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Grand gala du clown BOZO

NĂ©vrose psychotique

triboulet

Pour Bozo đź¤ˇ, cette rentrĂ©e 2024 fut un feu d’artifice, une « master class » Ă©blouissante orchestrĂ©e avec maestria par un service de communication obnubilĂ© du seul « paraĂ®tre » de son « Champion », selon le plan de bataille habituel, fondĂ© sur une occupation permanente et abusive du champ mĂ©diatique ; un extraordinaire et interminable voyage de « Bozo🤡 au pays des merveilles » Ă  bord d’une vieille locomotive Ă  vapeur dont la chaudière est alimentĂ©e par la formidable pression gĂ©nĂ©rĂ©e par son onanisme nĂ©vrotique Ă  rĂ©cupĂ©rer « son » trĂ´ne, dont il a Ă©tĂ© traĂ®treusement spoliĂ© par un fils prodigue, abject et ingrat. Les « progressistes », se gavant d’argent public dispendieusement distribuĂ©      (c’est pas cher, c’est l’Etat qui paie ! – Bozo đź¤ˇ, TF1 intervention 6.11.2014), se doivent de crĂ©er mĂ©thodiquement une foultitude d’Agences – Conseil – ComitĂ©s – AutoritĂ©s (souvent affublĂ©s des qualificatifs « Haute » ou « SupĂ©rieur » pour impressionner le chaland) ; sous prĂ©texte de protĂ©ger et accroĂ®tre les libertĂ©s individuelles, ils ont rĂ©ussi – en appliquant les mĂ©thodes trotskistes d’entrisme et de noyautage – Ă  contrĂ´ler tous les rouages de l’ État-profond pour le diriger Ă  leur guise et le soumettre Ă  leur volontĂ© de domination et d’enrichissement personnel, tout en crĂ©ant de nombreux postes, aussi inutiles que juteux, aux frais des contribuables et du dĂ©ficit du TrĂ©sor Public, pour leurs alliĂ©s et fĂ©aux les plus serviles et dĂ©vouĂ©s. Et tout cela, bien Ă©videmment, selon l’antienne qui leur est si chère, en application des principes de la devise rĂ©publicaine : « LibertĂ©, de l’ÉgalitĂ© et de la Fraternité » ! puisque ces valeurs,  dĂ»ment complĂ©tĂ©es par les valeurs constitutionnelles progressistes « meurtre par avortement – contraceptif » et « euthanasie« , sont leur propriĂ©tĂ© personnelle.
DĂ©cidĂ©ment, au mĂŞme titre que l’inflation budgĂ©taire, la ruine et l’effondrement de l’Etat balayĂ© comme château de sable par la vague wokiste, la castration juridique du rĂ©galien qui rĂ©duit Ă  l’impuissance l’exĂ©cutif, les admissions au PanthĂ©on des hĂ©ros du wokisme triomphant, la multiplication des valeurs constitutionnelles rĂ©publicaines dĂ©lirantes imposĂ©es sans consultation du suffrage universel et contre la volontĂ© majoritaire par une Ă©lite technocratique de « gitons » dĂ©voyĂ©s, restera un marqueur essentiel de la pĂ©riode historique 2012-2027 !
Mais, Ă  l’exemple de leur « leader » chancelant actuel, ils n’en sont point Ă  une contradiction près lorsqu’ils demandent ironiquement aux français de « faire des enfants », après avoir constatĂ© l’effondrement de la natalitĂ© dans le pays, rĂ©sultat de la politique malthusienne du clown Bozo đź¤ˇ taillant Ă  la serpe dans le montant des allocations familiales des familles pour alimenter ses grandes politiques de financement de la caisse de chĂ´mage des 360.000 « intermittents » et « punks Ă  chiens » du spectacle, d’accueil et de prise en charge matĂ©rielle et mĂ©dicale de tous les immigrĂ©s Ă©conomiques rentrĂ©s illĂ©galement dans le pays, imposant par la violence et la terreur mĂ©diatique le « mariage pour tous », tellement porteur d’avenir pour la dĂ©mographie nationale, facilitant par un remboursement Ă  100% et gĂ©nĂ©ralisant l’Interruption Volontaire de Grossesse comme moyen de contraception le plus populaire du pays (le taux d’avortement en France est infiniment plus important que chez ses voisins (234.300 IVG en 2022 – en augmentation permanente – pour 678.000 naissances – en chute continue – en 2023) ; Ă  comparer Ă  l’ALLEMAGNE par exemple : 96800 ivg en 2021 – en baisse constante, malgrĂ© une population supĂ©rieure de 20 millions d’habitants).
Et le fils prodigue, mĂ©prisant et provocateur, demande aux français de « faire des enfants » alors que lui n’en Ă©lève pas un seul ; il use, sans la moindre dignitĂ© ni respect, du dĂ©sespoir de pauvres femmes, manipulĂ©es par les associations fĂ©ministes militantes d’extrĂŞme gauche, (auxquelles il a dĂ©jĂ  octroyĂ©, après le « mariage pour tous »,  la « ProcrĂ©ation MĂ©dicalement AssistĂ©e »),  pour se refaire une virginitĂ© politique après ses graves dĂ©boires et Ă©checs au niveau national et international du mois de fĂ©vrier,  en l’inscrivant comme droit imprescriptible dans la constitution afin qu’il devienne inaliĂ©nable : car, chez les progressistes, on maĂ®trise le temps et l’avenir :  « vĂ©ritĂ© d’un jour, vĂ©ritĂ© de toujours ! »
Avec la loi en prĂ©paration pour lĂ©galiser l’euthanasie, l’apport progressiste Ă  l’anĂ©antissement de la civilisation française et au « grand remplacement » par les immigrations maghrĂ©bines et sub-sahariennes islamistes, aura Ă©tĂ© considĂ©rable. Edwin PLENEL, Benyamin STORA et le « Che Guevara des Calanques », au nombre des plus ardents supporteurs qui ont appelĂ© Ă  voter en faveur du « Giton banquier » lors du second tour des Ă©lections prĂ©sidentielles 2017 et 2022,  ne peuvent que le crĂ©diter et se fĂ©liciter de cet apport Ă  leur cause. D’ailleurs, la NUPES et les associations fĂ©ministes et immigrationnistes subventionnĂ©es n’ont pas manquĂ© de le faire : la FRANCE tellement haĂŻssable en règle gĂ©nĂ©rale devenant pour l’occasion, lorsqu’elle se suicide pour laisser place Ă  des populations plus mĂ©ritantes,  phare et modèle universel !.
Par contre, si la « Tour Eiffel » heureux  a Ă©tĂ© illuminĂ©e (après quelques jours de grève oĂą Ă©tait dĂ©noncĂ©e par les salariĂ©s l’incurie de la Mairie dans la gestion du Monument !), les EvĂŞques de France ont refusĂ© de faire sonner Ă  la volĂ©e toutes les cloches des Ă©glises du pays, comme le leur demandait les progressistes, au nom du principe de laĂŻcitĂ© ! Les hommes d’Ă©glise ont bien proposĂ© de sonner le « glas », mais l’accord n’a pu se faire, après que les « microniens », garde de sceaux DUPONT-MORETTI en tĂŞte, les aient officiellement taxĂ©s de faire le jeu de l’extrĂŞme-droite, voire d’ĂŞtre des « fascistes » eux-mĂŞmes, comme le sont tous les imbĂ©ciles », « sans dents » disent certains de manière plus imagĂ©e, qui ne pensent pas comme eux !

