Bien sûr qu’il n’est pas resté inactif : rien ne peut le distraire de son obsession délirante à récupérer « son » fauteuil élyséen !
Aucune proposition politique, aucun programme, sinon comme d’habitude la destruction systématique par « tous » les moyens, même les plus crapuleux, de tout adversaire qui oserait lui disputer le poste en 2022 ! Occuper en permanence, par le « buzz » – la frénésie existentielle – et les déclarations tapageuses la Une de la presse écrite et des chaînes audiovisuelles !
Aucune idée novatrice, aucun programme : seule transpire l’ambition dévorante dans son état le plus brut et bestial !.
Mais un « gourou » : cette fois, c’est Roland JOFFRIN qui s’y colle ! (cf articles : Laurent JOFFRIN, socialiste-libéral compatible à tous les pouvoirs ; Laurent JOFFRIN pris les doigts dans le pot de confiture)
Connu pour l’extrême « laxité » de ses convictions politiques conditionnées par son seul intérêt personnel et la malhonnêteté intellectuelle foncière avec laquelle il exerce « son » métier de journaliste, JOFFRIN partage avec BOZZO l’histoire d’une enfance heureuse, marquée par un Père richissime militant d’extrême-droite. Il est fils du milliardaire créateur des Editions François Beauval, et son enfance s’est déroulée dans le cocon du château familial ; comme BOZZO, c’est lors de sa révolte adolescente que, par opposition au Père, financier par ailleurs du FRONT NATIONAL, il a souscrit aux idées d’extrême-gauche qui, à soixante ans passés, font encore de lui un « bobo » milliardaire, gauchiste d’opérette, révolutionnaire de salon mondain (« ces parisiens avec leurs escarpins vernis qui nous donnent des leçons », comme les qualifiait Georges Frèche), ultra-libéral honteux, intellectuel adepte de bien-pensance et de complotisme révolutionnaire, par ailleurs laudateur béat et salarié de Patrick DRAHI et de son groupe ALTICE !
Il héberge dans sa propriété de GRANVILLE les amours adultères du CLOWN, rédige ses livres de réflexion, dirige accessoirement sa campagne de reconquête.
C’est à ce titre, qu’après sa séance de dédicace à LA PLUME BLEUE, où Amélie est venue caresser PHILAE, il a proposé à BOZZO une séance de photographies sur la plage pour l’hebdomadaire PARIS MATCH afin de fournir aux « sans dents » et aux « chiens enragés l’image d’Epinal idéalisée du bonheur familial radieux avec JULIE et PHILAE.
Aussitôt dit, aussitôt fait, et cette séance totalement artificielle, prétentieuse,factice, donna la vedette à JULIE et PHILAE, les deux modèles professionnels engagés pour l’occasion.
Par démagogie, BOZZO, maçon enragé du Grand Orient de France, successeur sanguinaire de SAINT-JUST et ROBESPIERRE adepte comme eux du culte de la Déesse FOLIE, de la Terreur révolutionnaire, de la guillotine, contempteur de la démocratie électorale qui empêche la foule minoritaire des bien-pensants, détentrice de toutes les vérités d’établir durablement son pouvoir sur les « sans dents » et les « chiens enragés », ennemi résolu et actif de la religion catholique, tint à se déplacer jusqu’à la Cathédrale de ROUEN en souvenir du Père Jacques HAMEL, martyr assassiné alors qu’il célébrait la messe et en-cours de béatification, afin de faire don d’un diptyque représentant sa vision de la laïcité socialiste pro-LGBT, pro-PMA et pro-GPA : une face figurant la présentation de JESUS aux fidèles par la Vierge Marie ; l’autre, beaucoup plus réaliste, figurant la présentation aux LGBT par BOZZO lui-même du robot NEO (rappelons nous cependant qu’après son intervention la société française conceptrice du robot passa sous contrôle du Groupe japonais SOFTBANK GROUP !)
Puis le couple et son chien se séparèrent ; BOZZO gagna TULLE pour un événement privé, qui n’aurait pas sa place ici s’il n’avait voulu l’utiliser afin d’enrichir le rayonnement médiatique nécessaire à son charisme personnel : le mariage de son fils THOMAS, qui lui permit de mettre en scène ses retrouvailles heureuses avec la mère de ses quatre enfants, la très médiatique SEGOLENE.
Mais ne nous éternisons pas sur le sujet !
Car le plus important était à venir : à TULLE cette semaine avait lieu la « fête de la rose », qui reste le socle de sa profonde empreinte sur la gauche félonne qui le soutient. C’est à cette occasion majeure qu’il était prévu, en sus de la démolition habituelle de la politique de son successeur, dont il ne fit mystère qu’il souhaitait l’échec, sa déclaration officielle de candidature à la présidentielle de 2022. Evènement préparé de minutieuse façon : visage poupin et rebondi par la bonne chère, teinture fraîche, peau recuite par les rayons UV, chaussures glacées par son lustreur professionnel, donnons lui maintenant la parole, puisque faute d’idée, discourir à l’infini – donner des leçons – et critiquer constitue l’exercice qu’il maîtrise le mieux dans sa science innée de méprisable politicaillerie !
Et rendons lui cette grâce de constater objectivement que les commentaires enthousiastes que provoqua sa déclaration furent à la hauteur de ses attentes !
Mais comment ne pas rendre hommage à sa maîtrise d’un événement scandaleux qui secoue en profondeur la société indienne : lors de la vente de 36 avions « Rafale » à l’INDE, il s’avère que l’intermédiaire indien devint, par pur hasard, financier des sociétés de production cinématographique de LA POMPADOUR ; pur hasard nous assure BOZZO !
Mais là où il démontre sa totale maîtrise des médias, c’est qu’aucun des organes de presse dénonçant inlassablement la prévarication des hommes politiques de droite et le détournement des fonds publics à des fins personnelles, ne jugea bon d’enquêter sur cette affaire et de fournir à ses lecteurs les éléments d’information requis ! Et ce n’est pas le Parquet National Financier qui le fera, puisqu’il n’a reçu compétence que pour détruire le personnel politique de droite opposé à BOZZO.
Pour sa maîtrise et son contrôle de la Presse et de tous les médias d’information, encore une fois, BRAVO l’Artiste !