Depuis 2005, le 17 mai – sanctifié par le baptême laïc conféré par les associations LGBTQI+ – est devenu la » Journée Internationale contre l’Homophobie et la Transphobie », sauf bien entendu dans les états progressistes où pédérastie et pédophilie restent des crimes pénalement réprimés.
En cette radieuse journée, elle est venue s’additionner, par l’activisme des associations, à la journée mondiale de la communication et de la société de l’information. Dans le fatras innommable des journées internationales où chacun ajoute son grain de sel, elle vient à la suite de la Journée Internationale de la Lumière, couplée à la Journée du Vivre Ensemble en Paix, l6 mai ; et précède la Journée Internationale des Musées, le 18 mai, avant la très importante Journée Internationale des Abeilles, le 20 mai.
C’est donc une date essentielle pour les militants de la cause, qui ne sauraient omettre de la fêter !
Cette année, nous avons eu le plaisir de recevoir en cadeau une photo de famille de Marc-Olivier FOGIEL, de son mari, et leurs deux petites filles conçues par GPA aux ETATS-UNIS où le couple – parce que ses moyens financiers sont importants – a pu les acquérir. Marc-Olivier FOGIEL est un journaliste qui s’est fait remarquer par son agressivité et sa recherche systématique du « buzz », de l’éclat et du scandale dans ses émissions d’où son surnom de « LA HYENE ».
Par la grâce de l’entr’aide « gay » qui cimente et domine l’audiovisuel, il s’est retrouvé propulsé à la direction de la chaîne d’information BFM TV, où ses premières décisions ont été d’éradiquer le l’antenne les « vieux mâles blancs » pour les remplacer par les militants de la cause homosexuelle, comme son directeur de l’information Philippe CORBE.
Comme son éminent confrère Patrick COHEN, il conçoit son métier d’animateur non pas comme un cénacle ouvert où doivent s’exprimer toutes les opinions – du moment qu’elles ne dérogent pas aux règles légales – afin que le téléspectateur adulte puisse objectivement et de manière responsable se forger sa propre opinion. Non, l’animateur doit être un activiste militant de ses propres engagements politiques, et ses émissions doivent lui permettre de les diffuser pour convaincre les téléspectateurs de leur bien-fondé, puisque qu’elles sont l’incarnation de la « bien pensance » ; dans ces conditions, l’animateur doit constituer un filtre étanche, et toute pensée dérogeant à ses propres convictions doit être interdite d’expression et combattue avec la dernière vigueur. C’est la notion de journalisme d’information soutenue par POUTINE en RUSSIE, par le PARTI COMMUNISTE CHINOIS et son secrétaire général XI JINPING, et bien sûr KIM JUNG UN en Corée du Nord.
Revoir sur YOU TUBE la passe d’arme célèbre entre Patrick COHEN, le bien-pensant d’une information orwellienne, et Yannick TADDEI, respectueux de toutes les opinions et de l’intelligence des téléspectateurs.
L’engagement de FOGIEL dans le combat pour la reconnaissance des droits homosexuels élitaires supérieurs à ceux des hétérosexuels a été constant, jusqu’à ce qu’il quitte le service public pour la direction de BFM TV ; sa dernière émission, sur FR3, était la reprise d’une émission ancienne fondée par un ancien chroniqueur de cinéma, feu Henri CHAPIER, dont le contenu consistait à faire allonger ses invités sur un divan rouge, d’où le nom de l’émission, pour les amener – dans une sorte de psychanalyse exhibitionniste, à évoquer des souvenirs intimes qui ont marqué et marquent encore leur existence. Pendant les années où il anima cette émission, nous eûmes bien sûr et essentiellement les membres fondateurs du « cercle pédophile du jardin Majorelle » de MARRAKECH, où lors d’une émission lugubre de fin de vie, BERGE vacillant, le désigna comme son héritier, avec l’aval de Jack LANG, Frédéric MITTERRAND et Daniel COHN-BENDIT reçus à la suite ; il reçut évidemment tous les politiques démago-progressistes, fortement engagés en faveur des droits LGBT. Au premier rang desquels l’incontournable Maire de Paris, Anne HIDALGO, qui veut faire de sa ville la cité la