 

Grande tournĂ©e 2024 du Cirque Bozo đź¤ˇ 

Les progressistes, toujours en avance d’une guerre, sont les Ă©claireurs du progrès universel : qui ne souvient de l’admirable rĂ©sistance des Ă©lus socialistes et communistes, dans les annĂ©es 1980, Ă  la simple vidĂ©osurveillance des « Distributeurs de Billets » bancaires, au motif qu’ils risquaient d’empiĂ©ter sur le domaine public et de violer l’intimitĂ© de certains passants ; cette opposition enragĂ©e permit au pays de prendre dix ans de retard sur ses voisins, jusqu’Ă  ce que le principe de rĂ©alitĂ© ne vienne ternir le tableau idyllique : des affaires criminelles (notamment enlèvement et assassinats d’enfants, ainsi que des attentats aveugles dans le mĂ©tro,  au Royaume Uni) ne soient rĂ©solus grâce Ă  l’apport de ces images, alors qu’en FRANCE, pays des droits de l’homme, ce genre d’affaires restaient irrĂ©solus car l’on protège plus que tout les droits des voyous et des criminels ! D’opposants farouches, les socialistes sont devenus en quarante ans des inconditionnels de la vidĂ©osurveillance, et aucune administration municipale progressiste n’en fait plus aujourd’hui l’Ă©conomie.

