
Décidément, au même titre que l’inflation budgétaire, la ruine et l’effondrement de l’Etat balayé comme château de sable par la vague wokiste, la castration juridique du régalien qui réduit à l’impuissance l’exécutif, les admissions au Panthéon des héros du wokisme triomphant, la multiplication des valeurs constitutionnelles républicaines délirantes imposées sans consultation du suffrage universel et contre la volonté majoritaire par une élite technocratique de « gitons » dévoyés, restera un marqueur essentiel de la période historique 2012-2027 !
Mais, à l’exemple de leur « leader » chancelant actuel, ils n’en sont point à une contradiction près lorsqu’ils demandent ironiquement aux français de « faire des enfants », après avoir constaté l’effondrement de la natalité dans le pays, résultat de la politique malthusienne du clown Bozo 🤡 taillant à la serpe dans le montant des allocations familiales des familles pour alimenter ses grandes politiques de financement de la caisse de chômage des 360.000 « intermittents » et « punks à chiens » du spectacle, d’accueil et de prise en charge matérielle et médicale de tous les immigrés économiques rentrés illégalement dans le pays, imposant par la violence et la terreur médiatique le « mariage pour tous », tellement porteur d’avenir pour la démographie nationale, facilitant par un remboursement à 100% et généralisant l’Interruption Volontaire de Grossesse comme moyen de contraception le plus populaire du pays (le taux d’avortement en France est infiniment plus important que chez ses voisins (234.300 IVG en 2022 – en augmentation permanente – pour 678.000 naissances – en chute continue – en 2023) ; à comparer à l’ALLEMAGNE par exemple : 96800 ivg en 2021 – en baisse constante, malgré une population supérieure de 20 millions d’habitants).
Et le fils prodigue, méprisant et provocateur, demande aux français de « faire des enfants » alors que lui n’en élève pas un seul ; il use, sans la moindre dignité ni respect, du désespoir de pauvres femmes, manipulées par les associations féministes militantes d’extrême gauche, (auxquelles il a déjà octroyé, après le « mariage pour tous », la « Procréation Médicalement Assistée »), pour se refaire une virginité politique après ses graves déboires et échecs au niveau national et international du mois de février, en l’inscrivant comme droit imprescriptible dans la constitution afin qu’il devienne inaliénable : car, chez les progressistes, on maîtrise le temps et l’avenir : « vérité d’un jour, vérité de toujours ! »

