You are currently viewing Face au chaos de la dette qu’il a creusé, l’admirable solidarité du monde progressiste pour ceux qui vont payer !
Tableau de François BOUCHER, peintre officiel du roi louis XV et de la cour de France

Face au chaos de la dette qu’il a creusé, l’admirable solidarité du monde progressiste pour ceux qui vont payer !

En sus de la célébration déchirante des jeunes et innombrables victimes des attentats islamistes par des étrangers en situation irrégulière sous OQTF (puisque BOZO a aboli le délit de séjour irrégulier en France par sa loi du 31.12.2012 pour mieux ouvrir les portes du pays au terrorisme islamiste), les grandes chaînes d’information consacrent la majorité de leur temps d’antenne aux restrictions sévères qui vont s’abattre sur notre société  pour essayer de ne pas se perdre plus encore dans le chaos d’un déficit du budget national devenu fou, représentant 116% du PIB,dont le remboursement représente désormais le plus gros poste de dépense de l’État, (55 milliards d’€ de remboursement en 2024, 800€ pour chaque français !),au détriment des dépenses de fonctionnement des services – notamment régaliens  – et des investissements indispensables pour garantir l’avenir du pays, dette dont nous allons laisser sans vergogne la peine à nos enfants et petits enfants de régler la facture !
dette1Théoriquement, tous les budgets de l’État vont subir des coupes sombres, dont celui de l’Éducation Nationale (-2200 postes), de la Justice (-500 millions d’€), etc … ; pour les particuliers, les impôts et taxes diverses (gaz, électricité, gel des retraites …) vont encore s’accroître, alors que nous sommes déjà le pays le plus imposé et taxé de la planète.
Il faut remonter à 1974 pour retrouver le dernier budget en équilibre, et à Raymond BARRE qui durant son mandat ministériel, s’il échoua dans sa lutte contre l’inflation, eût l’honnêteté de défendre des budgets encore présentables (-0.1%). Puis vint l’heure folle de l’Union de la Gauche, la folie keynésienne de la relance à tout va, la nationalisation de l’économie, l’écroulement du pays avec les dévaluations de la monnaie en série pour médecine, et, faute d’exportation en raison d’un coût du travail prohibitif qui rendait les produits invendables à l’étranger, s’enferra dans le tourbillon infernal de la dette qui, d’après les « progressistes », ne coûtait rien sur les marchés extérieurs et que MELENCHON conseillait de ne même pas rembourser !.
CHIRAC au pouvoir révéla sa vraie nature, celle d’un radical-socialiste « cassoulet » qui, pendant ses douze ans de mandat présidentiel, ne heurta personne et ne fit strictement rien pour défendre l’avenir du pays ; au contraire, en lui imposant le trotkiste-lambertiste Lionel JOSPIN  comme premier ministre de 1997 à 2002 (c’est lui qui, en 1986, Premier Secrétaire du Parti Socialiste ouvrit la porte de la social-démocratie à tous les adhérents de ce micro-parti révolutionnaire qui purent ainsi gravir tous les échelons de l’administration et accéder aux postes qui leur permettent aujourd’hui le contrôle total de l’Etat « profond »), le suffrage universel vota pour les 35 heures défendues par le grand économiste STRAUSS-KAHN, contraires à la politique suivie par toutes les économies concurrentes, qui déclassifièrent totalement et ruinèrent le pays, d’autant plus lorsque cette réforme dut être appliquée à la fonction publique qui n’en avait pas les moyens, et désintégra ainsi ce qui marchait encore à peu près convenablement, comme l’Hôpital Public qui ne s’en remit pas.
Et puis pour jeter les dernières pelletées de terre sur le cercueil, vinrent les grands présidents progressistes-wokistes, seulement préoccupés du sort et de l’intégration des minorités sexuelles LGBTQIA+ et de l’ouverture de nos frontières à toute la misère du monde : BOZO-le-CLOWN pour qui l’économie se limite à cette maxime : « C’est pas cher, c’est l’Etat qui paie ! », et son protégé, le « Mozart de la Finance », avec sa politique volontariste du chéquier ouvert sans limite pour régler tous les problèmes sociaux et politiques, dite du « quoi qu’il en doute », dans les faits « vos enfants et petits enfants paieront ! » pour achever les derniers râles du pays, accablé par l’incurie et surtout la lâcheté de ses dirigeants.
Désormais, il va falloir passer à la caisse, et les économistes nous annoncent sérieusement que ce modeste plan de redressement est bien trop limité dans ses ambitions pour apporter la moindre solution, retardant seulement la vraie question : à quelle date l’Etat s’attaquera-t-il au trésor que constitue l’épargne des français, et les dépouillera-t-il de leurs économies, seule solution viable pour apporter un commencement de solution aux incuries, lâchetés et démagogie des gouvernements successifs depuis quatre décennies.
Si en d’autres temps les auteurs d’un tel désastre étaient exposés à l’indignité d’un procès public et d’une peine capitale, les nouveaux « rats » progresso-wokistes ont fui le navire, et après avoir fait alliance – comme toujours depuis 2017 – au nom de la lutte contre le fascisme dans le fameux « arc républicain » – avec l’extrême-gauche révolutionnaire violente et antisémite pour conserver leurs avantages en nature, voitures, chauffeurs, et macarons tricolores.