Ils Ă©taient fĂ©rocement opposĂ©s Ă©galement Ă  la crĂ©ation des Polices Municipales, avant que les rĂ©alitĂ©s ne les y convertissent ! Les plus enragĂ©s, tel le PARIS LGBT d’Anne HIDALGO, s’opposent encore par idĂ©ologie Ă  leur armement, mais la aussi, sous le poids des rĂ©alitĂ©s et de l’Ă©chec patent de leurs politiques nationales et locales, aggravĂ© par la mise en danger de leurs agents – incapables de se dĂ©fendre face Ă  des dĂ©linquants de plus en plus souvent armĂ©s -, ils doivent progressivement se convertir !. Que de temps et combien de vies innocentes perdues du fait de leur incurie !
Dès leur arrivĂ©e au pouvoir, après la mise en Ĺ“uvre Ă©conomique du « programme commun », (nationalisation de l’Ă©conomie qui prĂ©cipita la ruine du pays), l’abolition de la peine de mort qui constituait l’obsession de BADINTER servit de cache-misère, puis vint la libĂ©ration des ondes FM et la crĂ©ation des radios dites « libres ».
« LibertĂ©, libertĂ© chĂ©rie, combats avec tes dĂ©fenseurs ! » : et les dĂ©fenseurs, en l’occurrence, ne pouvaient qu’ĂŞtre progressistes, et mieux encore « trotkistes » et « wokistes » ! Après les exĂ©cutions publiques sans appel du Ministère de l’Information et son responsable dans le gouvernement POMPIDOU, Alain PEYREFITTE, ainsi que du monopole d’Etat sur l’audiovisuel public en France financĂ© par le budget national dont les responsables  Ă©taient nommĂ©s par le pouvoir exĂ©cutif, c’est donc un ignoble maquignonnage qui perdure depuis les mandats mitterrandiens pour camoufler grotesquement sous les oripeaux porteurs « d’indĂ©pendance » et de « liberté » la mainmise absolue du pouvoir sur les mĂ©dias. Pour cela, rien de compliquĂ© : ce n’est plus le Ministère de l’Information qui nomme les responsables et dĂ©livre les autorisations d’Ă©mission hetziennes ou TNT pour la tĂ©lĂ©vision, mais un « comitĂ© thĂ©odule » ayant rang et avantages de ministère, dont le prĂ©sident est directement choisi et nommĂ© par le PrĂ©sident de la RĂ©publique pour appliquer ses choix politiques, et les membres nommĂ©s par le parti politique progressiste au pouvoir ! Nous eĂ»mes donc successivement (sources Wikipedia) :

