A bien des lieues de la « novlangue » progressiste, de la componction ampoulée énarchique et de la ridicule fatuité des leçons moralisatrices de nos « pseudos élites politiques – médiatiques, culturelles et universitaires », de leur écriture inclusive, leur théorie des « genres » et leur course suicidaire au « wokisme » , seul le bon sens populaire peut restituer sous forme de parabole christique l’étendue de l’insondable tragédie que fut pour notre pays le quinquennat de Bozo-le-Clown.
Cette parabole, entrée dans la culture et l’inconscient collectif, constitue le récit le plus fiable et le plus objectif que l’on puisse trouver du quinquennat tragique de Bozo-le-Clown :
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OkNon