Dans la nouvelle superproduction de « la cellule de propagande et de manipulation mentale » de l’Elysée, c’est Manuel VALLS qui a hérité du rôle de QUASIMODO, le fameux SONNEUR DE CLOCHES de NOTRE DAME DE PARIS
Dans cette nouvelle mise en scène soigneusement composée, il est représenté sous les traits d’un sonneur de cloches de l’Armée du Salut américaine, agitant ses clochettes dans les rues pour appeler les passants à remplir leur marmite d’une obole en dollars pour financer la soupe populaire qu’ils préparent tous les ans à l’intention des « sans dents », « sous chiens » et autres migrants et oubliés de la société !
Car Manuel a choisi cette année d’utiliser la stratégie de la tension anxiogène pour culpabiliser les électeurs qui s’abstiennent ou votent FN et les rassembler à nouveau sous la houlette de la bien-pensance et de la pensée unique.
Mais, cette stratégie du « tocsin anxiogène » comme le rappelle opportunément Jean-Luc MELENCHON,
« c’est l’histoire banale et trop connue de ceux qui crient au loup tant et plus que nul ne s’alarme plus quand il s’y trouve pour de bon. » ; A force d’avoir abusé de l’accusation d’antisémitisme plus personne n’y attache d’importance. Ce n’est pas
malin ! »
Mais pour la mafia des repris de justice socialistes d’extraction « trotkistes-lambertistes » ou élus de « seine-saint-denis », leurs opposants portent aussi les doux qualificatifs de beaufs, racistes, xénophobes, fascistes, homophobes, antisémites, islamophobes, sexistes dont on sait la valeur positive qu’ils revêtent lorsqu’ils sont prononcés par de tels experts, avec toute la charge humoristique dont ils habillent leurs interventions !
Rappel pour Manuel :
L’enfant qui criait au loup
L’enfant qui criait au loup
A trop crier au loup, on en voit le museau.
Un enfant bâillait comme un pou tout en gardant son troupeau.
ll décide de s’amuser :
« Au loup ! hurle-t-il. Au loup ! Vos troupeaux sont en grand danger ! »
Et il crie si fort qu’il s’enroue.
Pour chasser l’animal maudit, les villageois courent, ventre à terre, trouvent les moutons bien en vie,
Le loup, ma foi, imaginaire…
Le lendemain, même refrain.
Les villageois y croient encore.
Troisième jour, un vrai loup vint et c’était un fin carnivore :
« Au loup ! cria l’enfant. Un loup attaque vos troupeaux ! »
« Ah! Le petit impertinent ! Mais il nous prend pour des nigauds! » s’écrièrent les villageois.
Le loup fit un festin de roi.Fables d’Esope, adaptation de Marie Farré, Gallimard