 
Haute AutoritĂ© de la communication audiovisuelle (France)La Haute AutoritĂ© est crĂ©Ă©e par la loi du 29 juillet 1982. Elle est, entre autres missions, « chargĂ©e […] de garantir l’indĂ©pendance du service public de la radiodiffusion sonore » et de dĂ©livrer « les autorisations en matière de service locaux de radiodiffusion sonore par voie hertzienne ». Jeune institution, elle a le pouvoir de dĂ©cision. Ă€ ce titre, c’est elle qui attribue les frĂ©quences des radios privĂ©es FM naissantes. C’est aussi durant cette pĂ©riode que sont crĂ©Ă©es les chaĂ®nes de tĂ©lĂ©vision privĂ©es, Canal+, La Cinq et TV6.—Commission nationale de la communication et des libertĂ©sLa Commission nationale de la communication et des libertĂ©s (souvent abrĂ©gĂ© en CNCL) Ă©tait l’organisme français de rĂ©gulation de l’audiovisuel de 1986 Ă  1989. Il fut prĂ©sidĂ© par Gabriel de Broglie. La CNCL a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e par la loi du 30 septembre 1986 – dite loi LĂ©otard – en remplacement de la Haute AutoritĂ© de la communication audiovisuelle. C’est durant le mandat de la CNCL que fut privatisĂ©e TF1 et que furent rĂ©-attribuĂ©es les 5e et 6e chaĂ®nes de tĂ©lĂ©vision : La Cinq (version Hersant / Berlusconi) et M6. En 1989, elle fut remplacĂ©e par le Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel (CSA).—Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel (France)Le Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel (CSA) est entre 1989 et 2021 l’autoritĂ© française de rĂ©gulation de l’audiovisuel pour la radio et la tĂ©lĂ©vision. Sa mission Ă©tait de garantir l’exercice de la libertĂ© de communication audiovisuelle en France. Le 1er janvier 2022, le CSA et la Hadopi fusionnent et forment l’Arcom Le Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel est crĂ©Ă© par la loi du 17 janvier 1989 (dite « loi Tasca »)L 1 modifiant la loi du 30 septembre 1986. Il remplace la Commission nationale de la communication et des libertĂ©s (CNCL, 1986-1989), qui remplaçait elle-mĂŞme la Haute autoritĂ© de la communication audiovisuelle (1982-1986). Son but est de veiller Ă  la bonne application de la loi de 1986, prĂ©citĂ©e, sur la libertĂ© de communication en France. La loi sur l’indĂ©pendance de l’audiovisuel public du 15 novembre 2013 a encore renforcĂ© ce statut en lui attribuant « une personnalitĂ© morale et des ressources propres ». Le Conseil est dĂ©sormais qualifiĂ© « d’AutoritĂ© publique indĂ©pendante » (API), une autre forme d’autoritĂ© administrative indĂ©pendante. Cette mĂŞme loi de novembre 2013 lui redonne le pouvoir de nomination des prĂ©sidents des sociĂ©tĂ©s de l’audiovisuel public (France TĂ©lĂ©visions, Radio France et France MĂ©dias Monde) qu’il avait perdu en 2009. Ce type de structures existe dans de nombreux pays5, et en Europe, sont regroupĂ©s au sein du Groupe des rĂ©gulateurs europĂ©ens des services de mĂ©dias audiovisuels.—AutoritĂ© de rĂ©gulation de la communication audiovisuelle et numĂ©riqueL’AutoritĂ© de rĂ©gulation de la communication audiovisuelle et numĂ©rique (Arcom) est l’autoritĂ© publique indĂ©pendante française qui rĂ©sulte de la fusion le 1er janvier 2022 du Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel (CSA) et de la Haute AutoritĂ© pour la diffusion des Ĺ“uvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) Le ministre de la Culture Franck Riester dĂ©voile son nom le 24 septembre 20192. Un temps Ă©voquĂ©e, la fusion avec l’AutoritĂ© de rĂ©gulation des communications Ă©lectroniques, des postes et de la distribution de la presse (Arcep) n’est finalement pas retenue. L’AutoritĂ© de rĂ©gulation de la communication audiovisuelle et numĂ©rique est crĂ©Ă©e par la loi no 2021-1382 du 25 octobre 2021 relative Ă  la rĂ©gulation et Ă  la protection de l’accès aux Ĺ“uvres culturelles Ă  l’ère numĂ©rique (dite « RPAOCEN »). Ce nouveau rĂ©gulateur, nĂ© de la fusion du Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel (CSA) et de la Haute AutoritĂ© pour la diffusion des Ĺ“uvres et la protection des droits sur internet (Hadopi), est chargĂ© Ă  la fois des communications audiovisuelles et des communications numĂ©riques4. Parmi ses missions, l’on retrouve la lutte contre le piratage et les sites miroirs illicites. S’y ajoutent Ă©galement des mesures lĂ©gislatives confĂ©rant Ă  la nouvelle autoritĂ© des compĂ©tences nouvelles dans la lutte contre la retransmission illicite des manifestations et compĂ©titions sportives. Le collège de l’Arcom comprend neuf membres : trois dĂ©signĂ©s par le prĂ©sident du SĂ©nat, trois par le prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale, deux respectivement par le Conseil d’État et la Cour de cassation, tandis que son prĂ©sident est nommĂ© directement par le prĂ©sident de la RĂ©publique3. Ă€ sa fondation le 1er janvier 2022, ce collège est composĂ© des sept membres du collège (dont le prĂ©sident) de l’ancien Conseil supĂ©rieur de l’audiovisuel (CSA), dont les mandats ne sont pas interrompus du fait de l’entrĂ©e en vigueur de la loi dite « RPAOCEN » (dans son article 35), et des deux membres (dont le prĂ©sident) de l’ancienne Haute AutoritĂ© pour la diffusion des Ĺ“uvres et la protection des droits sur internet (Hadopi).