plus « gay-friendly » de l’univers ; mais aussi, le couple de philosophes mondains, grands animateurs des soirées gays parisiennes et permanent fauteur de guerres, Bernard-Henri LEVY et son épouse Arielle DOMBASLES ; la demi-mondaine ministre Roselyne BACHELOT, la journaliste Claire CHAZAL, ; une infinité d’artistes et chanteurs gays venus promouvoir leurs œuvres, comme l’excellent et très digne William SHELLER, mais aussi Muriel ROBIN, Josiane BALASKO, Mika, Lambert WILSON, Karl LAGERFELD, ou soucieux de réaffirmer leur appartenance au camp du bien, tels Nicolas BEDOS, Juliette BINOCHE, Joey STARR, Bernard TAPIE, Cyril HANOUNA ; que fait un artiste de l’envergure de Fabrice LUCCHINI dans pareil piège, nul ne le sait. Mais le summum de l’émission fut la présence d’un Jean-Luc MELENCHON, soucieux d’attirer politiquement le soutien de toutes les minorités sexuelles, et fraîchement converti au charme oriental du fait de son rapprochement avec Sofia CHIKIROU. Constatons cependant la fidélité absolue de l’animateur aux dogmes définis par Patrick COHEN : aucun opposant au mariage gay, aucun opposant à la PMA et à la GPA, un aspect lisse et poli pour tous les invités, tous membres du camp de bien et défenseurs militants de la bien pensance.
Mais le combat de sa vie, après le « Mariage pour Tous » que lui a offert François HOLLANDE, après la « Procréation Médicalement Assistée » donnée par Emmanuel MACRON, c’est bien la légalisation de la « Gestation pour Autrui » en FRANCE.
Parce qu’il est riche, parce que son mari est riche, parce qu’ils peuvent se déplacer sans problèmes financiers aux Etats-Unis et investir des sommes importantes pour faire concevoir et porter jusqu’au terme de la grossesse des enfants conçus sur commande, il est le Père de deux ravissantes fillettes et vit dans le bonheur familial qu’elles lui apportent. Il en est fier d’ailleurs, et ils font ensemble la UNE d’hebdomadaires à diffusion nationale.
Malgré que la GPA soit légalement interdite en France, parce qu’il occupe un poste important et que son influence soit réelle sur l’opinion publique par la manipulation de l’information, un Président de la République est intervenu pour le féliciter d’avoir commis ce délit et il a fait en sorte que le Directeur de BFM obtienne de la justice française la reconnaissance de sa paternité dans l’état civil des deux enfants. S’il n’avait pas eu cette fortune, ce nom et cette influence, ledit Président de la République se serait moqué de cette affaire et aurait laissé la Justice de son pays appliquer la loi. Mais …
Alors, il poursuit son activisme pro-GPA et a publié un livre, relatant l’expérience vécue avec son mari, intitulé « QU’EST-CE QU’ELLE A MA FAMILLE », dont la lecture inspirante a motivé nombre de jeunes couples homosexuels de tenter l’expérience. Delphine ERNOTTE, la Directrice très « woke » de FRANCE TELEVISION, a fait adapter le livre qui est devenu un film de télévision afin de justifier plus encore la normalité de ce désir de paternité, toujours légalement interdit, dont la télévision publique subventionnée par l’impôt public fait ouvertement la promotion.
Evidemment, aucune voix en mesure de marquer une quelconque opposition, puisqu’elle serait immédiatement taxée d’extrême droitisme et poursuivie illico pénalement par des associations subventionnées.
Car dans notre pays, l’intérêt de l’enfant est absent du débat ; ce qui importe, c’est la satisfaction des couples LGBT afin qu’ils continuent à soutenir le progressisme. Les blessures psychologiques, les drames d’enfants nés sans racine, ce ne sera que dans deux décennies qu’on les subira ! Aucune mention non plus sur le devenir des enfants, lorsque – comme on l’a vu aux Etats-Unis, le mandataire de la GPA n’est pas satisfait de la couleur de peau de l’enfant mis en au monde, ou lorsqu’il naît malheureusement avec une infirmité provoquant son rejet et son refus de prise en compte. Peu importe à BOZO : du moment que FOGIEL est satisfait et qu’une station TV importante relaiera son message, que pèse le bien être des enfants ?