Comme dans les tragédies antiques où des personnages légendaires, confrontés à des choix déchirants, démontrent leur grandeur d’âme, leur héroïsme et une conscience collective supérieure en livrant un combat désespéré contre la fatalité, aux dépens de leurs propres sentiments et intérêts, pour s’élever, à l’égal de demi dieux grecs, dans une transcendance sublimée, qui, au delà de leur simple existence terrestre, les promeut au rang de héros et d’archétypes universels, l’histoire recèle parfois de telles circonstances exceptionnelles où se révèlent, sortis de nulle part, des êtres et des caractères d’exception. Pour la France contemporaine, on s’accorde généralement à classer, au rang des ces géants, Napoléon Bonaparte qui, au sortir du chaos révolutionnaire, façonna la France moderne, et bien sûr le Général de Gaulle qui sauva l’honneur du pays que les progressistes avaient jeté dans les poubelles de l’histoire, lors de la dernière guerre mondiale, puis le dota d’institutions fortes qui lui donnent une gouvernance stable et pérenne dans les pires tempêtes, favorisa et planifia l’éclosion d’une économie moderne et puissante, rénova et révolutionna notre outil militaire, permettant au pays de reprendre sa place dans le concert des nations.
Pour les progressistes, qui occupent le devant de la scène avec régularité depuis 1981, le projet est autre : communiquer à profusion, substituer la logorrhée verbale à l’action, fonder sa réussite durable sur une manipulation et une instrumentalisation des justices et médias pour imposer envers et contre tout, par ces méthodes totalitaires, au mépris d’un suffrage universel et d’une souveraineté populaire devenus toxiques et méprisables, des réformes structurelles, sociales ou des décisions en faveur de catégories sociales ou de mafias d’activistes sexuels ou religieux, minoritaires mais privilégiées car présentées, dans la fameuse étude du « thing tank » maçonnique Terra Nova en 2011, comme le nouveau gisement d’électeurs après la désertion de la classe ouvrière vers des terres plus droitières, pour imposer la suppression de l’état nation France et le fondre dans un ensemble supra européen ouvert aux quatre vents et sans frontière régi par les seuls intérêts économiques de ses membres les plus puissants.
Et la lutte est terrible entre Présidents progressistes pour déterminer lequel, devant l’histoire, portera le titre de Président le plus irresponsable et calamiteux !
- alchimiste incontestable de la magouille et du tripatouillage, réussit la transmutation de l’action politique en trivial outil de séduction massive au service de sa vie amoureuse et sentimentale ; à l’instar du Président Félix Faure, décédé pantalon et culotte baissés dans le « salon bleu » de l’Élysée des suites d’une savante caresse buccale pratiquée par sa maîtresse demi-mondaine Marguerite Steinheill (l’histoire ne retient de ce Président que la réponse à la question posée au Valet de Chambre par le Prêtre venu administrer les derniers sacrements : : « Le Président a-t-il encore sa connaissance ? » : « Non, elle s’est esquivée par les escaliers ! » et le terrible éloge funèbre prononcé par son adversaire politique Georges Clémenceau :« Il voulut être César, il ne fut que Pompée ! ») il a ridiculisé et humilié le pays dans le concert international, l’Elysée devenant décorum d’une triviale pièce de boulevard où, dans l’hilarité générale et le claquement des portes qui s’ouvrent et se ferment sans interruption, se succèdent les maîtresses issues des monde médiatique et culturel subventionnés devant des services de sécurité présidentiels réduits au rôle de chauffeurs de scooter pour se rendre aux rendez-vous galants, de valets de pied en charge de servir café et viennoiseries, et pourquoi pas faire le lit et le ménage, puis changer les draps, après le départ des amants !