 

Un mensonge et une forfanterie de plus pour honorer l’oeuvre du clown đź¤ˇ, prĂ©posĂ© comme APATHIE ou COHEN aux commentaires de l’actualitĂ© nationale, sans jamais la moindre lassitude, de mai 2012 Ă  2017, et avait glorieusement dĂ©clarĂ© lors de sa fameuse « anaphore » théâtralement rĂ©citĂ©e lors du dĂ©bat d’entre deux tours de la prĂ©sidentielle 2012 :

« Moi PrĂ©sident de la RĂ©publique đź¤ˇ, je n’aurai pas la prĂ©tention de nommer les directeurs de chaĂ®nes de tĂ©lĂ©visions publiques. Je laisserai ça Ă  des instances indĂ©pendantes. »

AuditionnĂ© dans le cadre de la commission d’enquĂŞte parlementaire sur l’attribution, le contenu et le contrĂ´le des autorisations de la TNT, Olivier Schrameck, le fidèle qu’il avait nommĂ© Ă  sa tĂŞte, tĂ©moignait sous serment le jeudi 7 mars 2024 : 

«Le prĂ©sident Hollande đź¤ˇ, dans le cours d’une conversation, m’a dĂ©commandĂ© (sic) une ou deux personnes dont la rumeur publique indiquait qu’elles pouvaient ĂŞtre candidates Ă  une chaĂ®ne. VoilĂ , c’est tout.»

Autrement dit, avait diplomatiquement exigĂ© la nomination, Ă  la tĂŞte de FRANCE TELEVISION, – après Ă©limination des autres candidats – de sa fidèle, Delphine ERNOTTE, toujours en poste depuis 2015, jusqu’en 2025, missionnĂ©e au service exclusif de ses intĂ©rĂŞts personnels, aux frais du contribuable français.

 

Dans ce théâtre d’ombres en charge de tĂ©moigner de la rĂ©alitĂ© quotidienne de la comĂ©die humaine, dont les marionnettes agitĂ©es sont l’incarnation physique des grands personnages circassiens qui ont fondĂ© la famille mythique des clowns blancs et des augustes, force est de constater que ce sont les marionnettistes, beaucoup plus discrets et anonymes, engoncĂ©s dans leur grise tenue technocratique, et chevillĂ©es au corps leurs convictions de mĂ©pris du « peuple » et de la dĂ©mocratie, qui avancent inĂ©luctablement avec leurs certitudes mondialistes greffĂ©es sur leurs convictions rĂ©volutionnaires, dont la vaste amplitude s’Ă©tend du trotkisme rĂ©volutionnaire au wokisme dĂ©lirant, en passant par l’Ă©cologisme pastèque, et imposent l’universalitĂ© d’un monde nouveau,  bâti sur les ruines encore fumantes de l’ancien, portĂ© par les forces nouvelles rĂ©volutionnaires qui sont celles que le « think thank » maçon social-dĂ©mocrate « Terra Nova » avait dĂ©fini comme l’avenir après l’Ă©migration de la classe ouvrière vers des terres hostiles :

