Au terme des premières épreuves de sélection, seules quatre villes ont finalement présenté leur candidature pour organiser les JO 2024 et ainsi ruiner et endetter pour de nombreuses décennies leurs citoyens : LOS ANGELES, ROME, BUDAPEST et PARIS !
Le Maire de PARIS, Anne HIDALGO, ne montrait d’ailleurs aucun enthousiasme : pour elle, l’organisation des « Gays Games » de Paris 2018 avec ses 18.000 participants pédérastes, lesbiennes, bisexuels, transsexuels était bien plus prestigieuse pour l’éclat international et la renommée de la capitale mondiale des tafioles.
Pour son premier voyage officiel après les élections municipales de mars 2014, elle se rendait à NEW-YORK et rencontrait le Maire de la Ville, Bill DE BASIO, qui avait annoncé dans la semaine que sa ville ne serait pas candidate à l’organisation de ces JO, car il privilégiait « d’autres priorités ».
Anne HIDALGO indiquait de son côté qu’elle avait elle aussi d’autres priorités :
« Je n’ai pas porté ce projet dans ma campagne. Les Parisiens attendent de moi (…) du logement, des équipements, de la justice, de la facilité économique ; aujourd’hui nous sommes les uns et les autres dans des contraintes financières et budgétaires qui ne me permettent pas de dire que je porte cette candidature ». Elle précisait d’ailleurs : « Vous savez, les JO, c’est très joli, mais il n’y a pas une seule ville qui s’y soit retrouvée sur le plan financier ! »
Elle était en ce sens parfaitement synchrone avec ses adjoints, puisque François MARTINS, adjoint aux sports, affirmait :
« D’autres priorités préoccupent les parisiens : le logement, l’environnement, l’emploi … les Jeux, ce n’est pas un sujet de grande préoccupation »
, et Jean-Louis MISSIKA, l’influent Adjoint en charge de l’urbanisme :
« Pour nous, faire les Jeux serait un investissement tellement important qu »il aurait fallu le faire valider par les électeurs « .
Mais BOZZO a sifflé la fin de la récréation lorsqu’il a opportunément rappelé que la Ville de Paris était sous tutelle de l’Etat, et que le vrai Maire de PARIS, c’était lui ; qu’il s’engageait à faire payer par tous les français (notamment ceux qui ne pourraient jamais bénéficier de ces équipements !) cette organisation de prestige destinée à le faire reluire dans l’opinion.
Les élus franciliens socialistes qui avaient fourni leur accord pour faire financer par leurs concitoyens le « Versailles » grotesque du COMMEMORATOR , ont tous été balayés électoralement et laissent donc leurs successeurs se débrouiller avec leurs engagements irresponsables.
Mais déjà, nous prévient CAPITAL, surviennent les premiers grains de sable dans ce mécanisme mal huilé : le fonctionnement du COMITE d’ORGANISATION (composé de membres de la côterie socialo-maçonnique mis à la retraite d’office par leurs électeurs ou d’anciens sportifs sympathisants politiques qu’il faut recaser, voire d’anciennes favorites du Souverain pervers !) a été chiffré entre 60 et 100 millions d’euros, qui devaient être financés par une vente promotionnelle de « colliers ». Or, cette vente de charité n’a rapporté que 629.000 € ! Dès lors, la Mairie de PARIS et son précepteur élyséen ont trouvé la solution miracle des socialistes, lever de nouveaux impôts : en l’occurrence, et pour commencer, mettre une taxe sur le prix des licences sportives de nos enfants !
Et imaginez la catastrophe que serait le choix par le CIO de la candidature de PARIS en 2017 ! Dans la mesure ou ROME est en faillite, que BUDAPEST n’a pas les finances nécessaires à l’organisation d’un tel évènement qui devrait pourtant revenir à une ville européenne et éliminer derechef LOS ANGELES, VALLS peut déjà sonner le tocsin et annoncer dans la Presse et les médias audiovisuels la nouvelle guerre civile qui nous menace, même si ses amis élus de la Seine-Saint-Denis devraient pouvoir toucher leur part du gâteau, puisque le village olympique devrait leur revenir !
Pour échapper à ce désastre, d’autres grandes villes candidates, mais démocratiques, BOSTON et HAMBOURG, ont consulté leur population par référendum et se sont vu opposer des réponses négatives à ces projets pharaoniques et inutiles ; HIDALGO, qui dans son programme s’était engagée à privilégier la « participation citoyenne » pour permettre aux citoyens de s’exprimer sur ces questions, n’a pas jugé utile de le faire sur cette question. Peu importe, comme le dit BOZZO, on pourra toujours emprunter, puisque la FRANCE a une signature de confiance, et que de toute manière ce n’est pas nous qui devrons rembourser !
Classes moyennes qui votez pour le camp du bien, de la bien-pensance, de l’honnêteté, vous tous qui combattez le mal et la haine qui constituent le seul programme de l’opposition, à vos portefeuilles pour la grandeur de PARIS et du socialisme dégénéré de Normal Ier ! Car en FRANCE, c’est le PRINCE qui décide et le peuple, auquel on ne demande jamais son avis, paie !