Il s’inscrit là dans la grande tradition progressiste, la plus avancée, libérale et libérée, incarnée par des pédophiles qui ont toujours soutenu son élection car assurés qu’ils n’encourraient aucune poursuite quelle que soit la monstruosité de leurs crimes. On pense bien entendu au cénacle prestigieux formé par les membres de « l’Anneau Pédophile de la Villa Majorelle » à Marrakech, regroupés autour Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent. Ils s’étaient manifestés en signant dès 1977 une pétition rédigée par Gabriel Matzneff exigeant une sexualité libre pour les enfants et surtout le droit pour eux d’exploiter leur corps et l’innocence de leur enfance en toute impunité. On retrouve parmi les signataires les membres les plus éminents de la « gauche » française, autour de SARTRES, DE BEAUVOIR, GLUKSMAN (le père), Bernard KOUCHNER et tous ces intellectuels fourvoyés dans le militantisme pro-soviétique et maoïste, justifiant les centaines de milliers d’assassinats, d’exécutions sans jugement, de déportations dans les goulags, la révolution culturelle maoïste, le génocide cambodgien et la suppression des libertés au nom du dogme progressiste, le bonheur des classes laborieuses contre leur volonté. Si beaucoup ont disparu aujourd’hui, leur descendance est foisonnante et on la retrouve dans le monde des lettres et du spectacle, dans la presse écrite et le monde audiovisuel, pour lequel elle constitue l’indispensable « passe » d’entrée ; il y a bien sûr cette caste pédérastique, désormais menée par Marc Olivier FOGIEL, le Directeur militant de FBM TV, mais aussi tous ces présentateurs qui ont suivi son exemple dans la GPA et militent intensément à ses côtés pour sa totale légalisation : Christophe BEAUGRAND, JARRY, et tous ces privilégiés aisés en mesure d’acquérir par caprice passager des enfants conçus par GPA à l’étranger, qui ne connaîtront jamais leur mamans et dont la conception n’est pas actée par un acte d’amour entre deux êtres, mais par contrat commercial d’un montant minimal de 140.000 € !
Nombre sont aujourd’hui dénoncés et poursuivis pour des actes de viol, d’incestes sur enfants, d’agressions sexuelles : ils ont pour point commun d’être des militants de gauche, soutiens inaltérables du clown BOZO ! Les derniers en date sont Gérard MILLER, le psychanalyste donneur de leçons, ami intime de Sardine Ruisseau ; et le plus douloureux pour BOZO, son cher copain le Docteur PELLOUX, ultra-médiatique représentant du syndicat des urgentistes, cité dans son livre par la très honorable infectiologue, chef de service à l’Hôpital Saint Antoine Karine LACOMBE. BOZO, clown tragique, s’était exhibé avec lui lors du « grand rassemblement républicain » du 11 janvier 2015, accompagné par tous les dirigeants de la planète après l’attentat islamiste contre la rédaction de CHARLIE HEBDO et ils s’étaient longuement enlacé devant les caméras du monde entier, alors qu’un pigeon taquin bombardait de fiente une manche de la veste présidentielle.
Si son action fut nulle en matière de respect des engagements souscrits lors de sa campagne, on lui doit cependant le dé-tricotage systématique de toutes les initiatives de son prédécesseur haï ; la totale prise de contrôle de la presse écrite par les grandes entreprises de téléphonie mobile, au prix pour le contribuable d’importantes subventions versées par le Trésor Public pour éviter dépôts de bilan et faillites de la presse progressiste,( les opérateurs mobiles bénéficiant en contrepartie de favoritisme en matière d’obtention de licences d’exploitation des réseaux mobiles) ; des médias audiovisuels bien sûr totalement corsetés au service du progressisme par la nomination aux postes de direction et les rédactions en chef de membres militants ou asservis au pouvoir ; et bien sûr, la nomination par l’indépendantiste guyanaise Garde des Sceaux des membres du Syndicat de la Magistrature, trotkistes d’extrême gauche, auxquels fut délégué non seulement la gestion du Ministère par l’exclusivité des nominations au sein de son cabinet, mais aussi à la tête des plus hautes juridictions pénales et civiles du pays, et surtout le recrutement et la formation des nouveaux magistrats en leur confiant la direction de l’ENM BORDEAUX et la responsabilité de la sélection lors du concours d’entrée.