Les progressistes, toujours en avance d’une guerre, sont les éclaireurs du progrès universel : qui ne souvient de l’admirable résistance des élus socialistes et communistes, dans les années 1980, à la simple vidéosurveillance des « Distributeurs de Billets » bancaires, au motif qu’ils risquaient d’empiéter sur le domaine public et de violer l’intimité de certains passants ; cette opposition enragée permit au pays de prendre dix ans de retard sur ses voisins, jusqu’à ce que le principe de réalité ne vienne ternir le tableau idyllique : des affaires criminelles (notamment enlèvement et assassinats d’enfants, ainsi que des attentats aveugles dans le métro, au Royaume Uni) ne soient résolus grâce à l’apport de ces images, alors qu’en FRANCE, pays des droits de l’homme, ce genre d’affaires restaient irrésolus car l’on protège plus que tout les droits des voyous et des criminels ! D’opposants farouches, les socialistes sont devenus en quarante ans des inconditionnels de la vidéosurveillance, et aucune administration municipale progressiste n’en fait plus aujourd’hui l’économie.
Ils étaient férocement opposés également à la création des Polices Municipales, avant que les réalités ne les y convertissent ! Les plus enragés, tel le PARIS LGBT d’Anne HIDALGO, s’opposent encore par idéologie à leur armement, mais la aussi, sous le poids des réalités et de l’échec patent de leurs politiques nationales et locales, aggravé par la mise en danger de leurs agents – incapables de se défendre face à des délinquants de plus en plus souvent armés -, ils doivent progressivement se convertir !. Que de temps et combien de vies innocentes perdues du fait de leur incurie !
Dès leur arrivée au pouvoir, après la mise en œuvre économique du « programme commun », (nationalisation de l’économie qui précipita la ruine du pays), l’abolition de la peine de mort qui constituait l’obsession de BADINTER servit de cache-misère, puis vint la libération des ondes FM et la création des radios dites « libres ».
« Liberté, liberté chérie, combats avec tes défenseurs ! » : et les défenseurs, en l’occurrence, ne pouvaient qu’être progressistes, et mieux encore « trotkistes » et « wokistes » ! Après les exécutions publiques sans appel du Ministère de l’Information et son responsable dans le gouvernement POMPIDOU, Alain PEYREFITTE, ainsi que du monopole d’Etat sur l’audiovisuel public en France financé par le budget national dont les responsables étaient nommés par le pouvoir exécutif, c’est donc un ignoble maquignonnage qui perdure depuis les mandats mitterrandiens pour camoufler grotesquement sous les oripeaux porteurs « d’indépendance » et de « liberté » la mainmise absolue du pouvoir sur les médias. Pour cela, rien de compliqué : ce n’est plus le Ministère de l’Information qui nomme les responsables et délivre les autorisations d’émission hetziennes ou TNT pour la télévision, mais un « comité théodule » ayant rang et avantages de ministère, dont le président est directement choisi et nommé par le Président de la République pour appliquer ses choix politiques, et les membres nommés par le parti politique progressiste au pouvoir ! Nous eûmes donc successivement (sources Wikipedia) :
« Moi Président de la République 🤡, je n’aurai pas la prétention de nommer les directeurs de chaînes de télévisions publiques. Je laisserai ça à des instances indépendantes. »
Auditionné dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire sur l’attribution, le contenu et le contrôle des autorisations de la TNT, Olivier Schrameck, le fidèle qu’il avait nommé à sa tête, témoignait sous serment le jeudi 7 mars 2024 :
«Le président Hollande 🤡, dans le cours d’une conversation, m’a décommandé (sic) une ou deux personnes dont la rumeur publique indiquait qu’elles pouvaient être candidates à une chaîne. Voilà, c’est tout.»
Autrement dit, avait diplomatiquement exigé la nomination, à la tête de FRANCE TELEVISION, – après élimination des autres candidats – de sa fidèle, Delphine ERNOTTE, toujours en poste depuis 2015, jusqu’en 2025, missionnée au service exclusif de ses intérêts personnels, aux frais du contribuable français.
