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Le poulpe MEDIAWAN, « big brother » de l’audiovisuel progressiste, métastase le corps social

boualem« Boulevard Voltaire », qui traite avec attention de l’actualité des médias,  rapporte :
Dans l’émission C politique, diffusée sur France 5 le 24.11.2024, la discussion porte sur l’arrestation de l’écrivain franco-marocain Boualem SANSAL, pris en otage par les autorités algériennes lors d’une visite dans ce pays, en rétorsion de la reconnaissance par le Président o’Micron du plan marocain de règlement de la crise du Sahara occidental, que revendique aussi l’Algérie : une déclaration du politologue d’origine algérienne Nedjib Sidi Moussa, à la présentation très « frères musulmans », mais idéologiquement très proche des dirigeants du FLN qui depuis 60 ans maintient le pays sous dictature militaire, illustre la pénétration de la propagande anti-Sansal en France :


service public

« Il se trouve que Boualem Sansal, depuis quelques années, alimente un discours hostile à l’égard des immigrés, des musulmans et reprend tous les thèmes d’Éric Zemmour », lance-t-il, avant de s’adresser à l’animateur : « Vous auriez pu prendre l’extrait d’un entretien qu’il a donné à Frontières, média d’extrême droite, c’est tout de même choquant. Quand je vois que des militants des droits de l’homme, des artistes et des intellectuels du milieu parisien le présentent comme un homme des Lumières qui défend les grandes causes, je suis désolé, mais ils se trompent complètement : soit ils sont aveugles, soit ils sont complices. »
« L’historien » Sébastien Ledoux, qui renchérit : « Le discours de Boualem Sansal est plutôt situé à l’extrême droite. »
Le commissaire politique trotskiste Benjamin Stora, Conseiller diplomatique de BOZO-le-CLOWN, désormais d’o’Micron, et principal « influenceur » en faveur du régime dictatorial algérien, Ministre Plénipotentiaire du FLN algérien en FRANCE, est parvenu – suivant le protocole trotskiste dont il est le gardien du temple – à s’introduire au plus niveau de l’état français, dans l’intimité du chef de l’état d’où il a inspiré et dirige désormais la politique de soumission et repentance suivie depuis 2012, tente de justifier l’insoutenable :  » Boualem Sansal aurait contribué à blesser le sentiment national (algérien) ».

Le 27 Novembre 2024, dans l’émission « C A VOUS » de FR5, l’accusateur public et avocat général de la bien-pensance Patrick COHEN, activiste progressiste principal pourvoyeur de la guillotine médiatique, lors de son éditorial s’était emparé du meurtre de Crépol, choisissant pour angle d’attaque : « La mécanique de la haine et du mensonge. »
Le journaliste militant avait qualifié le meurtre d’un enfant de 16 ans, égorgé alors qu’il était présent à un rassemblement festif dans une fête de son village, envahi par une bande de banlieue venue « planter du blanc », de simple bagarre de fin de bal  « pour s’amuser, pour draguer des filles ».
Même l’ARCOM d’oMicron a estimé que « certains propos tenus, dénués de précautions oratoires et énoncés sur un mode déclaratif, ne satisfont pas aux exigences de mesure, de rigueur et d’honnêteté », mais n’a pas infligé d’amende au service public, comme elle le fait sans la moindre pitié pour les chaînes privées. Message parfaitement reçu, COHEN récidivera au prochain assassinat d’enfant …

Dans l’émission « Quelle époque » ! diffusée le 18 janvier sur France 2, « l’humoriste » de France Inter Charline Vanhoenacker a, depuis le matin, ruminé son trait d’esprit : « On a beaucoup parlé de génie, à propos d’Elon Musk ; on a oublié de dire que c’était un gros connard ! ». Silence de l’ARCOM : à ses yeux, insulter un Ministre majeur du nouveau gouvernement américain, accessoirement génie qui a révolutionné le monde de l’entreprise et créé des dizaines de milliers d’emplois revêt beaucoup moins d’importance que de répondre aux insultes d’un Louis BOYARD, député LFI, pour lequel elle avait distribué une amende de 4,5 millions puis prononcé la fermeture de la chaîne C8 et la mise au chômage de ses 400 salariés !
Lors de la même émission, Christine Ockrent (représentante, s’il en est, de ce camp du Bien et du Vrai qui ne dépasse que rarement le périphérique intérieur), s’est prêtée au jeu de l’émission en posant des questions imaginaires à des personnalités dont on lui montrait la photo. … à Elon Musk, Christine Ockrent voudrait poser la question suivante : « Vous avez douze enfants. La prochaine portée, c’est combien ? ».  On ne sait pas si Mme Ockrent aurait eu le courage ébouriffant de poser cette question à d’autres cellules familiales sous d’autres latitudes, ou même, en France, à la famille d’Adama Traoré (17 enfants nés de quatre femmes, dont plusieurs délinquants multirécidivistes), mais on imagine que non, car ce genre d’invectives ordurières ne concerne que les familles de Blancs de droite.