On doit le créditer également de l’explosion du chômage dans le pays, l’augmentation abyssale de la dette et du déficit du commerce extérieur, des impôts, l’explosion de l’insécurité, l’invasion du pays par l’immigration sauvage accueillie à bras ouverts, les vagues d’attentats terroristes islamistes non pris au sérieux par le gouvernement qui coûtèrent la vie à plusieurs centaines d’innocents, l’appauvrissement de la santé publique.
Etaient favorisées dans des conditions scandaleuses certaines catégories, à l’exemple des « intermittents du spectacle et punks à chiens », au nombre extraordinaire de 360.000 (alors qu’ils n’existent pas dans les pays comparables) et le financement de leur caisse de chômage par le Trésor Public, pour le seul caprice de la maîtresse présidentielle qui est leur tutrice légale et toute puissante.
Par sa politique familiale malthusienne, il a sapé l’équilibre démographique français au bénéfice des populations musulmanes immigrées et favorisé les minorités homosexuelles (qui finançaient ses campagnes électorales) en imposant le « mariage pour tous » et ses dommages collatéraux inévitables que sont la « procréation médicalement assistée » et la « gestation pour autrui », négation absolue et honteuse de la famille hétérosexuelle qui fonde l’unité de l’espèce humaine depuis ses origines ; du respect du corps de la femme et de la maternité, des droits de l’enfant transformé en bien de consommation courante, jetable et révocable, utilisé à la fois comme « otage » et « bouclier », au nom de la sainte croisade de « lutte contre l’homophobie » pour la satisfaction des caprices de la communauté LGBTQUIA++.
D’ailleurs, alors que la GPA constituait (et constitue toujours) un délit en FRANCE, le Président de la République félicitait son grand ami Marc-Olivier FOGIEL d’avoir « acheté » deux petites filles aux Etats-Unis pour les rapatrier en France et les doter d’un état-civil national au nom de leurs deux pères. Successeur de feu le grand maître du lobby « gay » européen Pierre Bergé, FOGIEL clame dans l’ouvrage qu’il a consacré à cette opération commerciale : « Qu’est-ce qu’elle a ma famille ? » toute sa fierté d’avoir été personnellement félicité par le Chef de l’État, d’avoir satisfait son caprice onéreux. Et ce, alors même que le Parlement Européen dans sa séance strasbourgeoise du 23 avril 2024 vient de voter, à une écrasante majorité (567 voix pour, 7 contre, 17 abstentions) une directive définitive classant l’exploitation de la gestation pour autrui (GPA) au rang de crime au niveau de l’Union européenne au même titre que l’esclavage ou la prostitution forcée, c’est-à-dire un crime grave et de dimension transfrontalière. La Directive cible en particulier les personnes qui forcent les femmes à être mères porteuses ou qui les amènent à le devenir par la ruse. Des sanctions seront prévues notamment pour les entreprises qui tirent profit de cette pratique et qui sont donc reconnues coupables de ce trafic.Un bilan trop succinct bien entendu pour décrire les forfaits du personnage totalement imbu de sa personne, premier président à recevoir constamment des journalistes dans son intimité et leur accordant plus de temps et d’importance qu’à ses ministres pour traiter des affaires de l’Etat, puisque – hors les magouilles politiciennes et les savantes maoeuvres d’état-major de communication afin de tromper et manipuler l’opinion publique – il se désintéressait de l’action politique, n’étant obsédé que par l’hagiographie de son règne dont devrait témoigner la « valetaille » journalistique devant l’histoire.