Dans ce théâtre d’ombres en charge de témoigner de la réalité quotidienne de la comédie humaine, dont les marionnettes agitées sont l’incarnation physique des grands personnages circassiens qui ont fondé la famille mythique des clowns blancs et des augustes, force est de constater que ce sont les marionnettistes, beaucoup plus discrets et anonymes, engoncés dans leur grise tenue technocratique, et chevillées au corps leurs convictions de mépris du « peuple » et de la démocratie, qui avancent inéluctablement avec leurs certitudes mondialistes greffées sur leurs convictions révolutionnaires, dont la vaste amplitude s’étend du trotkisme révolutionnaire au wokisme délirant, en passant par l’écologisme pastèque, et imposent l’universalité d’un monde nouveau, bâti sur les ruines encore fumantes de l’ancien, porté par les forces nouvelles révolutionnaires qui sont celles que le « think thank » maçon social-démocrate « Terra Nova » avait défini comme l’avenir après l’émigration de la classe ouvrière vers des terres hostiles :
- — Les diplômés
- formés au travers la prise en main de l’université et la recherche nationales pour les mouvements trotkistes : « plus on est diplômé, plus on vote à gauche ; moins on est diplômé, plus on vote à droite. constatait sobrement Terra Nova !
- — Les jeunes
- « C’est le coeur de l’électorat de gauche aujourd’hui ; l’orientation politique du vote est très fortement corrélée à l’âge : le vote à gauche baisse avec l’âge ; et les séniors votent massivement à droite »
- — Les minorités et les « quartiers populaires ! »
- Quel doux euphémisme ; pour les minorités sexuelles, on sait à quel point ils sont liés aux valeurs progressistes, au point qu’aujourd’hui la constitution d’un gouvernement doit comporter une parité fondée non seulement sur le sexe, la race et la couleur de peau, mais aussi et surtout l’orientation sexuelle ! Au point que pour beaucoup de nations étrangères, la France – c’est difficile de nier cette évidence – est gouvernée par un gouvernement de « gitons », droits sortis du Satyricon de Pétrone et amateurs des thèses philosophiques et de l’esthétisme décadent développé dans le cabaret transformiste de Michou (dont on pourrait à l’occasion proposer l’admission des cendres au Panthéon, pour honorer son oeuvre en faveur de la « confusion des genres »)
Pour les « islamistes », on connaît depuis MITTERRAND la variable d’ajustement qu’ils constituent contre la montée victorieuse de l’extrême-droite, et les liens étroits qui les unissent aux « gitons » technocratiques, tant en terme de fourniture de chair fraîche pour pédophiles ou autres vieux leaders révolutionnaires fatigués, et d’épouvantail contre le fascisme « d’extrême-droite ». Pouvoir s’élever en rempart contre la montée fasciste avant toute élection nationale est du dernier chic progressiste et constitue la martingale victorieuse d’une élection réussie. Peu importe le prix qu’il en coûte pour nos enfants, les assassinats des Lola, Théo et tous les viols et assassinats de nos grand-mères, puisque l’essentiel est de se maintenir au pouvoir, quel qu’en soit le prix et l’indignité !. - —Le féminisme
- Et « Terra Nova » de constater :« Nous vivons un renversement historique : l’électorat féminin, hier très conservateur, a basculé dans le camp progressiste. La transition vers la gauche se poursuit à vive allure.
Point besoin de s’étendre plus avant ; aujourd’hui, nous avons Sardine RUISSEAU, Mathilde PANNOT – Chef du Groupe LFI à l’Assemblée Nationale et égale en dignité à Simone WEIL -, dont la place est déjà retenue au Panthéon lorsque le temps sera venu ; nous avons ME TOO, Audrey PULVARD et la glorieuse Assa TRAORE –égérie de LOUBOUTIN, « le chausseur sachant chausser » (avec, dans leur sillage, l’activisme racialiste, décolonial et indigéniste et leurs incessantes provocations et exactions), Marine TONDELIER (Secrétaire générale d’Europe Ecologie – Les Verts) et son chevalier-servant, l’islamiste militant MEDINE, Sophie BINET, la secrétaire générale de la CGT (qui refuse de s’exprimer sur CNEWS tout en se plaignant d’être boycottée !), Marylise LEON à la tête de la CFDT, et les éternelles Christiane TAUBIRA, l’indépendantiste guyanaise que les progressistes voulaient porter à la Présidence de la République, Anne HIDALGO, l’andalouse, Maire de Paris, qui a ruiné la ville et l’a ouverte à l’invasion des « rats » d’égouts, et bien sûr, l’éternel espoir marocain Najat VALLAUD-BELKACEM, ancienne Ministre de l’Education Nationale, qui piaffe d’impatience de reprendre son oeuvre de destruction massive après sa brutale sortie de route électorale de 2017.
Néo-féminisme déconstructionniste