– Le 31 janvier, Merwane Benlazar, humoriste et chroniqueur sur France Inter, était invité, pour y faire sa première chronique télévisuelle, sur France 5, dans l’émission « C à vous », présentée par Anne-Élisabeth Lemoine. Tout se passait bien, la présentatrice était hilare…mais ce passage aura été le dernier.
En cause, non pas la tenue du nouveau chroniqueur comme le prétendent les extrémistes de gauche : longue barbe, bonnet et pull ample évoquant, selon un certain nombre de commentateurs, une djellaba. Mais les propos islamistes tenus sur les réseaux sociaux, notamment contre les femmes, et son appel à l’application stricte et fortement rétrograde de la CHARIA, avec port de vêtements dédiés. Ni une, ni deux : Rachida Dati l’a fait virer, mais il continue à prospérer sur FRANCE INTER bien entendu !

– Le dimanche 9.02.2025, dans l’émission « C Politique » sur France5, Marie-Laure Basilien-Gainche, professeur de droit public, s’est étonnée que « l’intégration [soit] un effort demandé à celui qui vient de l’étranger ». Et de préciser : « Jamais on ne conçoit l’intégration comme un mouvement mutuel, un mouvement réciproque. […] Faire reposer toute la charge de l’intégration sur les migrants est un refus de se poser la question de notre capacité à être une société ouverte. »Les Français devraient, selon elle, fournir des « efforts » pour que les migrants s’intègrent. Et la juriste concluait son propos par une définition de l’identité qui en dit long sur sa conception de l’immigration : « L’identité, c’est s’ouvrir, c’est intégrer ; la diversité, c’est s’enrichir. »

 

« Frères Musulmans », « Salafistes » et « trotskiste » fêtent la prise en otage de l’écrivain Boualem SANSAL

La thèse des « Frères Musulmans » pour justifier l’arrestation de l’écrivain pour délit d’opinion, est soutenue par l’historien progressiste et par le commissaire politique trotskiste, conseiller du président de la République, initiateur de la politique de repentance et de soumission éternelle au parti dictatorial FLN en place à ALGER depuis 63 ans

Lorsque les faits ne conviennent pas à votre engagement, travestissez et adaptez les !

Un accusateur public progressiste, militant et activiste engagé dans le camp du bien, déforme un abominable assassinat raciste sur un jeune garçon de 16 ans, en une banale bagarre entre jeunes dans un bal de village du samedi soir

L’humour à la sauce belge, qui disqualifie sa grotesque héroïne

Une pseudo humoriste belge, méprisée dans son pays mais appréciée par le service public en France en raison de l’hystérie de ses convictions progressistes et de sa haine pour tout autre opinion, insulte gratuitement le plus grand créateur et visionnaire de ce début de XXIème siècle, lors d’une émission de grande écoute sur la plus importante chaîne de service public, financée par le contribuable français

La « dinde » de service, Marie-Elisabeth LEMOINE et l’Islamiste

La dinde de service glousse à gorge déployée de l’humour islamiste promu par MEDIAWAN ; elle a oublié le procès qu’elle a intenté à son premier mari, le comique marocain, Mustapha EL’ATRASSI, pour les coups et blessures volontaires qu’il lui infligeait au nom de la « charia »? ». Frappe ta femme le matin, si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait ! » dit le proverbe arabe.

L’ignominie et l’abjection d’un « journaliste » activiste militant

La réputation détestable de cet accusateur public, fournisseur officiel de la guillotine médiatique qui sévit depuis des décennies dans l’audiovisuel n’est plus à faire. Détourner le drame absolu et épouvantable d’une petite fille innocente de 11 ans, poignardée et assassinée sans raison, pour régler ses comptes contre une chaîne et un présentateur concurrents, nous atteignons des sommets dans l’abjection humaine, l’indignité et la malhonnêteté journalistiques. Au sein du service public, il sera félicité et promu pour son courage !

Delphine ERNOTTE : Présidente de FRANCE TELEVISION depuis 2015 !

Déposition sous serment faite par la Présidente progressiste très progressiste de FRANCE TELEVISION devant une commission parlementaire d’enquête. La mission du service public d’information est de présenter la réalité telle qu’on voudrait qu’elle soit, non telle qu’elle est !

Ce ne sont là que quelques uns des extravagances et débordements des chroniqueurs idéologues prospérant sur le service public audiovisuel, financé par le contribuable français à hauteur d’un budget de 4.1 milliards d’euros, en sus des apports publicitaires (qui sont les seules ressources des chaînes privées, mais dont il continue à se gaver !), qui n’observe aucune des obligations attachées à son cahier des charges de service public, puisque seuls sont admis et autorisés à s’exprimer et paraître sur ses ondes les militants activistes de l’extrême gauche, invités par des « journalistes » et « chroniqueurs » de même sensibilité.