— Les diplĂ´mĂ©s
formĂ©s au travers la prise en main de l’universitĂ© et la recherche nationales pour les mouvements trotkistes : « plus on est diplĂ´mĂ©, plus on vote Ă  gauche ; moins on est diplĂ´mĂ©, plus on vote Ă  droite. constatait sobrement Terra Nova !
— Les jeunes
« C’est le coeur de l’Ă©lectorat de gauche aujourd’hui ; l’orientation politique du vote est très fortement corrĂ©lĂ©e Ă  l’âge : le vote Ă  gauche baisse avec l’âge ; et les sĂ©niors votent massivement Ă  droite »
— Les minoritĂ©s et les « quartiers populaires ! »
Quel doux euphĂ©misme ; pour les minoritĂ©s sexuelles, on sait Ă  quel point ils sont liĂ©s aux valeurs progressistes, au point qu’aujourd’hui la constitution d’un gouvernement doit comporter une paritĂ© fondĂ©e non seulement sur le sexe, la race et la couleur de peau, mais aussi et surtout l’orientation sexuelle ! Au point que pour beaucoup de nations Ă©trangères, la France – c’est difficile de nier cette Ă©vidence – est gouvernĂ©e par un gouvernement de « gitons », droits sortis  du Satyricon de PĂ©trone et amateurs des thèses philosophiques et de l’esthĂ©tisme dĂ©cadent dĂ©veloppĂ© dans le cabaret transformiste de Michou (dont on pourrait Ă  l’occasion proposer l’admission des cendres au PanthĂ©on, pour honorer son oeuvre en faveur de la « confusion des genres »)
Pour les « islamistes », on connaĂ®t depuis MITTERRAND la variable d’ajustement qu’ils constituent contre la montĂ©e victorieuse de l’extrĂŞme-droite, et les liens Ă©troits qui les unissent aux « gitons » technocratiques, tant en terme de fourniture de chair fraĂ®che pour pĂ©dophiles ou autres vieux leaders rĂ©volutionnaires fatiguĂ©s, et d’Ă©pouvantail contre le fascisme « d’extrĂŞme-droite ». Pouvoir s’Ă©lever en rempart contre la montĂ©e fasciste avant toute Ă©lection nationale est du dernier chic progressiste et constitue la martingale victorieuse d’une Ă©lection rĂ©ussie. Peu importe le prix qu’il en coĂ»te pour nos enfants, les assassinats des Lola, ThĂ©o et tous les viols et assassinats de nos grand-mères, puisque l’essentiel est de se maintenir au pouvoir, quel qu’en soit le prix et l’indignitĂ© !.
—Le fĂ©minisme
Et « Terra Nova » de constater :« Nous vivons un renversement historique : l’électorat féminin, hier très conservateur, a basculé dans le camp progressiste. La transition vers la gauche se poursuit à vive allure.
Point besoin de s’Ă©tendre plus avant ; aujourd’hui, nous avons Sardine RUISSEAU, Mathilde PANNOT – Chef du Groupe LFI Ă  l’AssemblĂ©e Nationale et Ă©gale en dignitĂ© Ă  Simone WEIL -, dont la place est dĂ©jĂ  retenue au PanthĂ©on lorsque le temps sera venu ; nous avons ME TOO, Audrey PULVARD et la glorieuse Assa TRAORE – assa Ă©gĂ©rie de LOUBOUTIN, « le chausseur sachant chausser »  (avec, dans leur sillage, l’activisme racialiste, dĂ©colonial et indigĂ©niste et leurs incessantes provocations et exactions), Marine TONDELIER (SecrĂ©taire gĂ©nĂ©rale d’Europe Ecologie – Les Verts) et son chevalier-servant, l’islamiste militant MEDINE, Sophie BINET, la secrĂ©taire gĂ©nĂ©rale de la CGT (qui refuse de s’exprimer sur CNEWS tout en se plaignant d’ĂŞtre boycottĂ©e !), Marylise LEON Ă  la tĂŞte de la CFDT, et les Ă©ternelles Christiane TAUBIRA, l’indĂ©pendantiste guyanaise que les progressistes voulaient porter Ă  la PrĂ©sidence de la RĂ©publique, Anne HIDALGO, l’andalouse, Maire de Paris, qui a ruinĂ© la ville et l’a ouverte Ă  l’invasion des « rats » d’Ă©gouts, et bien sĂ»r, l’Ă©ternel espoir marocain Najat VALLAUD-BELKACEM, ancienne Ministre de l’Education Nationale, qui piaffe d’impatience de reprendre son oeuvre de destruction massive après sa brutale sortie de route Ă©lectorale de 2017.