Et avec une incroyable indécence et un manque total de dignité, les ATTAL, Moussa DARMANIN & Cie, qui sont aux commandes depuis sept ans et ont accru la dette de l’extraordinaire montant de 1.300 milliards d’€, achetant leur reélection par une politique irresponsable du chèquier ouvert à tout vent, jouent désormais les vierges effarouchées, émettant des exigences contre Michel BARNIER, le nouveau premier ministre, désigné comme bouc-émissaire, europeiste convaincu, député et ministre de droite d’expérience, ancien organisateur des jeux olympiques d’hiver de Savoie en 1991, qui, à 73 ans, sacrifie son honneur et sa tranquillité pour tenter de sauver le pays !.
Alors vient la longue litanie des économies à réaliser, et des nouvelles taxes et impôts qui accableront les classes moyennes, éternellement cocufiées.

detteMais rassurez-vous, si les citoyens lambdas, notamment les retraités, seront impactés, les responsables de cette déroute économique sont bien au chaud au Parlement, à l’abri de la crise : ils ne sont plus aux affaires de l’Etat et peuvent donc, en toute bonne conscience, critiquer les décisions de leurs successeurs. Lors des dernières élections législatives, ils ont constitué avec l’extrême-gauche révolutionnaire, suppôt de l’islamisme militant et de l’antisémitisme, un Front Républicain, qui leur a permis de conserver leurs places d’élus au Parlement, et de continuer à bénéficier de tous les avantages qu’elles leur octroient : d’ailleurs, le budget des assemblées parlementaires ne sera pas touché par les restrictions (au contraire, il augmente !), et, au nom de « l’effort partagé par tous les français », ils verront leurs revenus et leurs avantages sociaux et matériels croître. Comme la Présidence de la République d’ailleurs, dont le budget avait déjà augmenté de plus 11% en 2024, et qui croîtra également en 2025 ; donc, effort « partagé » disaient-ils …

Par contre, au rang des économies, n’est pas citée la correction du financement honteux par le budget public de la caisse de chômage des intermittents du spectacle (Jack Lang, François Hollande) qui coûte une fortune à l’État, alors que cette catégorie de pseudos travailleurs (360.000 en France, dont une majorité de « punks à chiens » militants et activistes d’extrême gauche) n’existe pas dans les autres pays européens, et que, légalement,  pour toutes les autres professions,  la caisse de chômage est gérée et financée paritairement par un collège composé de représentants des salariés et des employeurs, élus par leurs pairs lors des élections professionnelles,  sans que l’État n’ait à intervenir.
Mais il est évident que les maîtresses présidentielles (Carla Bruni, Julie Gayet) relèvent de cette caisse, militent pour cette exception,  et que leur intervention est déterminante dans les décisions imposées par le Président au Conseil des Ministres.