 

Une information officielle, financée par le contribuable sur le budget public, tellement partiale et caricaturale
qu’elle a perdu toute crédibilité et devient sujet de honte, de moquerie et de ridicule pour ses acteurs

 

Le service public audiovisuel, parce qu’il est financé par tous les contribuables, est soumis à un cahier des charges, qui en définit à la fois les missions :
 » Pour France 5, chaîne du décryptage, du partage des savoirs et de la transmission des connaissances. Ses programmes contribuent à la découverte et à la compréhension du monde, en s’attachant tout particulièrement aux registres des sciences et techniques, des sciences humaines, de l’environnement et du développement durable « , 
et la déontologie qui doit présider à l’exécution de ses missions ; bien que l’information ne figure pas rang des vocations de cette chaîne, puisque c’est le domaine d’une chaîne info 24/24 et deux chaînes généralistes généreusement dotées en rédaction dédiée, elle doit respecter les règles qui les régissent : Pluralisme des courants de pensée et d’opinion et diversité de la création et de la production de programmes. Il est pourtant patent que cette chaîne de service public se moque totalement de son cahier des charges, en diffusant quotidiennement des émissions politiques aux heures de grande écoute, qui sont le porte-voix d’un seul et unique courant de pensée extrémiste, dont les tenants sont seuls autorisés à se produire, sans contradicteur possible pour refléter des opinions sur le sujet traité et introduire un peu de diversité !
Et le régulateur de l’audiovisuel, l’ARCOM, (dont les responsables sont nommés non en fonction de leurs qualités professionnelles ou de leurs expériences dans l’audiovisuel, mais de leurs liens de servilité avec le chef de l’état, dont ils constituent le bras armé, puisque issus du même courant de pensée), qui est censé intervenir pour réguler l’audiovisuel et faire respecter le cahier des charges, oublie totalement cette mission puisqu’il considère que le service public audiovisuel est un service de propagande idéologique et électoral pour la formation des esprits des citoyens français, une Bible du « bien penser » et « bien voter », en sus de constituer la maison de retraite tout confort pour les journalistes militants et activistes bien pensants indésirables sur les médias « libres ».

Une telle dérive systémique du service public audiovisuel et son total engagement pour une ligne politique extrémiste ne saurait revêtir un caractère accidentel, ni limité aux seuls errements de quelques uns de ses salariés. Pour parvenir à une telle emprise sur l’institution, ce sont tous les niveaux qui ont été conquis ou pervertis successivement par capillarité.
En conséquence, raison et bon sens seraient bien impuissants pour faire lâcher l’os du service public que rongent ceux qui l’assimilent à un bien privatif de leur coterie, un puissant outil qu’ils exploitent pour guider et manipuler l’opinion publique.

Comment la situation a-t-elle pu sombrer jusqu’à de telles extrémités ?
Si la présidence de BOZO-le-CLOWN fut un drame pour les habitants de ce pays et un désastre pour son économie et son rayonnement international, on doit lui reconnaître l’obsession, pour conserver son pouvoir, d’avoir développé les structures d’une société dystopique, telle qu’annoncée par Georges ORWELL dans son roman : « 1984 ». Il s’agit, d’après la définition officielle, d‘une société imaginaire organisée de telle façon qu’il soit impossible de lui échapper et dont les dirigeants peuvent exercer une autorité totale et sans contrainte de séparation des pouvoirs, sur des citoyens qui ne peuvent plus exercer leur libre arbitre. Une utopie qui, chez ORWELL, vire au cauchemar et conduit donc à une contre-utopie.
Arrivé au pouvoir dans des conditions idéales, BOZO-le-CLOWN, Chef de l’exécutif,

