You are currently viewing « Pas de liberté pour les adversaires d’Hidalgo » – Louis Antoine de Saint-Just

« Pas de liberté pour les adversaires d’Hidalgo » – Louis Antoine de Saint-Just

Depuis six ans, ce qui a été une des plus belles villes du monde est tombée aux mains d’une bande d’illuminés qui en fait un terrain d’expérimentations pour ses théories fumeuses

ont écrit deux journalistes, pourtant de gauche, dans l’ouvrage intitulé « Sainte Anne » qu’ils consacrent au vrai bilan des six années passées par Anne Hidalgo à la tête de la mairie de PARIS. Elle a bien entendu ruiné financièrement la ville criblée de dettes, fait fuir un nombre important d’habitants tant le prix du mètre carré et le montant des loyers sont désormais inaccessibles aux petits et moyens revenus, interdit la circulation automobile dans la ville au nom de l’écologie, ignoré totalement la sécurité et la salubrité publique délaissées au profit d’autres priorités, et fait baisser la natalité parisienne tant cette municipalité a entièrement axé son action sur la satisfaction des intérêts de la communauté LGBT, dont elle est l’émanation ; et bien sûr, faute de légalisation de la GPA et possibilité d’acquérir dans les fermes reproductives nigérianes ou certains états américains, difficile d’obtenir une natalité moyenne pour cette ville. Mais, pour ce communautarisme, le bilan est exceptionnel : de son soutien financier aux associations extrêmistes activistes, en deuil de Pierre BERGE (Femens, Act’Up, etc …), l’organisation grandiose annuelle de la « Gay Pride », l’organisation à PARIS des Jeux Olympiques de la communauté gay financée par les fonds publics, la décoration de la Mairie, de la Tour Eiffel et même des passages piétons aux couleurs arc-en-ciel, sans évoquer bien entendu la mission d’étude publique confiée par la mairie à l’ami Jean-Luc ROMERO (promoteur du droit à l’euthanasie !) pour l’animation des « nuits gays » parisiennes.

Le couple parisien transgenre rêvé par Mme le Maire

Si à 43 ans, Anne HIDALGO a délibérément choisi de réintégrer la nationalité espagnole de ses ancêtres, reconnaissons qu’elle en a effectivement conservé le caractère bien trempé ; car Madame le Maire, malgré sa douce voix et son aspect enjoué, possède en elle une volonté hégémonique de domination sans partage, une allergie à tout dialogue et une haine sans limite pour toute expression d’une opinion opposée à la « vérité » dont elle est l’unique dépositaire. A cet égard, elle est beaucoup plus proche d’un FRANCO et de ses méthodes démocratiques de « garrotage » des adversaires, que d’une Rosa LUXEMBOURG – pourtant grande théoricienne marxiste et co-fondatrice du Parti Communiste allemand, lorsqu’elle écrit en 1917 dans ses textes sur la « REVOLUTION RUSSE », en opposition à la ligne totalitaire suivie par LENINE et TROTSKI :

La liberté, c’est toujours la liberté de celui qui pense autrement

Pour Madame HIDALGO, c’est du côté de STALINE, MAO-TSE-TOUNG, POL POT et Edwin PLENEL que vont ses sympathies ; paraphrasant SAINT-JUST, son action serait plutôt l’affirmation d’une conviction :

« Point de liberté pour les adversaires d’Hidalgo ! »

Comment qualifier autrement son incroyable prétention à ordonner le retrait des gares et des rues parisiennes d’une campagne légale d’affichage de l’association ALLIANCE VITA, qualifiée d’ « anti IVG » et d' »anti PMA ». Crime absolu passible de la peine capitale pour la grande égérie du communautarisme LGBT ; jugez par vous-même de l’affront commis :

Mais on est à PARIS, ville la plus « gay friendly » de l’univers ; et dans ce PARIS progressiste de Mme HIDALGO, il est criminel de déroger à la pensée unique, de froisser la communauté LGBT et d’exprimer une opinion dérogatoire à celle de l’exécutif municipal. Et parce qu’une  décision judiciaire, prise en référé, lui donne tort, Madame le Maire entre en résistance et crucifie le juge … Car telle SAVONAROLE à FLORENCE persécutant et terrorisant les impies, dans sa folie dogmatique pour imposer le culte LGBT dans la nouvelle UTOPIA dont elle rêve pour sa ville, seuls les pédophiles – transgenres – transexuels – lesbiennes – gays – bisexuels (d’autant plus s’ils sont toxicomanes !) sont dignes et respectables, et peuvent bénéficier à ces titres de la citoyenneté parisienne (dans la mesure où ils se déplacent à pieds, évidemment !). Tous les autres doivent-être bannis et ostracisés outre-périphérique, car un couple hétérosexuel avec enfants est par essence corrupteur des mœurs, du sens civique, voire de l’air respiré.

 

« Paris ! Paris ruiné ! Paris asphyxié ! Paris insalubre ! Paris coupe-gorge ! mais Paris ! Paris Gay !« 

Bilan mandat municipal

Un bilan exceptionnel : insécurité, insalubrité, prolifération des rats, déficit abyssal ; mais au moins, avec Anne HIDALGO et le socialisme, l’activisme ultra LGBTQ a gagné la partie et imposé ses valeurs au reste de la société !
Ô Liberté, que de crimes on commet en ton nom !

Dans ce camp, les termes « catholique », « civisme », « morale », « respect », « devoir », « service du bien-public » sont des insultes, des valeurs ridicules, éculées et désuètes, donc bannies de la novlangue progressiste ; interdit d’honorer les héros morts au combat pour leur pays, mais gloire et prospérité aux vieux pédophiles sado-masochistes criminels , financiers véreux des campagnes électorales des partis progressistes, qui pour cette action d’éclat, reçoivent la plus haute distinction militaire française des mains du chef de l’état en personne dans le grand salon de l’Elysée ! 

Faute de résultats probants, flatter l’extrémisme idéologique et les activistes de tout poil a toujours constitué une excellente alternative populiste à la confrontation avec les réalités ! Mais combien il est indigne et insupportable dans une vieille démocratie libérale telle que la nôtre d’avoir à subir un tel étouffoir idéologique, un lavage de cerveau permanent, imposé par une communauté d’activistes se prétendant incarnation du camp du bien et de la vérité, soutenus par des médias entre les mains d’escrocs professionnels déguisés en financiers qui, pour réaliser à des fins privées le détournement du bien public ont passé accord tacite avec BOZO-le-CLOWN pour placer des feuilles de choux en faillite au service de ses intérêts électoraux et vendent sa salade indigeste au nom du progressisme et de la liberté !
Seuls deux médias résistent encore à ce rouleau-compresseur financier ; ils n’appartiennent ni au Groupe BERGE-NIEL-PIGASSE, ni au Groupe DRAHI et ne reçoivent aucune des subsides publiques versées par le Ministère de la Culture aux grands journaux dociles, au nom de la liberté et de la diversité de la Presse.
Il s’agit bien entendu des deux indignes, VALEURS ACTUELLES et CAUSEUR, classifiés par le clan progressiste dans la « fachosphère », qui incarnent encore la dignité et la liberté de la Presse.