Comment ne pas se souvenir avec émotion du grand homme et serviteur de l’état que fut le regretté Jacques FOCCART (1913-1997). Ce grand résistant, qui connut la guerre et fut exemplaire lors des combats de la résistance, fut un serviteur intransigeant du Gal de GAULLE, puis de son successeur Georges POMPIDOU qui le nommèrent, de 1958 à 1974, pour gérer le désengagement français de ses colonies africaines et maghrébines, tout en préservant les intérêts économiques et stratégiques du pays. Homme de l’ombre inconnu du grand public, doté de réseaux extrêmement étanches les-uns aux autres dont nul ne pouvait connaître l’organisation et les aboutissants, il géra à la plus grande satisfaction de deux chefs de l’Etat les responsabilités qui lui avaient été confiées, privilégiant toujours et en toutes circonstances l’intérêt de son pays : tout chef d’état africain devait être adoubé par ses soins, et oeuvrer pour une politique qu’il devait agréer, dans le respect des intérêts français. C’est vrai qu’il utilisa sans état d’âme, pour contrer leurs agressions, les mêmes moyens employés par les services spéciaux d’états totalitaires qui cherchaient à nuire à la France et à la déstabiliser pour prendre sa place.
Le nom de cette politique a été qualifiée d’un néologisme barbare désormais entré dans le langage commun : la FRANÇAFRIQUE !
Et n’oublions que ce grand commis de l’Etat créa et utilisa sans état d’âme le SERVICE d’ACTION CIVIQUE, service d’action du parti gouvernemental, utilisé pour toutes les basses besognes. FOCCARD, en organisant avec le SAC la grande contre-manifestation gaullliste du 30.05.1968, en soutien au Chef de l’Etat (2 millions de personnes !), permit au Gal de GAULLE, déstabilisé par les évènements de mai 1968, de réagir, se maintenir au pouvoir et reprendre en main le pays après que les élections législatives triomphales lui aient apporté une majorité massive.
Remarque
La « Harangue d’Oswald Baudot aux jeunes magistrats » est un texte théorique fondamental où l’un des membres fondateurs du « Syndicat de la Magistrature » définit sa conception syndicale du rôle du Magistrat, l’idéologie qui le guide, ainsi que l’éthique politique de « combattant révolutionnaire » avec laquelle il doit l’exercer pour faire triompher ses convictions politiques, fusse au prix de la partialité élevée en principe judiciaire, de l’inégalité et de l’inéquité entre justiciables en fonction de leur rang social !.
Le large pouvoir d’interprétation de la règle dont le Juge dispose, ainsi que l’octroi des circonstances atténuantes et aggravantes dont il n’a cessé de requérir le rétablissement puis l’élargissement du champ (alors que la Révolution les avait abolies) lui donnent un pouvoir total, sans qu’il n’ait de compte à rendre à personne, et surtout pas aux électeurs dont il ne dépend pas !.
Dans un temps où une Presse, en faillite, subventionnée par le gouvernement avec l’argent public ; des médias audiovisuels, activistes et militants, sous emprise idéologique et financière progressiste martèlent à longueur d’antenne un discours univoque bien-pensant au service exclusif d’une idéologie révolutionnaire extrémiste ; une Justice trotskiste révolutionnaire tenue par le « Syndicat de la Magistrature » et son « Mur des Cons » met en œuvre (ses membres les plus extrêmistes promus et soutenus par TAUBIRA occupant les postes les plus éminents de la hiérarchie, dirigeant le Cabinet du Ministre, l’Ecole Nationale Supérieure de Bordeaux où sont formés les jeunes Magistrats dont le concours d’entrée et le recrutement sont placés sous leur autorité, et présidant les plus hautes juridictions et les sections spécialisées les plus sensibles, tel le Parquet National Financier, dont on a pu admirer l’action politisée pour éliminer un candidat favori des élections présidentielles 2017) le programme défini par Oswald BAUDOT dans sa « Harangue » aux jeunes magistrats ; plus généralement une « République des Juges », non élus et statutairement irresponsables, dotés de pouvoirs discriminatoires aux règles républicaines en s’attribuant le pouvoir, au nom de « règles supérieures » qu’ils interprètent ou créent librement en fonction des besoins de la cause qu’ils soutiennent, de s’opposer, bloquer ou annuler les lois et décisions votées par les élus du Peuple -, ont spolié par la manipulation permanente et des méthodes développées dans les pays totalitaires – le peuple de sa souveraineté et se substituent désormais au suffrage universel, le concept peut sembler anachronique, abstrait et extravagant !.