  • avait l’appui total du corps législatif, puisque Assemblée Nationale et Sénat avaient une majorité socialiste et étaient présidés par des membres de ce parti, avec les privilèges attachés à cette fonction, notamment la nomination tous les trois ans d’un membre du Conseil Constitutionnel, nommé pour neuf ans parmi des amis politiques dévoués et fiables ;
  • contrôlait également le Conseil d’État en désignant ses hauts fonctionnaires pour la Présidence de l’institution, mais aussi les Chefs des Sections les plus importantes, telle la Section du Contentieux ;
  • soumettait les justices civile et pénale, puisque du fait de la « prise d’otage » réalisée par sa Garde des Sceaux, l’indépendantiste Christiane TAUBIRA, en réservant tous les postes du cabinet ministériel, mais également les plus hautes fonctions judiciaires à des membres du « Syndicat de la Magistrature », syndicat ultra-politisé trotskiste aux idées permissives et laxistes, plus préoccupé de révolution que de justice. Ce syndicat reçut aussi la direction de l’École Nationale de la Magistrature pour la formation des magistrats, et en sus la direction des jurys du concours de recrutement, pour avoir la main mise sur toute la filière et orienter vers une idéologie d’extrême gauche les générations des nouveaux magistrats. Faute de « système des dépouilles » (spoil system) à l’américaine qui permet à un nouveau pouvoir élu de mettre en place de nouveaux hauts fonctionnaires loyaux à sa cause, et vu la lourdeur de la fonction publique française où les magistrats sont irresponsables et intouchables, le système était durablement corseté et figé pour une longue période. D’autant qu’avec la création du PARQUET NATIONAL FINANCIER, constitué d’adhérents du syndicat trotskiste, c’est la neutralisation et l’élimination des opposants aux candidats progressistes lors des élections nationales qui était pourvu.
  • Pouvoir législatif et autorité judiciaires ainsi durablement domptés, il s’attaqua dès lors à la maîtrise indispensable de la presse. Ce fut d’autant plus délicat, que la presse progressiste, tellement caricaturale dans l’excès et le militantisme politique, avait perdu une grande partie de son lectorat et de ses abonnés ; elle se trouvait en état de faillite, et fut donc soutenue par les subventions publiques, détournées du budget public et déversées à fonds perdus dans les poches progressistes. Pour mener à bien cette opération, il fit usage des principes qui avaient si bien réussi à son financier, le maître de la communauté LGBT Pierre BERGE, pour détourner le talent du grand peintre Bernard DUBUFFET d’abord, puis du génie de la couture Yves SAINT LAURENT, pour vivre en parasite à leurs dépens, et bâtir une fortune personnelle considérable en exploitant tels des esclaves soumis à ses délires de dominant BDSM ces malheureux homosexuels :   » Je suis un mafieux ; et je ne crois qu’à ça. Je ne crois qu’aux amis dont on est sûr, qu’on s’est choisis « .
    Et ,sur ce principe mafieux, se constitua ainsi le fameux pôle interlope d’investissement NIEL – BERGE – PIGASSE – qui mit la main sur la presse française. Il le fit d’autant plus aisément que leurs investissements étaient très limités, puisque les subventions publiques pleuvaient dans leurs poches : « C’est pas cher, c’est l’Etat qui paie ! », plaisantait BOZO. C’est le contribuable français qui enrichissait ces aventuriers marrons de la finance, puisque les titres dont ils hériteront seront largement financés par le Ministère de la Culture.
    Xavier NIEL, qui a construit sa fortune dans la proxénétisme de luxe (placé en détention provisoire un mois !) a besoin de l’État pour obtenir les bandes de radiofréquence, réservées à l’armée, pour la création de son service de téléphonie mobile, FREE TELECOM ; BERGE quant à lui vend au Président de la République le principe d’adoption du MARIAGE POUR TOUS, puis de la PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE et de la GESTATION POUR AUTRUI dès son second mandat.
    Quant à Mathieu PIGASSE, l’énarque militant d’extrême gauche, associé gérant puis directeur général de la banque LAZARD Frères, déjà créateur de l’hebdomadaire woke « LES INROCKS », il a déjà investi pour créer un groupe de presse dont la mission officielle est de promouvoir les idées politiques d’extrême gauche de son propriétaire et de combattre par tous les moyens l’extrême droite.
    En s’enrichissant sur le dos du contribuable français, tous pourront se féliciter de leur collaboration avec BOZO-le-CLOWN qui tiendra ses engagements et obtiendra le soutien et l’appui aveugle des titres regroupés au sein de leur groupe : « Le MONDE », « l’OBS », « La VIE », « COURRIER INTERNATIONAL », « HUFFINGTON POST », « LE MONDE DIPLOMATIQUE », « TELERAMA », « LES INROCKS », et de multiples investissements financiers dans quantité d’autres quotidiens, hebdomadaires et magazines.

Dans un système aussi bien rode et préparé, l’opposition éliminée par le PARQUET NATIONAL FINANCIER, l’invraisemblable grain de sable vint de la famille même, en la personne du fils naturel qu’il avait fait naître en politique,  pris sous son aile et protégé pendant toute adolescence, promu en lui confiant des postes ministériels importants, et qui, tel BRUTUS, le poignarda dans le dos dès la première occasion pour prendre la place paternelle ! …

Candidat du progressisme, profondément investi dans l’idéologie « woke » dans sa philosophie politique, et proche du mouvement LGBTQIA++ – (notamment des « drag queens » et des transgenres mis en vedette en toutes occasions) – il est Président de la République depuis le mois de mai 2017, avec l’actif soutien de Jean-Luc MELENCHON et de LFI  qui appelèrent à voter en sa faveur lors du second tour des présidentielles 2017 et 2022. Les lois de l’hérédité s’imposant, il a repris fidèlement l’indécision permanente qui servait de ligne politique à BOZO, qui d’ailleurs ne tarit jamais d’éloges en sa faveur : « Politiquement, [Emmanuel] n’est rien, il saupoudre une pincée de chaque couleur politique selon les jours, dans un savant dosage. Il ne croit en rien, il n’a aucune conviction »  ; et il salue de son inculture : « Il est plus Patrick Bruel et Eddy Mitchell que le Panthéon. […] Il n’est pas très cultivé, il a une culture populaire », n’hésite-t-il à généreusement qualifier l’homme et son action, admettant par ces compliments qu’il le reconnaît comme son héritier naturel, parfaitement fidèle à l’image de son mentor !
D’ailleurs, il n’est qu’à suivre son évolution dans la réalisation du rôle présidentiel pour constater son manque total de conviction et la souplesse avec laquelle il adapte son échine à toutes les situations ; arrivé triomphalement sur la pyramide du Louvre le 7 mai 2017, tel JUPITER toisant le monde du haut du Mont Olympe, il a humilié la Nation et la fonction  le 27 juillet 2024 lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, en s’affichant parmi ses amis « DRAG QUEENS » célébrant une « MESSE NOIRE » grotesque dans un décor représentant LA CENE de Léonard de Vinci. Des bureaux cossus et feutrés de la Banque ROTSCHILD à la scène du CABARET MICHOU, le temple des DRAG QUEENS et TRANSGENRES, quel parcours surprenant !