LE REGNE DES FAVORITES

blond pompadourComment ne pas rapprocher ces événements contemporains de la somme de 10 volumes publiés à partir de 1962 par le journaliste – écrivain – homme de radio et producteur TV – Guy BRETON (1919-2008), « Histoires d’amour de l’histoire de France »,  qui éclaire le rôle de l’amour, de l’humour et de l’insolite tout au long de l’histoire de la France. Ces ouvrages sont présentés ainsi par l’éditeur : Les graves historiens qui rédigent les manuels scolaires font de l’Histoire de notre pays un roman fort ennuyeux car ils en éliminent l’un des éléments déterminants : l’amour. Pour eux, les événements qui ont bouleversé la France au cours des siècles ne doivent avoir que des causes très sérieuses. Ils croiraient d’échoir en avouant qu’un roi a déclaré une guerre uniquement parce qu’il était ivre de joie après une nuit d’amour, ou que telle conquête célèbre a été décidée sur le caprice d’une favorite… Or, l’amour mène le monde. L’Histoire de France est une histoire galante, – depuis Clovis… et Clotilde. Guy Breton n’a cessé de le montrer tout au long de sa carrière d’historien et de conteur, en dix livres et trois cent récits véridiques et savoureux.

A lui seul, BOZO-le-CLOWN pourrait être le onzième tome de la saga, tant ses dérapages d’ordre sexuel présentent un caractère obsessionnel, répétitif, toujours empreints d’un ridicule achevé, au point qu’on le compare à son prédécesseur Félix FAURE, obsédé sexuel décédé brutalement d’une overdose de poudre de cantharide en honorant à l’Elysée sa célèbre maîtresse, Mme STEINHEIL : il est vrai que depuis 1899, en matière d’aphrodisiaque, la médecine a fait de grands progrès, notamment avec la prescription du viagra, beaucoup moins nocif que les « bonbons » autrefois utilisés, popularisés par Louis XV et le Marquis de Sade !.

