Le 5 avril 2006, à l’aube du majestueux envol de ce couple mythique vers les limbes de la petite histoire, les journalistes Marie-Eve MALOUINE et Carl MEEUS, publiaient chez FAYARD le premier opus de l’histoire consacré à Ségolène ROYAL et son compagnon BOZZO-le-CLOWN, sous un titre prophétique : LA MADONE ET LE CULBUTO ou l’inlassable ambition de Ségolène ROYAL et François HOLLANDE
Un an plus tard, Ségolène triomphait de son compagnon en devenant la candidate de « gauche » qui affrontait Nicolas SARKOZY au second tour de l’élection présidentielle ; bien que battue, son score était honorable et porteur d’espoir pour l’avenir ! On apprenait officiellement après l’élection que BOZZO-le-CLOWN, qui avait interprété le rôle de « première Dame » sans enthousiasme sur les estrades publiques, avait comploté en sous-main pour provoquer la perte de sa compagne, et que le couple, malgré ses quatre enfants, était séparé puisque le CLOWN était « bigame » désormais, vivant maritalement avec une journaliste de l’Hebdomadaire PARIS-MATCH, Valérie TRIERWEILER.
Après sa démission du poste de Premier Secrétaire du Parti Socialiste
(mais il avait conservé ses mandats de Maire de Tulle, Président du Conseil Général de Corrèze, député de la circonscription, tout en gardant bien au chaud son poste de Conseiller référendaire à la Cour des Comptes dont il avait obtenu un détachement pour bénéficier à plein de ses droits à la retraite, alors que par décence il aurait du solliciter sa mise en disponibilité puisque tous ses mandats électoraux lui rapportaient par ailleurs de fortes indemnités pour sa pension de retraite. Même élu Président de la République, et après l’affaire CAHUZAC, il continuera à cotiser au Conseil d’Etat pour arrondir ses pensions de retraite : 37.600 € de pensions mensuelles qui l’autorisent à l’incroyable arrogance d’insulter de « sans dents » la foule des gens modestes qui les paient avec leurs impôts Les Intouchables d’état Vincent JAUVERT )
C’est sa maîtresse journaliste qui le reformata physiquement pour le préparer aux primaires socialistes de l’élection présidentielle de 2012 : perte de poids (régime DUKAN), nouvelles lunettes, soins quotidiens de bronzage aux rayons UV, teinture capillaire brune pour effacer les cheveux blancs, cours de théâtre et d’expression corporelle pour mimer dans ses discours la gestuelle et le débit de son modèle François MITTERRAND, nouvelle panoplie de costumes haute-couture, chaussures glacées avec l’intervention de cireurs professionnels (suivant les conseils du bon Docteur Aquilino MORELLE, plume de l’immortel discours du Bourget : « Mon véritable adversaire n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, et pourtant il gouverne (…), c’est le monde de la finance !« )
- La miraculeuse élimination du candidat favori de la gauche « bobo » pour des raisons d’agression sexuelle,
- Cette transformation physique,
- doublée d’un programme insensé et irréalisable de promesse d’abrogation de toutes les mesures prises par le Président en fonction, de donner satisfaction à toutes les demandes, notamment à s’engager sur les mesures les plus démagogiques et populistes si elles émanaient de minorités sectaires – communautaires – religieuses – agissantes et violentes ;
- plus l’incroyable campagne de haine, de tombereaux d’insultes et de dénigrement déversés sur le candidat de droite par l’intermédiaire de la caste médiatique, du monde interlope du « show-biz », des intermittents du spectacle et des magistrats du syndicat de la magistrature refusant d’appliquer les lois votées par la représentation nationale mais scénarisant avec certains « journalistes activistes d’extrême gauche, connus pour être des agents de puissances étrangères hostiles » des « affaires » pour éliminer leur adversaire,
Aboutirent à l’élection au poste présidentiel du plus méprisable des candidats, qui plongea pendant cinq ans le pays dans le ridicule international, l’abaissement de sa position internationale, la gabegie et la mise en coupe réglée par des « rastignac » de bas-étage de l’économie nationale et l’appauvrissement des classes laborieuses et moyennes dupées par tant de promesses illusoires.
Le désastre fut tel, rendant inéluctable un échec humiliant, qu’il ne put se présenter à sa propre succession en 2017 !
Mais CULBUTO avait déjà rebondi sur la reconquête du pouvoir en 2022 : il s’appuierait cette fois
- sur une comédienne professionnelle pour jouer l’image d’un couple uni et stable qui lui avait tant fait défaut après la répudiation de la journaliste qui avait participé à sa prise de pouvoir de 2012,
- la répétition systématique sur tous les médias d’une « mantra » scandée lors de toutes ses prises de parole pour vanter le bilan de son quinquennat dont « l’histoire reconnaîtrait la grandeur et le courage ! »,
- et bien entendu la critique de toutes les actions de son successeur, encourageant voire même suscitant par ses associations d’agitation-provocation, des crises sociales et des actions violentes contre le pouvoir en place.
Le monde du spectacle privilégié détenteur de toutes vérités et dispensateur de bons sentiments, la caste journalistique gavée des prébendes accordés lors de son quinquennat, et la justice révolutionnaire rouge dont il avait promu les membres aux postes stratégiques lui étant demeuré fidèle par intérêt catégoriel, tout semblait en place en cette fin 2018 pour une glorieuse et prochaine prise de pouvoir.
Mais tel n’est pas l’avis de son ancienne compagne, Ségolène ROYAL ; dans un livre paru en octobre 2018, elle a su décrire la petitesse, l’hypocrisie et la lâcheté de celui qui fut son compagnon pendant tant d’années ; cumulé à l’ouvrage écrit par Valérie TRIERWEILER, cela nuit à l’espoir de donner vie au personnage vierge et pur qu’il veut incarner : l’on voit ainsi se mettre en place les pièces de la comédie de boulevard qui va nous occuper jusqu’en 2022 : Julie GAYET (payée en retour par les largesses du CNC ou le financement de ses sociétés de production cinématographiques par des marchands d’armes) fait face à Ségolène ROYAL, future candidate en 2022 et à Valérie TRIEIWEILLER, les deux ex !
Un extrait de « C’EST A VOUS », l’émission de FR5 tellement dévouée au CLOWN, au même titre que les émissions de service public des présentateurs LGBT vedettes FOGIEL ou RUQUIER, et évidemment Yann BARTHES (correspondant média officiel de Christine TAUBIRA et Naja VALAUD-BELKACEM !) sur RMC, nous donnait le 26 décembre un avant-goût du spectacle désopilant qui nous attend ces prochains mois ! Au point que le journaliste vedette de RMC, Jean-Jacques BOURDIN, pourtant peu suspect de sympathies droitières, ne pouvait qu’exprimer sa lassitude et son doute face à l’éternel retour de LA MADONE et du CULBUTO !