Depuis son investiture le 14 mai 2017, le fils prodigue dirige donc le pays avec arrogance et un mépris total pour les citoyens de ce pays, dont il a ouvert les portes à toute la misère du monde, n’ayant d’autre politique que d’accroître sans cesse les aides et subventions diverses pour créer un siphon d’aspiration qui a submergé le pays : 500.000 visas d’immigration légales délivrés en 2024, évaluation à 700.000 le nombre d’immigrés illégaux. Plus personne n’est expulsé de France, puisque pays maghrébins et sub-sahariens de l’Afrique de l’ouest humilient désormais quotidiennement l’ancien colonisateur, expulsé de ces pays où il avait été appelé comme sauveur face aux menées islamistes intégristes et ayant sacrifié en vain la vie de 53 de ses jeunes soldats pour leur permettre de survivre. Anciennes colonies qui rejettent et humilient la FRANCE, mais se nourrissant des subventions infinies qu’il déverse sur eux et leurs élites corrompues pour expier sa politique migratoire du 19ème siècle, dénoncée par o’Micron lui-même à la télévision algérienne comme un crime contre l’humanité qu’il appartient au pays d’expier pour l’éternité … et être remplacé sur place par une milice poutinienne russe, venue piller toutes les ressources minières et richesses naturelles avec la complicité de leurs élites corrompues.
Vendu par les médias « mainstream » lors de l’élection de 2017 comme le « Mozart de la Finance », o’Micron a totalement ruiné le pays, avec un budget en déficit de 3.100 milliards d’Euros, dont un tiers abondé par emprunt sur le marché international à des taux devenus les plus élevés du monde occidental, dépassant même ceux de la Grèce ! Submersion migratoire et « grand remplacement » de sa population par l’immigration maghrébine et africaine musulmane qui dicte désormais sa loi, disparition totale et recul invraisemblable sur la scène internationale, économie en ruine avec un déficit du budget public et un taux d’endettement invraisemblable – malgré les impôts et taxes qui en font le pays le plus taxé du monde ! -, que devront rembourser les générations futures, sacrifiant tout développement futur et condamnant la nation française à disparaître du concert des nations.
Là est la plus grande réussite des gouvernements progressistes qui tiennent le pays sous leur botte depuis 2012 : la constitution de la Vème République de 1958 est de fait abrogée, puisque ce sont les Juges qui dirigent et font la loi dans le pays, ayant placé sous tutelle pouvoirs exécutif et législatif. Comme l’avait prophétisé François Mitterrand président son dernier Conseil des Ministres en 1995 :  » Méfiez-vous des Juges ! Ils ont tué la Monarchie, ils tueront les République ! ».

Trente ans plus tard, l’œuvre de destruction est achevée ; progressistes wokes et bien-pensants autour de BOZO-le-CLOWN et son fils spirituel o’MICRON, indéfectiblement liés par leur pacte d’alliance diabolique pour la destruction de la FRANCE, sa disparition pour la fondre dans une nouvelle entité, est acquis. Le problème reste la nature de cette abstraction nouvelle  avec laquelle les cendres de la nation disparue doivent se fondre et fusionner : pour les progressistes wokes et homophiles, il s’agit  de l’Europe, rejetée pourtant par nombre de nations qui doivent la constituer ; pour MELENCHON et LFI, il s’agit d’une nation entièrement nouvelle, dont les habitants anciens doivent disparaître, pour laisser place à une nation créolisée, débarrassée des valeurs morales et de la notion de démocratie qui ont détruit l’ancienne, sous domination musulmane régie par la charia comme règle politique, morale et religieuse, qui devrait participer à terme à la grande révolution trotskiste internationaliste afin d’imposer, avec ou contre leur gré, à toute la population terrestre réunifiée le paradis sur terre : l’idéal communiste totalitaire !

Dans la situation fluctuante qui marque la huitième année du règne d’o’Micron, constatons que les principes mis en place par BOZO-le-CLOWN corsètent et étouffent la démocratie et imposent la totale domination d’une caste technocratique minoritaire, qui a aboli les règles constitutionnelle de la Vème République pour imposer ses volontés au travers une « dictature des Juges », totalement dominée par une mafia progressiste qui méprise le principe de souveraineté populaire, remplacé de fait par une aristocratie mafieuse  qui, au nom de sa supériorité intellectuelle supposée, substitue à la volonté populaire la défense et la préservation de ses propres intérêts.