Sardine RUISSEAU & Gérard MILLER

Marine TONDELIER et l’activiste islamiste MEDINE

L’activiste indigéniste malienne Assa TRAORE et l’islamiste Taha BOUHAF

La très sainte Mathilde PANOT, de LFI, et le dealer revendiqué Louis BOYARD, LFI également

L’activiste indigéniste malienne Assa TRAORE, Egérie de la marque de chaussures LOUBOUTIN

La très sainte Mathilde PANOT, de LFI, postule déjà à rejoindre Simone WEIL au Panthéon
Au rang du bilan jamais dressé de son quinquennat, on ne peut dénier quelques éclatants succès à Bozo 🤡 : de même que la mise en œuvre dans notre pays d’une politique malthusienne de dénatalité massive contre la famille française, saluons la prise de contrôle de la presse et des médias audiovisuels publics par le camp progressiste et son instrumentalisation, avec l’argent public, au bénéfice d’une caste minoritaire , qui au nom d’une supériorité intellectuelle supposée s’arroge le droit de conquérir et conserver le pouvoir, au travers des recettes de manipulation et de mensonge les plus grotesques et antidémocratiques.
Leur déploiement, assuré dès 2012 par Bozo 🤡 et méthodiquement poursuivi par le « fils prodigue » corsètent et enchaînent désormais la société.
Parce que le clown Bozo 🤡 avait décrété, lors de ses incessantes « liaisons dangereuses et concubinages » avec la presse, que son succès inespéré de 2012 reposait non pas sur ses idées ou son programme progressiste – puisqu’il n’en avait d’autre que le contrepied systématique de toutes les initiatives de son adversaire -, mais sur une présence forcenée durant plus de 10 ans à toutes les « Fêtes départementales de la Rose » auxquelles il s’était astreint d’assister au titre de premier secrétaire du parti socialiste, pour acquérir la stature bonhomme d’homme simple, normal, sympathique et « jovial », amateur de bons vins, bon repas et « blagounettes salaces ».
Donc, cette occupation illimitée de l’espace public et cette présence obsédante, voire cauchemardesque, pour fournir en toute occasion un avis qui n’intéresse personne, est la clef de son retour aux affaires ; elle est d’autant plus facile que les structures mises en place entre 2012 et 2017 sont toujours présentes, et que les fidèles qu’il a fait nommer à leur tête exercent toujours leurs fonctions. C’est donc une FRANCE progressiste rêvée par Bozo 🤡 le Clown qui nous est imposée quotidiennement sur les médias de service public (RADIO FRANCE et FRANCE TELEVISION), mais aussi sur des chaînes d’information telles BFM TV (propriété de Patrick DRAHI, Groupe de Telecommunication SFR, dirigée par le grand leader du mouvement LGBT, Marc Olivier FOGIEL, militant charismatique de la GPA), ou LCI (du Groupe TF1 dont le joyau est constitué par la tapette honteuse Ian BARTHES et son émission QUOTIDIEN sur RMC, propriété de BOUYGUES, créateur et PDG de BOUYGUES TELECOM). En faisant financer sur le budget public tous les titres de presse de gauche en faillite, en conditionnant adroitement l’obtention des licences exploitation des réseaux de téléphonies mobiles à la reprise des chaînes d’information et leur exploitation par la propagande gouvernementale, Bozo 🤡 a construit une citadelle inexpugnable dont il occupe toujours le donjon.
D’ailleurs, le 5 juillet 2023, déposant sous serment devant une commission d’enquête, la Présidente de FRANCE TELEVISION – choisie pour servir les intérêts électoraux de Bozo 🤡 et toujours en fonction – a justifié le total manque de neutralité des services d’information des chaînes qu’elle dirige, au motif que :
Je tiens à dire qu’on ne représente pas la France telle qu’elle est parce que si on représentait la France telle qu’elle est, on aurait toujours 5% de femmes dans les expertes (…) mais on essaie de représenter la France telle qu’on voudrait qu’elle soit », a déclaré Delphine Ernotte lors de son audition à l’Assemblée nationale le 5 juillet.
Ces propos sont la parfaite illustration de l’une des rares certitudes politiques mises en oeuvre par Bozo 🤡 : faute de projet, faute d’idées, faute de vision d’avenir, faute de parti pour le soutenir et d’électorat pour le porter au pouvoir, il faut occuper, au risque du dégoût et de la nausée l’espace médiatique public dont il est le maître, afin d’obtenir l’effet roboratif recherché, imposer son image et ainsi se rendre indispensable. Du moins, l’espère-t-il !
Le festival débuta sur LCI, vite rejoint par toutes les émissions politiques dont il a fait nommer les animateurs : » QUELLE EPOQUE », de Hala SALAME sur FR2, quasiment membre de sa famille puisque concubine du candidat progressiste aux élections européennes ; C A VOUS », « C POLITIQUE », « C MEDIATIQUE », « C CE SOIR » bien sûr, sur FR5, dont presque tous les présentateurs, issus de son cercle rapproché, ont consacré un ou plusieurs ouvrages à son quinquennat et qu’il a imposés sur le service public ; bouquet final une émission entièrement à sa gloire sur « QUOTIDIEN » de BARTHES, co-animée par Jean-Michel APATHIE, (activiste socialiste, ancien permanent du parti détaché en opération spéciale dans le monde médiatique). Des émissions de plus d’une heure, aux heures d’écoute privilégiées, où les présentateurs laquais qu’il a choisi peuvent cirer puis lustrer ses chaussures, en trouvant le moyen de ne poser aucune question embarrassante ou gênante, sinon le faire rosir de plaisir lorsque Jean-Michel APATHIE dresse son éloge dithyrambique et prédit qu’il sera le seul candidat crédible du camp progressiste uni pour parvenir au pouvoir en 2027 !