De retour d’une semaine de vacances en Polynésie française, suivi d’un festif séjour en Amérique du Sud (Pérou – Argentine – Uruguay) où ses frasques nocturnes dans les grands restaurants des capitales visitées, ses bourdes incessantes et la panne électrique de son fameux AIRBUS (celui qu’il s’était engagé à revendre à une compagnie aérienne en cas d’élection !) avaient une nouvelle fois ridiculisé le pays sur la scène internationale, FLANBY était prêt, comme tous les ans, à exhiber sa flatteuse et généreuse plastique dans les allées du Salon de l’Agriculture, n’hésitant jamais à s’empiffrer et boire comme un trou normand à la mode chiraquienne, entre deux cruelles saillies contre ses adversaires !
Mais vu les circonstances et la jaquerie qui enflamme le pays depuis plusieurs mois, cette visite revêtait un caractère héroïque pour statufier dans le marbre de Carrare la légende de celui qui, seul contre tous, maintenait le pays sur la voie de la décadence, de la déraison, de la déliquescence morale, de l’abaissement permanent, de la honte et de l’humiliation ! D’aucuns parleront surtout d’irresponsabilité et de provocation par la mise en place de centaines de policiers en civil et de forces mobiles pour assurer la sécurité de « Moi Je » et réprimer les éventuels contestataires de sa politique.
L’injure et le mépris à l’encontre des agriculteurs maltraités était patente, volontaire et n’avait pour seule finalité que de participer à la glorification du « petit chef affrontant la tempête » ! Il n’y avait évidemment aucun risque, mais cette mise en scène était d’autant plus choquante que les professionnels du monde agricole présents sont des citoyens honorables et courageux qui ont construit le pays et se sont battus pour la Patrie tout au long de notre histoire. Dommage que FLANBY ait omis d’être aussi prévoyant et prodigue en forces de l’ordre contre les menaces extérieures qui ont ensanglanté le pays en 2015 ! Mais évidemment, ce n’est pas lui qui était visé.
Le même procédé de manipulation avait été utilisé lors de sa visite à l’île de Sein, lorsqu’il avait affronté les éléments de la nature déchaînés, avec le succès médiatique qui a fait rigoler tout le pays
Mais plus rien à voir avec la morgue et la mépris affichés en février 2013, lorsqu’il avait avait par exemple exécuté devant des enfants innocents son prédécesseur qu’ils ne reverraient plus !
Cette fois le regard était bas et torve, les fesses serrées, les lèvres sublimées par un bâtonnet de rouge à lèvre couleur cerise, le teint pâle et plâtré par la couche grasse de crème à maquillage mettant en valeur la noirceur corbeau des cheveux teints ; maquillage excessif et grotesque qui le fait ressembler à un clown blanc, une momie de « pharaon » préparée pour être présentée à l’adoration des « sans dents » et des « sous chiens » avant de gagner sa dernière demeure dans la chambre sacrée de la rue du Cirque où les Policiers nationaux servent les viennoiseries au couple maudit.
Il amenait avec lui son coq de combat « Moi Je, décidé et combatif » car selon les renseignements de la cellule de manipulation mentale de l’Elysée, cette présence était de nature à apaiser l’ire injuste que nourrissent les éleveurs à son endroit ! L’affaire s’annonçait en effet compliquée, tant la crise agricole secouait depuis plusieurs mois nos campagnes et réduisait au désespoir nos éleveurs, ulcérés face à l’indifférence et au mépris d’un pouvoir de « bobocrates » soutenus et financés par des communautés dégénérescentes, voire criminelles, pouvoir essentiellement intéressé par la promotion des dépravations LGBT et pédophiles, la théorie des genres, par l’accueil et le relogement des « roms » dans des hôtels payés par l’impôt public, celui des migrants se regroupant dans des zones de non-droit sous l’emprise de mafias échappant totalement et avec l’aval des autorités aux lois de la République, et plus encore aux grandes auto-célébrations télévisées de la « boboïtude médiatique » des intermittents du spectacle financés dans des proportions indécentes par le budget public et dirigés par la favorite présidentielle dispensant par l’intermédiaire du CNC les fonds publics aux courtisans méritants !
Tel fut le cas, car nonobstant la présence de plusieurs centaines de policiers en civil, équipés de boucliers anti-projections au cas où les manants lui jetteraient des œufs pourris, qui l’enserraient étroitement sur une dizaine de rangs afin qu’il ne puisse être enduit de fumier, roulé sur les bouses de vaches, reclus dans la porcherie ou l’enclos des chèvres, et de compagnies de forces mobiles prêtes à intervenir dans l’éventualité où une femme amoureuse tenterait d’attenter à la vertu du saint homme.
Il n’entendit d’autres aimables qualificatifs à son endroit que ceux bienveillants et amicaux qui accompagnent tous ses déplacements :
Incapable ; tu devrais avoir honte, fainéant ; voyou ; enculé (sic) ; bon à rien ; dégage ; démission (scandé sur l’air des lampions) ; tire-toi ; dégage pourri, etc…
Rien de bien nouveau en soi qui ne reflète les brillantes réalités politiques, économiques et sociales de ce pays martyrisé par le clan des privilégiés sortis du quartier du Marais pour envahir Paris, puis tout les pays. Et oui, comme le chantait admirablement Serge REGGIANI, « les gays sont entrés dans PARIS, les gays ont envahi PARIS »
Le seul regret que l’on puisse légitimement nourrir, ce sont ces malheureux éleveurs interpellés et bastonnés par les hommes de main de FLANBY. Les chaînes d’information en continu ayant été sommées par les représentants de la communication gouvernementale de ne pas filmer et s’étant servilement couchées, nous n’en aurons pas les photographies ! Dommage.
Mais enfin, un peu de sang est dans l’ordre des choses, surtout pour grandir la stature d’un homme dont le Cabinet Noir s’efforce, avec le concours du Syndicat de la Magistrature (en deuil de Christiane Taubira) d’éliminer tous les adversaires pour les élections présidentielles de 2017 qui doivent le reconduire dans ses fonctions.