L’alliance contre nature de l’exécutif, de la haute fonction publique,  de la justice et de la presse a assuré l’extinction de la Vème République ; la seule évolution depuis le terme du quinquennat de BOZO-le-CLOWN, c’est l’incroyable dégradation de l’information de service public, devenu organe de propagande officiel de la caste technocratique au pouvoir, notamment au travers d’émissions diffusées sur FR5, animées par le Fouquier-Tinville , accusateur public de la bien-pensance et principal pourvoyeur de la guillotine médiatique, Patrick COHEN sur « C A VOUS » ou ses éditoriaux matinaux sur FRANCE INTER ; ou, toujours sur FR5, les émissions du grand ami de BOZO-le-CLOWN, Karim RISSOULI avec « C POLITIQUE », « C CE SOIR », et pourquoi pas « C MEDIATIQUE » présenté par son épouse, Mélanie TARAVANT. Dans ce milieu, on est très « famille » puisque c’est le contribuable qui paie ! Sans aller jusqu’au grotesque Jean-Michel APHATIE, permanent du parti socialiste, présent quotidiennement pour promouvoir son courant de pensée sur le QUOTIDIEN très « woke » du couple Yann BARTHES / Laurent BON, et toujours volontaire pour intervenir sur les chaînes d’information ou donner son avis sur les réseaux sociaux.

Financé à hauteur de 4 milliards 1 sur le budget de l’Etat par le Parlement, le service public audiovisuel bénéficie en sus de revenus publicitaires, qui lui fournissent un avantage déterminant sur les chaînes privées, au financement limité à la seule publicité, ce qui rompt de facto le principe d’égalité dans la concurrence commerciale. Il faudra bien un jour dénoncer, pour les sanctionner, les auteurs de ces débordements qui ont transformé un service public d’information en organe de propagande et de police de la pensée, digne héritière du « RADIO PARIS » qui diffusait la propagande allemande dans la France occupée de 1940 à 1944.

  • Les Présidents de la République progressistes, en place depuis le mois de mai 2012, qui ont nommé le Président de l’ARCOM et par voie de conséquence les responsables des chaînes, avec mission de guider l’information de l’audiovisuel de service public sur la voie exemplaire de la propagande explorée et exploitée par le Ministre de la Propagande du Reich allemand, Josef GOEBBELS !
  • Les présidents de l’ARCOM, nommés par le Président de la République, Roch-Olivier DE MAISTRE, qui préside l’institution de 2019 jusqu’au 2 février 2025 ; mais le Président de l’ARCOM est un haut fonctionnaire, bénéficiant d’un statut financier de faveur et d’avantages matériels très importants, qui a rang de Ministre de l’Information et met en œuvre en matière audiovisuelle les instructions du Président de la République pour les décisions majeures, ou de membres de son Cabinet pour les affaires courantes. Il nomme donc le Président de FRANCE TÉLÉVISION et de RADIO FRANCE :
  • Pour FRANCE TÉLÉVISION, il a opté, suivant les instructions reçues de la Présidence, pour la très macronienne et obeissante Sophie ERNOTTE ! Progressiste, féministe et « woke » au dela du raisonnable, bien qu’Ingénieur des Telecoms ayant accompli toute sa carrière professionnelle à FRANCE TELECOM puis ORANGE, donc sans expérience de l’audiovisuel,  elle a été promue en 2015 à ce poste, et exerce depuis 10 ans. Un délai plus que raisonnable pour marquer l’institution publique de son empreinte !. Auditionnée sous serment par une commission d’enquête de l’Assemblée Nationale, elle a défini ainsi sa conception de l’information d’une chaîne publique : «  ON NE REPRESENTE PAS LA FRANCE TELLE QU’ELLE EST ! ON REPRESENTE LA FRANCE TELLE QU’ON VOUDRAIT QU’ELLE SOIT ! « .
    Qu’ajouter de plus ?
  • Pris en tenaille entre la direction de FRANCE TÉLÉVISION et la toute puissance des syndicats de gauche dont l’aval est indispensable à toute réforme, les directeurs de chaînes et de l’information sont assis sur des sièges éjectables ; leur durée d’activité sont trop brefs pour imprimer une marque, d’autant plus que pour la plupart ils ont exercé au sein de sociétés privées audiovisuelles, ou ils n’avaient pas fait preuve d’une complicité patente avec les pouvoirs publics.

 

Lorsque l’on s’intéresse à la manière dont sont produites ces émissions de propagande, on constate rapidement qu’elles sont toutes issues d’une société privée, qui les vend clés en mains, aux chaînes publiques, dont elle est semble-t-il fournisseur obligé et contractuel : la SOCIETE DE PRODUCTION MEDIAWAN.

 

espoir
« Je suis un mafieux ! Je ne crois qu’en ça ! »

« MEDIAWAN PROD » fabrique dans ses studios, avec les présentateurs et chroniqueurs qu’elle salarie, les émissions « C A VOUS », « C CE SOIR », « C POLITIQUE », « C MEDIATIQUE », « BEAU GESTE » etc … qu’elle vend, clé en main, aux chaînes de service public qui en assument la diffusion.
Ce groupe apparaît en 2015, et sa croissance est exponentielle – au pont de devenir le premier groupe de production européen, après absorption de  81 sociétés qui couvrent toute l’activité audiovisuelle : Production de fictions, cinéma et documentaires, Production d’animation, Distribution audiovisuelle, Chaînes de télévision (principalement issues de l’acquisition du groupe AB).
Et miraculeusement, au nombre des créateurs, on voit apparaître les mêmes investisseurs que ceux qui avaient repris la presse progressiste à la demande de BOZO-le-CLOWN, avec de juteux contrats en retour pour leur activité la plus lucrative :

