Alors qu’englué dans son affaire de distribution de tracts pernicieux pour tester les effets sur le petit peuple de sa candidature aux élections présidentielles de 2022, Mollandouille 1er en majesté signait des autographes à CASSIS, à quelques kilomètres de son ennemi déclaré, « le Successeur », la surprise nous est venue cette fois par l’intermédiaire de la presse « people » ; car comme le chante BREL, » chez ces gens-là, On ne vit pas Monsieur, On ne vit pas : on triche « .
C’est Mme EX qui s’y colle pour l’intérêt supérieur de la « Communauté » bien-pensante.
Bien sûr, une première salve d’avertissement avait été tirée le 19 mai 2018 lorsque le « Clown » et Mme POMPADOUR avaient assisté, à la surprise générale, à « Ernest Wallon » au match de barrage pour l’accès aux demi-finale du TOP 14 entre le STADE TOULOUSAIN et l’équipe des Laboratoires Pierre FABRE, le CASTRES OLYMPIQUE, qu’il recevait à domicile ! Pour ne pas faire mentir la tradition, c’est sous la pluie que l’équipe favorite de La Pompadour (une vraie passionnée de rugby, avouons-le) subit une humiliante défaite.
Le Président LES REPUBLICAINS de la FFR, Bernard LAPORTE, et son vice-président socialiste, Yves SIMON, furent les seuls à se réjouir du résultat, qui prouvait une nouvelle fois à leurs yeux l’influence néfaste, voire létale et mortifère, pour le club toulousain de sa dépendance psychique à son ex-manager Guy NOVES, qu’ils venaient d’un commun accord de licencier de ses responsabilités à la tête de l’équipe de France pour faute grave.
Mais là, un pallier définitif est franchi : non pas que Valérie TRIERWEILLER, la Madone et l’Incarnation des causes Bobos – LGBT dans le pays, la copine inconsolable de Pierre BERGE, fut à nouveau en couple après avoir été jetée comme une merde indigne par le Don-Juan fripé. Mais plutôt qu’elle le fut avec Romain MAGELLAN, un rugbyman professionnel, athlète magnifique (1m92 pour 120 kgs de muscle), aux étonnants yeux vert émeraude, qui présente deux caractéristiques :
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il a effectué sa carrière professionnelle de rugbyman au poste de « pilier » ! Lorsque l’on reprend dans le dictionnaire philosophique du rugby publié par la revue universitaire « Boucherie Ovalie » – tome 2 – la définition savante du poste, on peut lire : « Dotée d’un cerveau de petite taille, mais de quatre membres utltrapuissants, cette espèce rare a su survivre en mangeant uniquement deux choses : des piliers gauches et des surnombres » ; les qualités spéciales requises pour le poste sont ainsi listées : « Aimer boire du SYNTHOL liquide ; aucune allergie à la cortisone ni aux anti-inflammatoires ; être patient et compréhensif avec un facteur à sifflet qui n’a jamais collé une épaule entre 1,6 t de pression et qui t’explique droit dans les yeux pourquoi il te met une pénalité ; accepter de jouer trois mêlées, se faire plier et sortir par le coach sous les huées du public« .
Au même titre par exemple que le manager de TOULON, Patrice COLLAZZO, MAGELLAN constitue l’archétype de ces admirables joueurs de devoir. -
Il est issu, a été formé a joué dans une équipe qui a longtemps modelé le pack du XV de FRANCE, avec des joueurs aussi fins, prestigieux et emblématiques que Sébastien CHABAL, Marc CECILLON, Florian FRITZ, Pascal PAPE, Lionel NALLET, Olivier MILLOUD, Julien PIERRE, Morgan PARRA, et tant d’autres qui ont gardé tout au long de leur carrière internationale la marque indélébile de la rudesse du jeu qui constituait la marque de fabrique de BOURGOIN-JALLIEU !
Quel dommage que des malversations financières aient précipité la fin de ce club admirable qui constituait un exemple pour tout le rugby français. Une pensée spéciale pour son dévoué Président, Pierre MARTINET, « le traiteur intraitable », à l’accent inimitable, qui engloutit tellement d’argent personnel dans sa passion.