 

Néo-féminisme déconstructionniste

sardine

Sardine RUISSEAU & GĂ©rard MILLER
marine

Marine TONDELIER et l’activiste islamiste MEDINE
taha

L’activiste indigĂ©niste malienne Assa TRAORE et l’islamiste Taha BOUHAF
mathilde

La très sainte Mathilde PANOT, de LFI, et le dealer revendiqué Louis BOYARD, LFI également
assa

L’activiste indigĂ©niste malienne Assa TRAORE, EgĂ©rie de la marque de chaussures LOUBOUTIN
mathilda

La très sainte Mathilde PANOT, de LFI, postule déjà à rejoindre Simone WEIL au Panthéon

Au rang du bilan jamais dressĂ© de son quinquennat, on ne peut dĂ©nier quelques Ă©clatants succès Ă  Bozo 🤡 : de mĂŞme que la mise en Ĺ“uvre dans notre pays d’une politique malthusienne de dĂ©natalitĂ© massive contre la famille française, saluons la prise de contrĂ´le de la presse et des mĂ©dias audiovisuels publics par le camp progressiste et son instrumentalisation, avec l’argent public, au bĂ©nĂ©fice d’une caste minoritaire , qui au nom d’une supĂ©rioritĂ© intellectuelle supposĂ©e s’arroge le droit de conquĂ©rir et conserver le pouvoir, au travers des recettes de manipulation et de mensonge les plus grotesques et antidĂ©mocratiques.
Leur dĂ©ploiement, assurĂ© dès 2012 par Bozo đź¤ˇ et mĂ©thodiquement poursuivi par le « fils prodigue » corsètent et enchaĂ®nent  dĂ©sormais la sociĂ©tĂ©.
Parce que le clown  Bozo đź¤ˇ avait dĂ©crĂ©tĂ©, lors de ses incessantes « liaisons dangereuses et concubinages » avec la presse, que son succès inespĂ©rĂ© de 2012 reposait non pas sur ses idĂ©es ou son programme progressiste – puisqu’il n’en avait d’autre que le contrepied systĂ©matique de toutes les initiatives de son adversaire -, mais sur une prĂ©sence forcenĂ©e durant plus de 10 ans Ă  toutes les « FĂŞtes dĂ©partementales de la Rose » auxquelles il s’Ă©tait astreint d’assister au titre de premier secrĂ©taire du parti socialiste, pour acquĂ©rir la stature bonhomme d’homme simple, normal, sympathique et « jovial », amateur de bons vins, bon repas et « blagounettes salaces ».
Donc, cette occupation illimitĂ©e de l’espace public et cette prĂ©sence obsĂ©dante, voire cauchemardesque,  pour fournir en toute occasion un avis qui n’intĂ©resse personne, est la clef de son retour aux affaires ; elle est d’autant plus facile que les structures mises en place entre 2012 et 2017 sont toujours prĂ©sentes, et que les fidèles qu’il a fait nommer Ă  leur tĂŞte exercent toujours leurs fonctions. C’est donc une FRANCE progressiste rĂŞvĂ©e par Bozo đź¤ˇ le Clown qui nous est imposĂ©e quotidiennement sur les mĂ©dias de service public (RADIO FRANCE et FRANCE TELEVISION), mais aussi sur des chaĂ®nes d’information telles BFM TV (propriĂ©tĂ© de Patrick DRAHI, Groupe de Telecommunication SFR, dirigĂ©e par le grand leader du mouvement LGBT, Marc Olivier FOGIEL, militant charismatique de la GPA), ou LCI (du Groupe TF1 dont le joyau est constituĂ© par la tapette honteuse Ian BARTHES et son Ă©mission  QUOTIDIEN sur RMC, propriĂ©tĂ© de BOUYGUES, crĂ©ateur et PDG de BOUYGUES TELECOM). En faisant financer sur le budget public tous les titres de presse de gauche en faillite, en conditionnant adroitement l’obtention des licences exploitation des rĂ©seaux de tĂ©lĂ©phonies mobiles Ă  la reprise des chaĂ®nes d’information et leur exploitation par la propagande gouvernementale, Bozo đź¤ˇ a construit une citadelle inexpugnable dont il occupe toujours le donjon.
D’ailleurs, le 5 juillet 2023, dĂ©posant sous serment devant une commission d’enquĂŞte, la PrĂ©sidente de FRANCE TELEVISION – choisie pour servir les intĂ©rĂŞts Ă©lectoraux de Bozo đź¤ˇ et toujours en fonction – a justifiĂ© le total manque de neutralitĂ© des services d’information des chaĂ®nes qu’elle dirige,   au motif que :

Je tiens Ă  dire qu’on ne reprĂ©sente pas la France telle qu’elle est parce que si on reprĂ©sentait la France telle qu’elle est, on aurait toujours 5% de femmes dans les expertes (…) mais on essaie de reprĂ©senter la France telle qu’on voudrait qu’elle soit », a dĂ©clarĂ© Delphine Ernotte lors de son audition Ă  l’AssemblĂ©e nationale le 5 juillet. 