  • dès 2007, il saborde la campagne électorale de sa compagne Ségolène ROYAL, mère de ses quatre enfants, qui s’est qualifiée pour le second tour des élections présidentielles où elle affronte Nicolas SARKOZY. Au point que le porte-parole de la candidate déclare lors d’une intervention officielle télévisée :  Ségolène ROYAL n’a qu’un seul défaut : c’est son compagnon !
  • Election perdue, ils se séparent officiellement ; BOZO, déjà candidat pour 2012, confie ses intérêts à Valérie TRIERWEILLER, une journaliste, rédactrice de PARIS MATCH pleine d’ambition, qui évidemment est sa maîtresse : régime DUNCAN pour perdre 30 kilos et devenir présentable ; teinture des cheveux en noir corbeau pour rajeunir les traits ; costumes d’un grand tailleur italien ; chaussures glacées par un professionnel ; nouvelles montures de lunettes. Son « coaching » assure le succès du candidat, et il consent à s’exhiber partageant avec elle un  baiser langoureux sur la scène élevée Place de la Bastille où ses partisans célèbrent sa victoire : Yannick NOAH, Camilla JORDANA, Yael NAIM, Guy BEDOS, Nicolas BEDOS, Zinedine SOUALEM, Stéphane GUILLON, Karl ZERO, Virginie LEDOYEN, Sonia ROLLAND (elle ne sera mise en examen pour recel de détournement de fonds public, corruption et abus de biens sociaux après avoir accepté « naïvement » le don par le Président gabonais Omar BONGO d’un appartement d’une valeur de 800.000 € dans le XVIe arrondissement de Paris), Clémentine CELARIE, aucune surprise, toujours les mêmes qui comptent bien toucher un retour sur investissement !
  • Lors des législatives qui suivent la présidentielle, Valérie TRIERWEILLER humilie encore Ségolène ROYAL, candidate à LA ROCHELLE, en apportant son appui au candidat sortant local, son adversaire, Olivier FALORNI, qui hébergeait les ébats du couple adultérin.
  • Mais alors qu’elle touche au but dans les habits d’une première Dame d’occasion, une rumeur enfle dans les rangs progressistes : lors de la campagne électorale, une actrice et productrice, Julie GAYET, a tourné un clip  de campagne ridiculement outrancier en faveur de BOZO, où elle fait part dans une déclaration quasi orgasmique de son admiration pour le nouveau président, présenté comme le défenseur des « intermittents du spectacle », catégorie dont elle fait partie, et grand connaisseur du cinéma !!!
  • Immédiatement, la liaison des deux tourtereaux fait les gros titres de la presse « people » ; et tous deux démentent avec effroi, la Belle allant jusqu’à déposer plainte pénale et engageant des poursuites contre les médias évoquant ces médisances.
  • L’on sait comment l’affaire se termina lamentablement et ridiculisa le pays : détournant sans pudeur les moyens de l’État et la surveillance policière (utilisé comme chauffeur de tricycle, majordome apportant et servant le petit déjeuner, pourquoi pas faisant le ménage de l’appartement, et peut-être « mirebalais » dans la grande tradition libertine du XVIIIe siècle français, alors qu’une vague d’attentats islamistes va ensanglanter le pays !) pour être conduit, casqué pour ne pas être reconnu,  sur le fameux tricycle à moteur sur le lieu de leurs ébats, rue du Cirque. Piégés par un photographe de presse, le couple dut admettre sa liaison, pourtant vigoureusement niée jusque là !. D’ailleurs, Julie GAYET qui participe à la campagne électorale présidentielle de François Hollande de 2012 a l’ingénuité de reconnaître que les promesses du candidat de financement du cinéma et des intermittents du spectacle avec l’argent public ont joué un rôle déterminant dans l’affection surprenante et intéressée qu’elle lui témoigne !
    Et pour preuve de l’intégrité de la personne, avec un recul de douze ans, souvenons-nous avec ironie de la plainte contre X.. qu’elle avait déposé en mars 2013 pour faire taire les rumeurs sur sa liaison avec le candidat à la présidentielle.
  • Mais là ne s’arrête pas la pièce de boulevard, puisque pour solde de tout compte : Valérie TRIERWEILER, répudiée avec un humiliant mépris par le souverain ,   écrit un « best seller », énorme succès de librairie : « MERCI POUR CE MOMENT » où elle étale tout le mépris du président pour les français « moyens », censés représenter l’électorat socialiste, qu’il qualifie en privé de « SANS DENTS ». Quelques années plus tard, avec beaucoup d’humour et d’esprit, elle résumera en quelques mots son aventure avec BOZO : «  »Tu prends un petit, gros, moche, chauve, tu te le fais piquer quand même ! ». Exit Valérie TRIERWEILLER, ignominieusement répudiée et humiliée par communiqué à l’Agence France Presse
  • Sonne l’heure de la toute puissance de l’actrice et productrice Julie GAYET ; le scandale a relancé sa carrière cinématographique, en sommeil, et le « Centre National du Cinéma » finance désormais sans limite, avec l’argent public. ses productions médiocres, dont aucune ne touche le public. Mais comme l’affirme souvent  BOZO,  « Ce n’est pas cher, c’est l’Etat qui paie ! »
  • Par pur hasard (?), il se trouve que la Secrétaire Générale du « Centre National de la Cinématographie et de l’Image animée », qui tient la bourse des financements publics, est Audrey AZOULAY, fille du Ministre d’Etat et conseiller des souverains marocains, meilleure amie de la favorite présidentielle : sa carrière connaît une accélération fulgurante ! D’abord nommée Conseillère culturelle du Président à l’Elysée, elle est promue Ministre de la Culture, poste qu’elle occupera en 2016-2017, jusqu’à la fin du mandat présidentiel. Mais avant que le successeur ne s’installe, elle est confortablement recasée avec le titre enviable de Secrétaire Générale de l’Unesco, poste qu’elle occupe toujours.
  • Enfin, comment ne pas évoquer le financement surréaliste apporté par l’intermédiaire indien, (conseiller du Président MOODY, qui avait été le maître d’œuvre de la vente des avions RAFALE à ce grand pays), à la société de production de Julie GAYET, après finalisation du contrat. Il a été mis en cause par la Justice indienne et dénoncé par les médias de son pays ! Mais en FRANCE, aucun problème moral, et ce n’est pas la presse progressiste (« Le Monde », « Libération », « Mediapart » d’Edwin Plenel), pas plus que le Parquet National Financier – limité statutairement à la neutralisation pénale des adversaires politiques – qui vont se saisir ; comme le déclarait fièrement le Président,  « Julie GAYET n’a jamais sollicité la moindre faveur ! »
    Au vu des résultats, on peut  évidemment le croire les yeux fermés !
  • Au terme du mandat présidentiel, le couple s’acharna à s’exhiber sur toutes les scènes festivalières et les « tapis rouge »  « people » où il faut se montrer pour exister dans ce monde des fausses apparences ; ils allèrent même jusqu’à se marier à TULLE, pour faire la UNE de la PRESSE PEOPLE, qui rendit fidèlement compte de l’énorme croissance du patrimoine immobilier acquis par le couple et des talents de cuisinier de l’ancien président  !
  • Seule ombre au tableau, ce reportage malencontreux qui fait état de la liaison de BOZO, décidément chaud comme la braise, avec la danseuse Juliette GERNEZ, de l’Opéra de Paris, ex de Elie SEMOUN ; mais l’avocat de la défense médiatique est cette fois Julie GAYET, qui affirme que le CLOWN l’a convaincue que ce n’était que médisance, et qu’elle le croit évidemment (principe de réalité dans la balance entre gains et pertes à attendre  !)