Au rang de ses grandes réussites, citons encore l’intervention des forces françaises au Mali pour maintenir en place le gouvernement mis à mal par l’invasion islamiste ; après que 53 de nos soldats aient perdu la vie dans cette aventure, que le pays ait englouti des sommes considérables, on connaît comment la France fut remerciée par l’expulsion honteuse et pitoyable de nos forces armées du Sahel, remplacées par une milice fasciste russe au service du dictateur Poutine.
Mais aussi la gestion de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, où devait être tansféré le nouvel aéroport de Nantes, avec l’accord légal de tous les élus locaux et toutes les autorisations judiciaires et administratives accordées après des années de procédure ; pour se dépétrer de l’occupation des lieux par les écologistes ultras, renforcés par les « black blocs », le Président opta pour un référendum populaire local dont il s’engagea à faire respecter l’issue. Le choix en faveur de l’aéroport fut largement acté par le vote populaire, et, comme d’habitude, Bozo-le-Clown 🤡 ne fit rien, glissa prudemment sous le tapis le résultat du vote qu’il avait organisé, et laissa pourrir la situation pour passer la « patate chaude » à son successeur.
Mais la situation a évolué depuis son ostracisation du pouvoir : seul dans le désert, il n’a jamais cessé de croire en lui-même et à son retour inéluctable aux affaires. Les médias de service public, dévoués à sa cause puisque dirigeants et animateurs lui doivent leur poste, le soutiennent intensément depuis sa déroute, et sa présence dans l’audiovisuel est alarmante, au point que se pose la question de l’utilité de l’ARCOM, créée pour soi-disant veiller au respect de l’équité républicaine, et si impitoyable lorsqu’il s’agit de faire taire et de censurer les opposants aux thèses progressistes et tellement laxiste pour les incessantes apparitions et prises de parole de l’ancien Président.
Et comment lui pardonner sa lâcheté proverbiale, son positionnement électoraliste systématique en faveur des voyous et délinquants lorsqu’ils se trouvent confrontés aux services de police : l’expulsion de Léonarda DIBRANI, en 2013, à laquelle il propose lors d’une intervention télévisée de rester étudier en France, malgré des jugements définitifs des justices pénales et administratives ; ou l’affaire Théo LUHAKA où il se précipite, à grand renfort de journalistes, photographes et surtout caméras TV et au mépris des règles les plus élémentaires sur la présomption d’innocence, au chevet d’un voyou notoire hospitalisé suite à des violences commises contre les forces de l’ordre, prenant délibérément fait et cause contre les policiers alors que l’enquête n’avait pas encore débuté !Un président bienveillant et compatissant pour les voyous contre les forces de l’ordre !
Léonara et son père, expulsés de France
Au chevet de Théo, voyou multirécidiviste
Le scooter de la honte, vendu en grandes pompes
Mais la grande affaire du moment, qui requiert sa présence en continu sur les médias de service public qui sont à la disposition de sa personne et de sa propagande, en sus de sa candidature et de sa campagne électorale pour les présidentielles 2027, demeure la vente par le service des domaines du scooter à trois roues qui lui a valu une renommée internationale lorsqu’il voyageait incognito, conduit par les services de sécurité de la présidence, vers la rue du Cirque, à quelques centaines de mètres de l’Elysée, pour y rejoindre sa maîtresse, l’intermittente du spectacle Julie GAYET. Il a donc monopolisé ses habituels relais de presse sur toutes les stations de RADIO FRANCE, et les chaînes de FRANCE TV, notamment FR5, mais aussi RMC avec le QUOTIDIEN de Yann BARTHES et Jean-Michel APHATIE, et bien entendu la chaîne d’information « gay » BFM TV (puisqu’il a promis à son directeur FOGIEL de favoriser et légaliser en FRANCE la GESTATION pour AUTRUI s’il était élu en 2027, comme il en est persuadé). Après s’être prononcé en faveur du vote pour son « fils indigne GITON » en 2017, puis en 2022, il espère que ce dernier – après ses multiples trahisons – lui rendra la pareille en le soutenant.