Ces propos sont la parfaite illustration de l’une des rares certitudes politiques mises en oeuvre par Bozo đź¤ˇ : faute de projet, faute d’idĂ©es, faute de vision d’avenir, faute de parti pour le soutenir et d’Ă©lectorat pour le porter au pouvoir, il faut occuper, au risque du dĂ©goĂ»t et de la nausĂ©e l’espace mĂ©diatique public dont il est le maĂ®tre, afin d’obtenir l’effet roboratif recherchĂ©, imposer son image et ainsi se rendre indispensable. Du moins, l’espère-t-il !

Et c’est ainsi que nous sommes tĂ©moins depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2024 d’une incroyable indigestion d’Ă©missions qui lui sont entièrement consacrĂ©es, bien qu’il n’ait aucune actualitĂ© Ă  prĂ©senter. Il peut s’exprimer – sans la moindre question gĂŞnante des animateurs,  jamais ĂŞtre interrompu ou affronter le moindre contradicteur, et jouer – en toute quiĂ©tude –  son numĂ©ro de cirque.
Le festival dĂ©buta sur LCI, vite rejoint par toutes les Ă©missions politiques dont il a fait nommer les animateurs :  » QUELLE EPOQUE », de Hala SALAME sur FR2, quasiment membre de sa famille puisque concubine du candidat progressiste aux Ă©lections europĂ©ennes ; C A VOUS », « C POLITIQUE », « C MEDIATIQUE », « C CE SOIR » bien sĂ»r, sur FR5, dont presque tous les prĂ©sentateurs, issus de son cercle rapprochĂ©, ont consacrĂ© un ou plusieurs ouvrages Ă  son quinquennat et qu’il a imposĂ©s sur le service public ; bouquet final une Ă©mission entièrement Ă  sa gloire sur « QUOTIDIEN » de BARTHES, co-animĂ©e par Jean-Michel APATHIE, (activiste socialiste, ancien permanent du parti dĂ©tachĂ© en opĂ©ration spĂ©ciale dans le monde mĂ©diatique). Des Ă©missions de plus d’une heure, aux heures d’Ă©coute privilĂ©giĂ©es, oĂą les prĂ©sentateurs laquais qu’il a choisi peuvent cirer puis lustrer ses chaussures, en trouvant le moyen de ne poser aucune question embarrassante ou gĂŞnante, sinon le faire rosir de plaisir lorsque Jean-Michel APATHIE dresse son Ă©loge dithyrambique  et prĂ©dit qu’il sera le seul candidat crĂ©dible du camp progressiste uni pour parvenir au pouvoir en 2027 !
Qui peut, de nos jours, prĂ©tendre Ă  un tel traitement sur les mĂ©dias audiovisuels ? Et malgrĂ© cela …

 

Quel plaisir toujours renouvelĂ© que de pouvoir apparaĂ®tre sur des plateaux TV amis et bienveillants, tel que « Quotidien » : avec Ian BARTHES, aucun risque d’ĂŞtre interrompu ou soumis Ă  une quelconque question embarrassante ! Et puis, il y a le plaisir d’entendre Jean-Michel APATHIE, permanent du Parti Socialiste lorsque j’en Ă©tais le Premier SecrĂ©taire : cirage des chaussures, lustrage, et mĂŞme glaçage assurĂ©, tout en l’Ă©coutant vanter mes immenses qualitĂ©s et talents et conclure que j’Ă©tais le seul candidat crĂ©dible de « gauche ! » pour les Ă©lections prĂ©sidentielles de 2027 ! Le vrai journalisme tel que « Je »  đź¤ˇ le conçois