 

 

  • Pierre BERGE était au nombre de ces investisseurs, avec Xavier NIEL et Matthieu PIGASSE évidemment. Malade, il assurera la présidence du Conseil de Surveillance de MEDIAWAN jusqu’à son décès en 2017 ; il sera remplacé à ce poste par un membre éminent de la « mafia », Pierre LESCURE, frère ultra-progressiste du ministre socialiste et macronien, lui-même ayant longuement dirigé le groupe CANAL PLUS voulu par MITTERRAND avec des subventions publiques,  et Président du Festival de Cannes jusqu’à l’édition 2022, et accessoirement chroniqueur quotidien de l’émission « C A VOUS » (aux côtés de Patrick COHEN !), ou « BEAU GESTE », sur FR2, consacré à sa passion pour le cinéma.
  • Au sein de la « mafia crapuleuse », c’est Pierre Antoine CAPTON qui a pris la relais de Pierre BERGE et qui dirige le groupe MEDIAWAN ; il était lui-même un producteur à succès, puisqu’il avait crée et développé la société TROISIEME OEIL, désormais intégrée au Groupe MEDIAWAN ; il est aussi impliqué dans le football professionnel, avec le Stade Malherbe de CAEN.
    Mais, au sein du groupe, il est surtout l’homme du Président o’MICRON, avec lequel il entretient des relations très étroites, depuis qu’il a réalisé au sein de l’équipe de campagne présidentielle de 2017 un film sur la campagne présidentielle du vainqueur. Dans l’intimité de son ami, il réalise également un film pour raconter – tel un mémorialiste de l’ancien régime ou un  PEYREFITTE auprès de DE GAULLE, ou un ATTALI aux côtés de MITTERRAND, un « verbatim » de la geste présidentielle durant ses deux quinquennats, de 2017 à 2027.
  • Du très socialiste Xavier NIEL, on sait combien sa collaboration avec le régime progressiste lui a permis d’accumuler une fortune, aujourd’hui estimée à 10 milliards d’$, qui en fait un des hommes les plus fortunés du pays.
    Si ILLIAD, la maison mère de FREE TELECOM, reste son domaine d’activité principal, il intervient comme chacun le sait dans la presse quotidienne avec LE MONDE, mais aussi dans l’immobilier avec de multiples investissements de grand prestige et donc dans la production audiovisuelle avec MEDIAWAN. Arrivé dans le monde des affaires avec l’exploitation du minitel « rose » et de « peep shows » parisiens,  qui lui valut une mise en examen pour proxénétisme aggravé et abus de biens sociaux, avec détention d’un mois à la prison de la Santé., l’entrepreneur a fait beaucoup de chemin et, par ses affaires et ses investissements, il a une influence majeure auprès des leaders progressistes, notamment la Maire de PARIS. Dépourvu de toute inhibition, il est aujourd’hui en conflit avec l’homme le plus riche du monde, le créateur génial Elon MUSK (400 milliards de $), qu’il a attaqué ainsi par voie de presse : « Je pense que c’est le plus grand entrepreneur du monde et, à côté de cela, un garçon qu’on peut qualifier au minimum de complexe et je peux utiliser un mot difficile, parfois un… connard. ». On appréciera la finesse et l’intelligence des griefs ; MUSK a évidemment répondu à cette attaque, en lui rappelant l’origine de sa fortune : « Ce type a été envoyé en prison pour «proxénétisme » …
    A la fois « coquin », NIEL a compris que le copinage avec les politiques progressistes était son plus sur moyen d’accroitre encore l’étendue de sa colossale fortune ; c’est pourquoi, comme le rapporte Boulevard Voltaire, il n’hésite jamais à en remettre une couche :  » Mais Xavier Niel, actionnaire du Monde, Télérama, Courrier international ou Le HuffPost, s’acharne à diffuser la bonne parole… progressiste, macroniste, européiste. « Xavier Niel n’a pour sa part jamais caché sa proximité avec Emmanuel Macron », écrit Le Monde, en 2021. « On est devenus copains », a-t-il confessé dans la presse, parlant de Macron. À Europe 1, en 2018, il avait exprimé sa distance vis-à-vis du pouvoir de son copain Macron, tout en nuances : « On a un super Président ! », lançait Niel !!!
  • Quant au troisième larron, le banquier énarque Matthieu PIGASSE, sa surface financière est évidemment beaucoup moins importante que celle de NIEL, mais il annonce clairement les objectifs qu’il a définis pour la presse qu’il controle directement (« Les Inrocks », « Radio Nova ») ou les sociétés de production où il possède une participation, comme MEDIAWAN  (Boulevard Voltaire) : « Matthieu Pigasse, comme Xavier Niel, part au combat contre les « méchants », ces médias si injustes envers les bienfaits de Macron et de la gauche mondialiste en général. Tremblez, Trump et Musk, il arrive ! Le 19 janvier, l’ancien banquier de Lazard gratifie  » X  » de trois messages guerriers : « Nous sommes entrés dans une guerre civilisationnelle. C’est ce gouvernement de la foule qui nous menace aujourd’hui, du pain et des jeux, populisme et démagogie, inculture et complotisme, libéralisme économique et conservatisme social, le tout mené par un petit groupe d’autocrates privilégiés. C’est contre cela qu’il faut mener le combat. Contre l’Internationale de la droite radicale et ses chiens de garde médiatiques. » À Libération, le mois dernier, Pigasse affirmait sa volonté de faire « l’union des sensibilités de gauche » : « Je veux mettre les médias que je contrôle dans ce combat, au service d’une conception ouverte du monde, progressiste », expliquait-il à nos confrères, avant d’ajouter : « Si vous regardez l’évolution de Radio Nova, c’est exactement ce que nous faisons, et ce que nous allons continuer à faire de manière de plus en plus forte. »