En tout cas, un bilan alarmant qui, dans une république démocratique respectueuse de la constitution et des principes républicains, aurait du signifier des poursuites pour crime de « haute trahison » avec les conséquences qui en découlaient, avant que les progressistes n’éliminent évidemment cette infraction du texte constitutionnel de 1958 lors de la révision parlementaire de 2007 !.
Alors que toutes les manipulations, magouilles, et coups bas politiques avaient été actionnés pour assurer une réélection triomphale en 2017 (le Syndicat trotkiste de la Magistrature avait éliminé, au mépris de toutes les règles légales, son principal adversaire politique de droite, annoncé vainqueur par tous les sondages et la Presse subventionnée ainsi que les médias audiovisuels faisaient campagne depuis des mois en sa faveur en terrorisant villes et campagnes au motif que le fascisme allait prendre le pouvoir en France, semant deuils, ruines, malheurs, pandémies mortelles et désolations sur le pays), le rejet de Bozo-le-Clown 🤡 était tellement unanime et ancré qu’il dut se retirer sans combat lorsqu’il fut assuré qu’il n’avait aucune chance de franchir victorieusement l’étape préliminaire des primaires socialistes.
Alors, dans la précipitation, fut élaborée par le clan progressiste une solution de repli pour conserver son pouvoir et ses avantages matériels et financiers ; par un extraordinaire tour de magie, dans lequel la presse et les médias audiovisuels unanimes jouèrent un rôle déterminant pour la manipulation de l’opinion, la « caste » réussit le tour de force de faire du neuf en retaillant dans le vieux Au prix de quelques modifications cosmétiques et de modernisation des vieux oripeaux trop usés, elle promut le jeune fils spirituel, le plus fidèle élève et affidé de Bozo 🤡 , le « Mozart de la finance », le « giton danseur à claquettes », grand protecteur de la communauté « gay » et des « drag-queens », protégé et favori du clown qui parlait trop. Bozo 🤡 avait bâti son destin sous son aile bavarde, le sortant de l’ombre de la Banque Rothschild pour l’élever jusqu’à la dignité de ministre de l’économie ; avec le soutien du fameux « arc républicain » s’étendant de l’extrême-gauche mélenchonienne à la droite et au marais centriste ultra mous autour de Xavier Bertrand et Valérie Pécresse, porté à bout de bras par la presse subventionnée et les médias audiovisuels, il dépassa toutes les espérances placées en lui, puisqu’il fut élu sans la moindre difficulté, et obtint une majorité absolue à l’assemblée nationale qui lui confirma que les électeurs français soutenaient dans leur large majorité les paroles prophétiques qu’il avait prononcées à la télévision algérienne, lorsqu’il qualifiait de « crime contre l’humanité » la colonisation française et se proposait de fondre et éliminer la notion dépassée de « Nation française » dans un fédéralisme européen dont il serait l’inspirateur et le dirigeant à terme. Face à son mépris pour le principe de souveraineté populaire, le camp progressiste savait avoir fait le « bon choix » (ndlr : « sic transit Giscardi gloria »), et Bozo 🤡 le confirmait en intervenant anonymement dans le livre de Gaël TCHAKALOFF consacré au couple MACRON, intitulé : « TANT QU’ON EST TOUS LES DEUX », tout le bien qu’il pensait de son fils spirituel, dont les convictions étaient aussi assurées que les siennes :« Politiquement, Emmanuel n’est rien, il saupoudre une pincée de chaque couleur politique selon les jours, dans un savant dosage. Il ne croit en rien, il n’a aucune conviction » ; et il salue jusqu’à son inculture : « Il est plus Patrick Bruel et Eddy Mitchell que le Panthéon. […] Il n’est pas très cultivé, il a une culture populaire ».
