre homme qui tirera malencontreusement sur BOUGRAIN-DUBOURG ou ses militants sera impitoyablement poursuivi et puni par l’injustice taubirienne et le syndicat de la Magistrature.
Quant à BOZZO, comme récemment évoqué, il est à la fois favorable aux thèses écologistes mais aussi aux activités traditionnelles des chasseurs de palombe et des amateurs d’ortolans (MITTERAND en mangea en toute illégalité lors de son dernier réveillon en 1995 !) dans les départements du sud-ouest, les seuls votant encore pour lui en raison justement de ces valeurs traditionnelles ; mais pour ne déplaire à personne et récupérer toutes les voix possible, il soutient également les anti-corridas tout en encourageant les pro-corridas. Quant au très vertueux et très socialiste Conseil Général des Landes, il soutient ses électeurs traditionnels au nom des coutumes, usages et pratiques centenaires régionales, tout en ne désavouant pas les méthodes fascistes de la LPO.
Lamentable !