L’état d’esprit et les valeurs qu’il incarnait sont bien représentées par le plus illustre natif de la ville, Frédéric DARD, un des plus grands voire le plus grand écrivain français du XXe siècle, qui donna naissance à travers ses personnages comme le Commissaire SAN ANTONIO, Alexandre-Benoît BERURIER (équipier obèse, sale, ivrogne, impudique et ronchonnant, l’inculture en bandoulière, à la force herculéenne, dont le port négligé, le culot et le vocabulaire outrancier, la tenue repoussante ne gâtent en rien le professionnalisme) ou son épouse, Berthe BERURIER née ZIFOLARD (BB, la Gravosse, le paquet de saindoux, la Baleine, la Vachasse, le Cétacé, etc …) sont devenus des archétypes emblématiques et incontournables de la culture populaire « beauf » universelle, insurpassables de grandeur et de magnificence lorsqu’ils interprètent, bourrés, leur hymne prestigieux : « LA MARCHE DES MATELASSIERS ».
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Ajoutons que ce Club fit également la UNE des médias dans la rubrique des « faits divers », car il s’incarne à tout jamais à travers un joueur unique et féroce, d’un incroyable courage physique et d’une dureté au mal sans égale, qui fut le capitaine emblématique du XV de FRANCE à l’occasion de ses matchs les plus difficiles et les plus violents, un joueur qui fascine les féministes ultras telles Christiane TAUBIRA, Najat VALAUD-BELKACEM, Anne HIDALGO et bien sûr les « gays » parisiens tant sa bestialité animale et sa brutalité fascinent ces communautés délicates et fragiles. Je veux, bien entendu, parler du grand Marc CECILLON, type insurpassable du joueur de BOURGOIN-JALLIEU, fêtard et alcoolique, qui après sa retraite sportive vint, un soir de libation (2,25 gr/l), abattre sa femme, lors d’une soirée privée et devant 6o personnes, au motif que, lasse de son alcoolisme et de ses infidélités, elle voulait divorcer ! Il a largement payé pour ce crime, mais le souvenir en reste gravé à jamais !
C’est donc à cette famille unique qu’appartient notre très cher Romain MAGELLAN, qui en incarne parfaitement l’esprit, l’humour et la délicatesse ; il intervient toutes les semaines sur CANAL PLUS pour commenter les matchs du TOP 14 ; ses plaisanteries grasses, tellement rugbystiques, surprennent par leur légèreté et leur finesse les autres intervenants, pourtant formés et prévenus à ce genre d’humour bon enfant !
Le voir dans ces conditions en ménage avec la Reine des BOBOS, Madame EX, la journaliste qui a fourni au monde dans son livre de mémoire, « MERCI POUR CE MOMENT », la fameuse formule des « SANS DENTS », la copine de Pierre BERGE et des travelos brésiliens, constitue pour une personne d’esprit et de goût, un plaisir sans égal, une délectation divine que seul, je l’avoue, les socialistes peuvent nous fournir. Cela doit la changer de l’autre emplâtre, Valérie !
Ah, que les temps sont gris, fades, et l’actualité sans saveur et insipide sans les « blagounettes » quotidiennes du CLOWN !
Mais heureusement, il ressuscite et tous les jours nous rappelle qu’il sera bien présent en 2022. Réjouissons-nous !
Et puisque l’occasion nous en est fournie, une pensée émue pour Albert DUBOUT (1905-1976), qui fut assurément l’un des plus grands illustrateurs et affichistes du XXe siècle
Dans la grande tradition rabelaisienne, aux côtés de FALLET, BLONDIN, BRASSENS, AUDIARD et tant d’autres créateurs anticonformistes glorieux (non bobos !) disparus prématurément, il illustra de manière géniale avec son style inimitable 80 ouvrages d’écrivains au rang des plus illustres de notre histoire littéraire, fut l’affichiste officiel de l’oeuvre cinématographique de Marcel PAGNOL, et céda aux instances de Frédéric DARD qui le suppliait d’illustrer ses SAN ANTONIO : ses dessins des aventures infernales et graveleuses du couple gargantuesque et obèse formé par l’Inspecteur Alexandre-Benoît BERURIER et son épouse Berthe BERURIER atteignent au génie universel de l’histoire de l’art (il n’y a qu’à voir le prix de ses oeuvres !).