Et encore n’avait on rien vu, puisqu’il nous a désormais démontré que ses goûts le portaient vers les groupes gays américains de rap et nourrissait même une admiration immodérée pour les « drag Queens », jusqu’à imposer leur présence exhibitionniste indécente dans nos écoles primaires pour des séances de lecture à nos enfants.
Malgré toutes ces qualités dignes d’un progressiste décadent, ce fils prodigue indigne serait-il en mesure d’égaler son « mentor » pour abaisser et humilier plus encore la Nation qui l’avait élu ?.
Impossible n’est pas « macronien », comme le « en même temps », le mépris pour le pays et ses citoyens, à la fois taxés de « fainéants » et « gaulois réfractaires », la mise en action d’une philosophie politique visant la dissolution de l’État dans un ensemble fédéral contre la volonté des citoyens électeurs jamais consultés sur ces questions , l’effondrement du système des soins, la disparition de l’état régalien et la perte de pans entiers du territoire désormais gérés par des mafias de trafiquants de stupéfiants ou d’islamistes religieux qui font régner une loi étrangère sur ces quartiers ; l’ouverture totale et encouragée par des subventions illimitées à l’accueil de l’immigration économique et à toute la misère du monde (5 millions d’immigrés légaux depuis 2017 et quasiment autant d’illégaux pour faire la promotion de l’islamisme le plus obtus et bénéficier des avantages sociaux sans limite largement octroyés par l’État – Providence français), avec le gouffre effrayant et cauchemardesque d’un déficit budgétaire sans égal qui met le pays et notre descendance en faillite, un commerce extérieur avec une balance déficitaire depuis des décennies digne de l’Afrique de l’Ouest sub-saharienne !
Mais le clou restera à tout jamais la novation apportée par une politique étrangère communiste, directement inspirée par le grand maître et commissaire politique de la mafia « trotskiste-lambertiste » Benyamin STORA, par ailleurs ambassadeur du FLN algérien auprès du gouvernement français (MELENCHON, alias « Santerre » est un de ses membres les plus représentatifs et influents !)
Comment mieux la représenter que sous la forme métaphorique d’une parabole graphique pour illustrer la politique étrangère du « Giton à claquettes », telle que dictée par le « gourou » tout puissant de la secte :
« Amateur de photographies historiques rares, j’ai eu la chance de mettre la main sur une œuvre précieuse, prise discrètement par un employé guatémaltèque du restaurant libre-service de l’ONU. A l’occasion de la dernière assemblée générale de l’organisation internationale, quelques chefs d’état se sont retrouvés par hasard faisant la queue, en attendant leur tour, devant le comptoir linéaire du libre-service. C’est d’autant plus rare que la situation explosive actuelle des relations internationales ne prête pas à ce genre de rassemblement !
Vous reconnaîtrez la 1ère ministre italienne Georgia Meloni en tête ; suivie du premier ministre anglais Rishi Sunak ; du Président ukrainien Volodymyr Zelenski ; du premier ministre espagnol Pèdro Sanchez ; du chancelier allemand Olaf Scholz ; du fondé de pouvoir de la banque Rotschild, Emmanuel Macron ; du Président russe Vladimir Poutine ; du Président américain Joe Biden ; du premier ministre hongrois, Viktor Orban ; et du premier ministre polonais, Donald Tusk.
Vu la foule, les autres chefs d’état présents attendaient dans la rue.
Vous remarquerez que le fondé de pouvoir de la banque Rothschild n’a pas eu le temps de remonter son pantalon ; après ses déclarations courageuses à la télévision algérienne en 2017 où il qualifie l’histoire coloniale de la France de «crime contre l’humanité », après ses démonstrations à grand spectacle régulièrement renouvelées devant le Monument des martyrs de l’indépendance de l’Algérie où il ne manque jamais d’aller fleurir et se recueillir devant la flamme commémorant les assassins des dizaines de milliers d’enfants, femmes et vieillards colons français égorgés par les terroristes arabes ; après l’expulsion honteuse, humiliante et sans aucune réaction de la part de ses dirigeants de la France du MALI (pour le sauvetage duquel elle avait sacrifié 53 de ses jeunes soldats et investi des sommes colossales !), du Tchad, du Mali, du Niger, du Burkina-Faso pour laisser place à une bande de soudards russes fascistes venus piller ces pays pour s’enrichir, la banque Rothschild avait pris le parti d’étendre son action en direction de l’Afrique de l’Est anglophone et pour ce faire de reconnaître la responsabilité française dans le génocide rwandais !
