La presse bien-pensante (groupe BNP, groupe DRAHI), les médias de service public, porteurs de la pensée unique, qui en avaient pourtant fait des tonnes dans leurs commentaires dithyrambiques en invitant avec beaucoup de force et d’insistance (et pourquoi donc ?) « sans dents » et « sous chiens galeux » à se déplacer en masse pour faire un triomphe à « La Taularde », film à grand spectacle et gros budget produit par Mme Julie GAYET, dont elle partage l’affiche avec la prestigieuse Sophie MARCEAU, Aujourd’hui, les écrivaillons scribouillards et commentateurs socialistes de ces organes de diffusion de la propagande officielle pleurent toutes les larmes de leur corps en constatant combien leurs lecteurs et auditeurs sont ingrats, versatiles et contrariants, puisqu’ils n’ont pas daigné bouger à la seule évocation du nom de la Favorite royale et ont fait de son film un échec commercial patent, éclatant et peu glorieux.
Celle-ci, fort contrariée, a fait des reproches peu amènes à son financier, qui avait pourtant mis à sa disposition toute la propagande de l’état totalitaire, lui indiquant à juste titre que son nom était sali par la seule évocation de leur liaison, un lien subliminal existant désormais entre les noms de GAYET et BOZZO ; comme le PAPE l’avait fait avec sa férule, elle a donc corrigé publiquement le coupable, qui adore cela :
BOZZO, toujours lâche et soumis, a su la rassurer avec son discours lénifiant habituel : ce n’est pas grave, puisque c’est le contribuable français, au moyen des subventions versées par le Centre National du Cinéma (service du Ministère de la Culture) qui finance l’opération ! Julie GAYET est d’ailleurs tellement satisfaite de ce service qu’elle a exigé que son amie Audrey AZOULAY, Directrice du CNC qui l’avait si bien servie et pourvue en argent public, soit nommée Ministre de la Culture en jetant à la poubelle de l’histoire Fleur PELLERIN ! Vous aurez remarqué à quel point le nombre de films subventionnés produits par l’intermittente du spectacle a explosé depuis le 6 mai 2012 (les choses sont parfois étonnantes, et il serait utile que la Justice si prompte à intervenir lorsqu’il s’agit de neutraliser les adversaires politiques de BOZZO, se montre aussi énergique lorsqu’il s’agit de mettre à jour ce qui pourrait bien être un nouveau scandale d’état !).
Et BOZZO a pu rassurer sa favorite en lui susurrant une philosophie qui lui est chère :
CE N’EST PAS GRAVE, C’EST L’ETAT QUI PAIE ; comme mon coiffeur-teinturier, ma maquilleuse et mon cireur de pompes. Par bonheur, lorsqu’il s’agit de payer, et contrairement à LOUIS XIV, l’ETAT ce n’est pas moi ! »