En effet, dans une société où l’alliance éclairée des « élites » politiques, technocratiques, judiciaires, médiatiques, culturelles et artistiques subventionnées, a, dans le but de conserver et accroître ses privilèges aristocratiques et intérêts catégoriels, décrété, « urbi et orbi », que la Nation, atteinte d’infantilisme, est incapable d’exercer sa souveraineté avec le discernement indispensable, n’a-t-elle pas confisqué et condamné le principe démocratique ?
La FRANCE était respectée et défendait ses intérêts supérieurs ! Puis vinrent GISCARD d’ESTAING (l’affaire des « avions renifleurs » et les « diamants de Bokassa » !), MITTERRAND qui investit son fils aîné Jean-Christophe du rôle de FOCCARD (surnommé « Papa m’a dit » par ses amis africains, il termina sa mission en prison pour une sombre affaire de trafic d’armes avec l’Angola, qui obligea sa Mère à s’endetter pour payer la caution de sortie), BADINTER et sa stricte « moraline » de grand intellectuel totalement figé dans ses principes moraux et coupé des réalités pratiques de la politique internationale, le « progressisme » puis le « wokisme » et comme bouquet final du feu d’artifice les « trotskistes-lambertistes », infiltrés dans l’appareil d’état, et installés aux commandes par HOLLANDE et MACRON.
Et la FRANCE s’abîma, sombra, s’effondra puis coula en silence en se dissolvant dans le néant sans la moindre réaction de ses dirigeants qui l’avaient dépecée et vendue à l’encan ! Mais lors de sa campagne électorale victorieuse de 2017, « Giton 1er » n’avait-il pas prévenu de l’aversion et du rejet des « progressistes » pour la réalité existentielle même d’une nation historique française, appelée à se dissoudre et disparaître dans un ensemble technocratique supranational à seules visées économiques et financières :
« Il n’y a pas une culture française, il y a une culture en France et elle est diverse. » ; « L’art français je ne l’ai jamais vu »
et n’avait-il pas prêté allégeance et fait soumission totale au FLN algérien, en plastronnant à la TV algérienne une déclaration incendiaire pour condamner violemment la politique étrangère française suivie depuis deux siècles, assimilée à l’idéologie génocidaire nazie :
« Je pense qu’il est inadmissible de faire la glorification de la colonisation. Certains, il y a un peu plus de dix ans, ont voulu faire ça en France. Jamais vous ne m’entendrez tenir ce genre de propos. J’ai condamné toujours la colonisation comme un acte de barbarie. Je l’ai fait en France, je le fais ici. La colonisation fait partie de l’histoire française. C’est un crime, c’est un crime contre l’humanité, c’est une vraie barbarie. Et ça fait partie de ce passé que nous devons regarder en face, en présentant nos excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels nous avons commis ces gestes. » L’infamie
In memoriam de Jacques FOCCART !
Puissamment décriés par les « Progressistes » comme une expression de l’ignoble « Françafrique », les sommets FRANCE AFRIQUE avaient lieu annuellement, depuis 1973, alternativement en FRANCE puis un pays africain, et réunissaient les plus hauts dirigeants. Au nombre de 24 depuis leur création, ils ont cessé d’exister à l’initiative du Président MACRON depuis 2021. Son seul intérêt pour l’AFRIQUE se limitant à la visite nocturne de certaine discothèque « spécialisée » lors de son dernier déplacement officiel et à l’abandon de tous les intérêts français dans ces états (malgré la perte de 53 de nos jeunes soldats pour protéger ces pays de la pénétration islamique !).