 

dette2Effort d’économie partagé affirme-t-on sans sourire : mais on n’évoque  pas non plus de couper le robinet du financement sur le budget public, par le système des avances sur recettes, des films produits en France et qui représentent un gouffre sans fond, au point que beaucoup de grands cinéastes étrangers viennent tourner en France pour en bénéficier ! Il est vrai que les progressistes appellent cela « l’exception culturelle française », et que leurs bénéficiaires se doivent d’être engagés, pour pouvoir exister professionnellement, dans la mafia « progresso-wokiste ». Au contraire, le concept est tellement valorisant sur le plan politique, qu’on l’étend à tout l’audiovisuel, et aussi au domaine du livre, pour financer le principe des petites librairies de quartier ; après tout, une taxe de plus ou de moins !

Et ne parlons évidemment pas des sujets tabous : le financement sur le budget national de l’audiovisuel public, les chaînes de FRANCE TV et des stations de RADIO FRANCE , qui en sus de bénéficier pour leur diffusion du réseau d’émetteurs mis en place par l’État sur fonds publics qui leur assure une couverture parfaite de tout le territoire dans les meilleures conditions, avantage déterminant sur leurs concurrentes, (qui doivent édifier leur propre réseau d’émetteurs ou le louer à des prix prohibitifs), renonçant par la même au principe libéral de saine concurrence commerciale entre les acteurs, qui devrait constituer la règle. Car, en sus de revenus publicitaires comme les chaînes privées, l’audiovisuel public est entièrement financé par le budget public, voté par le Parlement dans la loi budgétaire.
En 2024, l’audiovisuel public a bénéficié d’un budget de 4 milliards d’euros d’argent public ; en 2025, alors que tous les budgets ministériels seront en baisse, celui de l’audiovisuel public sera de : 4.03 milliards, donc en augmentation … Et vous parlez d’économies pour tous !
C’est vrai que l’audiovisuel public est contrôlé et soumis par les tenants d’un activisme progresso-wokiste, et que son influence, par ses campagnes permanentes de manipulation pour la promotion de l’extrême-gauche et de dénigrement de la droite,  joue un rôle déterminant sur l’opinion publique, décisif même quant aux résultats des principales élections nationales, puisque l’intégralité des journalistes qui le composent doivent avoir des convictions de gauche, voire d’extrême-gauche.

 

Discours de Guillaume Pelletier devant le Parlement Européen le 09.10.2024