Bien que ce pays anglophone n’ait strictement rien à voir avec la France, puisque colonie allemande puis belge, le Président socialiste de droite François Mitterrand avait des liens d’amitié avec le Président légitime de ce pays, assassiné lorsque son avion fut abattu par les forces armées d’une ethnie minoritaire (15% de la population), les « Tutsis », dirigés depuis l’étranger par Paul Kagame, en révolte contre l’état légal. Mitterrand fit exfiltrer, pour la sauver, l’épouse du président assassiné ; Kagamé, arrivé au pouvoir par les armes et qui dirige dictatorialement le pays depuis, veut faire payer à la France le prix de cette exfiltration et a décidé de la rendre responsable du génocide d’1 million de membres de l’ethnie des » Tutsis », assassinés à titre de vengeance par les membres de l’ethnie majoritaire à 85% des « Hutus » à laquelle appartenait le Président assassiné. Comme quoi, il est impossible de faire vivre côte à côte deux peuples à la civilisation et à la religion opposées, sans que cela ne débouche sur des drames terribles.
Nonobstant tout cela, fidèle à la politique étrangère définie par son « Conseiller », chef politique et commissaire de la secte trotskiste, Benyamin Stora (l’homme du FLN algérien !), il a présenté au peuple rwandais ses excuses pour le génocide auquel nul ressortissant français n’a été mêlé, et, conformément à son habitude, il a baissé son pantalon et son slip devant le dictateur du minuscule Rwanda, Paul Kagamé. Ce qui explique qu’il n’a pas encore eu le temps de les remonter pour se rendre au libre-service. »Le même KAGAME par ailleurs, soumis à son suzerain britannique (contre lequel il n’avait formulé aucun grief pour son inaction lors du génocide des « tutsis »), signait avec son maître un accord prévoyant l’accueil au RWANDA, contre espèces sonnantes et trébuchantes, de tous les immigrés illégaux expulsés du ROYAUME UNI, qui seraient accueillis dans son pays. Vu ses relations avec le « Giton à claquettes » et la responsabilité reconnue de la FRANCE dans le génocide rwandais, il sait pertinemment qu’ils seront ensuite dirigés vers la FRANCE qui se fera un devoir de les accueillir généreusement, avec tous les avantages sociaux dus à leur statut d’immigrés en situation irrégulière.
Et de là, ils pourront gagner à la nage, en bateau ou dans les semi-remorques circulant par le trafic ferroviaire transmanche, le ROYAUME UNI ; s’ils réussissent miraculeusement la traversée, ils réamorceront ainsi à l’infini la redoutable pompe à fric rwandaise.
Et si le ROYAUME UNI refuse de payer, la FRANCE MACRONIENNE le fera pour s’acquitter de sa dette génocidaire !
Et depuis douze ans, coule ainsi tranquillement le cours imperturbable de la politique étrangère française, qui aura eu le mérite de baisser son pantalon et sa culotte devant tous les états de la planète qui le souhaitaient, de reconnaître ses fautes et son entière responsabilité dans toutes les guerres, génocides et tous les sombres événements qui ont endeuillé l’histoire de l’humanité au-cours des quinze derniers siècles, mais également d’apporter un peu de bonne humeur ces dernières semaines en faisant franchement sourire lorsque son président « giton » menaça d’envoyer des troupes à Odessa pour soutenir l’Ukraine agressée.