Digne émule de Winston CHURCHILL lorsqu’il affirmait en souriant :
L’ Histoire me sera indulgente, car j’ai l’intention de l’écrire.
BOZZO-le-CLOWN n’a cessé tout au long de son règne de vouloir faire écrire par ses dévoués féaux et commensaux, ses serviles « clients » journalistes (auxquels il consacrait plus de temps qu’à ses ministres et pour lesquels étaient grandes ouvertes les portes de l’Elysée et de ses appartements privés), l’hagiographie de son grand règne pour en témoigner devant l’histoire.
Jean d’ORMESSON, dans sa clairvoyance bonhomme, pleine d’esprit de malice et d’humour, avait parfaitement cerné ce bizarre personnage, en affirmant lors d’un passage au CLUB de la PRESSE :
C’est quand même un phénomène étonnant, Hollande. […] C’est un homme qui est double : il se regarde sans cesse faire. Et qu’est-ce qu’il fait ? Pas grand-chose. Il passe son temps à commenter ce qu’il a fait ou ce qu’il n’a pas fait.
Pour ne rien faire, il n’a effectivement rien accompli de tangible, sinon servir les intérêts communautaires exclusifs de ses clientèles LGBT, maçonnes et les incontournables « intermittents du spectacle » et « punks à chiens » protégés de la Favorite, tout en marquant son total mépris pour les « sans dents » et les classes moyennes pour lesquelles il apportait la preuve du bien-fondé de l’analyse de CHURCHILL dans son appréciation des deux grands systèmes économiques qui s’opposent depuis la fin du XIXe siècle :
Le vice inhérent au capitalisme consiste en une répartition inégale des richesses. La vertu inhérente au socialisme consiste en une égale répartition de la misère.
Dans la répartition de la misère, Clown BOZZO fut effectivement, et dans ce seul domaine, un excellent socialiste.
Mais son grand succès restera la foisonnante production littéraire consacrée à sa personne et à son règne ; l’histoire sans nul doute réévaluera son inaction à l’aune de sa légendaire couardise et ses lamentables échecs qui l’empêchèrent de briguer un second mandat. Mais qui peut, sur une période de cinq ans, se targuer d’une production littéraire aussi inflationniste et flamboyante ?
Car s’exhiber dans tout le pays, labourer le moindre village, comme il le faisait autrefois lors des fêtes de la Rose de feu le Parti Socialiste, sous couvert de dédicace du livre écrit par son ami Laurent Joffrin, voila sa nouvelle obsession littéraire pour le ramener à la tête du pays en 2022, comme il le claironne à chacune de ses apparitions quasi-quotidiennes sur les chaînes audiovisuelles publiques ou d’information continue !
Il méprisait ainsi la célébration nationale du centième anniversaire de l’armistice du 11 novembre, pour monopoliser l’attention des visiteurs et recevoir la lumière des projecteurs braqués sur la Foire du Livre de Tulle, sans favorite ni chien cette fois.
Mais il ne fit pas mystère qu’il profitait de l’occasion pour acquérir une villa de luxe à TULLE, (en sus de ses biens immobiliers parisiens, de ses deux appartements dans le Var, de sa villa à Mougins) dans le seul but de continuer à voter dans la ville, dont il apprécie tant les habitants ! A ce sujet, les propos qu’il a tenus lors de l’émission QUOTIDIEN de son ami Yann BARTHES lors de son passage sur TMC le 25.4.2018 : « Non, MACRON n’est pas le Président des riches …. c’est le Président des très riches ! » ne revêtaient pas, vu son état de fortune, un caractère péjoratif, bien au contraire.
Et puis, MACRON n’est-il pas sa créature, la « GALATEE » qu’il a sculptée dans le marbre puis animée avec ses amis LGBT – maçons – escrocs patrons de groupes de presse et audiovisuels, dont il devait tirer toutes les ficelles puisqu’il ne pouvait décemment pas se représenter en 2017, lui le clown BOZZO devenu PYGMALION ? Entre autres blagounettes pour faire genre, n’avait-il pas affirmé lors de sa campagne victorieuse de 2012 à l’intention de « sans dents », « chiens galeux » et autres imbéciles qui s’apprêtaient à voter pour lui : « Je n’aime pas les riches ! », et un peu plus tard dans un discours devenu légendaire : « Mon seul adversaire, c’est le monde de la finance ! ». Après cinq ans de pouvoir suprême, chacun sait que l’homme a un grand sens de l’humour, et beaucoup plus encore de mépris pour les électeurs qui croyaient en lui.
En effet, BOZZO-le-CLOWN n’a jamais possédé de bien immobilier dans la ville, dont il fut pourtant le Maire, le député de circonscription et le Président du Conseil Général. Par mesure d’économie, il trouvait asile dans une chambre de passage sise dans les locaux du Parti Socialiste ; élu à la Présidence de la République, il continua à voter à TULLE, utilisant pour s’y rendre d’abord le transport aérien gouvernemental, puis une voiture de fonction avec chauffeurs de la Présidence. N’importe quel autre citoyen « normal » dans sa situation aurait été, conformément aux dispositions du Code Électoral, radié des listes électorales de la Ville ! Pas lui évidemment, car la loi commune ne pouvait s’appliquer à un tel personnage, au-dessus de toutes les contingences légales et bien calé sur ses privilèges de caste.
La semaine suivante, c’est à PEKIN qu’il triomphait ! Lors de la Foire Internationale du Livre, il remportait un prestigieux prix international : celui du BOUDDHA BOUFFON RIEUR, qui célèbre l’oeuvre la plus grotesque. Ce ne sont pas les livres écrits par « ses nègres » qui étaient couronnés, mais l’exploit d’avoir réussi à exposer deux livres sur les détails croustillants de sa vie privée : celui de sa concubine officielle au moment de son élection, Valérie TRIERWEILLER, dont l’humiliante répudiation de l’Elysée par communiqué de presse avait ridiculisé le pays dans le monde entier et s’étrangler de rage les féministes : « MERCI POUR CE MOMENT » ; enrichi depuis le mois d’octobre 2018 par « CE QUE JE PUIS ENFIN VOUS DIRE », où celle qui fut sa compagne de 1978 à 2017, Ségolène ROYAL, Mère de leurs quatre enfants et grande rivale pour les élections présidentielles de 2022, dit tout le mal qu’elle pense de l’hypocrisie et de la lâcheté du CLOWN ! Un point d’accord indiscutable entre les deux anciennes rivales, que partageront peut-être Anne HIDALGO et Julie GAYET lorsque leur heure viendra ?