Et donc, au nom de ces principes, ce groupe d’investisseurs « mafieux » (comme se plaisait à nommer ses associés en affaires, feu BERGE), traite directement avec le pouvoir en place pour influencer et manipuler l’opinion publique au travers ses titres de presse et ses productions audiovisuelles. A titre de retour sur investissements, le gouvernement subventionne grassement ses titres de presse, sous perfusion du Trésor Public, et le service public achète ses productions de propagande, à des tarifs honteux, pour les diffuser sur ses antennes. Ainsi, vaches et cochons sont bien gardés, coquins et copains bien nourris. Tout le monde y trouve son compte et le système s’auto-alimente à l’infini  ;  à part le contribuable français, tous ses bénéficiaires de ce BIG BROTHER, machine à conserver le pouvoir, sont gagnants ! … et comme le dit BOZO : C’est pas cher, c’est l’Etat qui paie ! Et puis, l’ennemi principal, l’adversaire qu’il faut abattre, c’est le groupe fasciste d’extrême droite BOLLORE, ses chaînes TNT CNEWS et C8, sa radio EUROPE 1, et sa presse LE JOURNAL DU DIMANCHE ! Sus à eux, l’ARCOM doit les interdire … Et vive la liberté de la presse !

Conférence sur la sécurité à MUNICH : discours du vice-président américain, J.D.VANCE

A l’occasion de l’ouverture de la Conférence sur la sécurité, le 14.02.25 à MUNICH, le vice-président américain J.D.VANCE a prononcé un discours qui a choqué la social démocratie molle qui dirige le continent depuis Bruxelles. Il a tenu à rappeler que deux faits majeurs sur la situation européenne et ses relations communes avec les États-Unis le préoccupaient :

 » l’immigration de masse «  est le « sujet le plus important ».
 » La liberté d’expression «recule» en Europe, » .
Il a affirmé que l’administration de Donald Trump «se battra» pour «défendre» la liberté d’expression.  Plus que «la Russie», «la Chine» ou «un autre acteur externe», a-t-il dit, «ce qui m’inquiète, c’est la menace de l’intérieur, le recul de l’Europe par rapport à certaines de ses valeurs les plus fondamentales, valeurs partagées avec les États-Unis d’Amérique».

Au vu de l’appropriation orwellienne de la quasi totalité de la Presse, mais également des grands médias audiovisuels de service public par une élite technocratique progressiste, « woke » et le plus souvent sexuellement connotée LGBTQIA++, vu la manipulation de l’information par de pseudos-journalistes militants à l’exemple d’un Jean-Michel APHATIE ou d’un Patrick COHEN, vu la censure et la neutralisation par interdiction d’émettre par l’ARCOM de médias dont la liberté de ton disconvient au pouvoir en place, il est évident que la FRANCE officielle progressiste ne saurait être visée par de tels propos de bon sens !
D’ailleurs, la réponse de l’ultra technocratique Ministre français de l’Europe et des Affaires Étrangères Jean-Noël BARROT,  fut impitoyable de conformisme moral et de bien-pensance progressiste, puisque, après de longues réflexions, il osa répondre, sans esquisser le moindre sourire, sur les réseaux sociaux :

  • « la liberté d’expression est garantie en Europe », dans la mesure où elle est placée sous l’étroit contrôle des pouvoirs progressistes dominants, et impitoyablement régulée et censurée par ses chiens de garde, émanation d’un système mafieux sur lequel repose leur enrichissement par détournement de l’argent public.
  • « Quand on est sûr de soi et de ses valeurs, on ne se sent pas menacé par la critique. », surtout lorsqu’elle est criminalisée par un supposé « état de droit ! » émanation divine des doxas « woke » et « progressiste », impitoyablement réprimée de la peine de mort, non abolie pour les adversaires politiques.
  • « personne n’est obligé d’adopter notre modèle, mais personne ne peut nous imposer le sien », au sein d’une dictature de la pensée unique orwellienne, sous contrôle d’un « big brother » médiatique consubstantiel au pouvoir, déni de démocratie où l’aristocratie technocratique – au nom de sa supériorité intellectuelle supposée – s’est substituée au principe de la souveraineté populaire.