Ils sont désormais remplacés par les sommets « RUSSIE_AFRIQUE », dont le dernier, présidé par POUTINE en personne, a eu lieu à MOSCOU en juillet 2023 ; lors d’un déplacement en RUSSIE à l’occasion du forum économique de SAINT PETERSBOURG, le Président algérien Abdelmadjid TEBBOUNE – dirigeant du parti dictatorial et corrompu du FLN – n’a pas hésité à déclarer publiquement : « POUTINE EST UN AMI DE L’HUMANITE » pour rendre hommage au tyran sanguinaire russe.
TABBOUNE est ce grand dirigeant qui a fait de la haine de la FRANCE une rente de situation mémorielle pour son régime, élément primordial de la politique du FLN, et ciment de la nation depuis son indépendance en 1962. Lors de chaque visite officielle des dirigeants français, il n’hésite jamais à humilier le pays qu’ils représentent en inscrivant à leur programme un déplacement Place de la Libération pour y déposer une gerbe au monument dédié aux « martyrs du FLN », assassins des résidents (hommes – femmes et enfants) et soldats du contingent français. Il vient de faire réintégrer dans l’hymne algérien « Qassaman » les paroles hostiles à la France : « France, le temps des palabres est révolu ; France, voici venir le jour où il te faut rendre des comptes « . C’est un triomphal succès pour les thèses trotkistes-lambertistes soutenues par Benjamin STORA, alias « Truffaut », qui inspire, voire dirige en sous-main la diplomatie africaine de la France.
Alors que la plupart des positions diplomatiques françaises en Afrique ont été abandonnées par GITON 1er, il est intéressant de lire l’article consacré par le quotidien « DAKAR TIMES » au mépris éprouvé par les maghrébins et les anciens pays africains francophones envers les dirigeant français ; dans ces pays où la notion de « CHEF » est essentielle, et où la pédérastie et la pédophilie sont encore des crimes ou des délits, poursuivis et réprimés sévèrement, ils constatent que la FRANCE n’a plus aucune autorité pour la diriger, et que dans des proportions importantes les dirigeants sont membres actifs ou des soutiens avérés de la communauté LGBT. Ci-joint, l’article du DAKAR TIMES
En l’honneur de tous ceux qui ont transmis à l’homme africain les valeurs républicaines de « Liberté – Egalité – Fraternité », ont apporté l’instruction et construit des écoles, des lycées, des universités ; transmis une langue à des peuples totalement désunis ; ont amélioré les techniques agricoles, développé la production, en leur permettant d’accéder au marché international et de ne plus subir de terribles famines ; ont bâti des structures financières, commerciales et industrielles , et amélioré le niveau de vie général des populations, aidant à la naissance d’une classe moyenne ; de bénéficier des progrès de la médecine moderne, limitant le nombre des décès d’enfants et d’adultes, avec pour corollaire une augmentation exponentielle de leur démographie ; ont tracé des routes, construit des ponts, développé les réseaux ferrés, les aéroports pour faciliter le transport des hommes et des marchandises, s’ouvrir au tourisme mondial ; ont fait connaître la culture africaine, l’ont révélée au monde, et permis à ses peintres – sculpteurs – poètes – écrivains – musiciens – chanteurs de s’affirmer au plus haut rang mondial ;
Alors, à tous les activistes professionnels racialistes – décoloniaux – indigénistes qui vivent en France et ont pu, grâce à ses bienfaits, développer leurs qualités et leurs talents et accéder à la gloire et à la fortune financière, renforcés par les minorités sexuelles et raciales constitutives de l’électorat urbain de « bobos » diplômés, de jeunes en révolte et de militantes féministes comme Sardine RUISSEAU, les pseudo-écologistes de gauche, les députés trotkistes-lambertiste de LA FRANCE INSOUMISE,
Souvenons-nous de ce temps de notre histoire, que l’on peut retrouver dans des films tels « LA VICTOIRE EN CHANTANT « de Jean-Jacques ANNAUD, relatif au déclenchement de la Grande Guerre 14-18, vécue et ressentie à la frontière entre l’Afrique Equatoriale Française et le CAMEROUN Allemand ; ou bien, « COUP DE TORCHON » de Bertrand Tavernier, trotkiste-lambertiste militant, mais cinéaste de grande talent !
En sus des films, la musique peut aussi nous restituer l’air du temps :