A écouter les discours alarmistes de certain chef d’état, (impossible d’y échapper tant le matraquage par les médias publics subventionnés et leurs alliés est intense), en grande difficulté intérieure, faisant état du danger mortel que représente pour la démocratie le résultat du vote des élections présidentielles américaines de novembre 2024 qui ont élu les candidats, qu’il qualifie avec mépris, de membres de « la nouvelle internationale réactionnaire ! », et du danger prégnant d’une troisième guerre mondiale avec invasion du pays par les chars russes positionnés à nos frontières, le pays est au bord de l’abîme. Ces messages sans cesse répétés et amplifiés par les chaînes audiovisuelles de service public et BFM TV, certains esprits purs et innocents pourraient logiquement s’inquiéter et éprouver de l’anxiété pour leurs proches !
Qu’ils ne le soient pas outre-mesure : c’est la réponse habituelle et indigne des progressistes, lorsqu’ils se trouvent en danger de perdre le pouvoir et tous les avantages dont ils se sont gavés jusqu’à l’indigestion, pour se relégitimer : lors des élections nationales, c’est l’appel usé jusqu’à la corde mais toujours tellement efficace au « front commun républicain contre le fascisme et le nazisme », avec neutralisation des adversaires politiques par le Parquet National Financier (crée à cette fin par TAUBIRA) dirigé et composé par des magistrats militants trotkistes du syndicat de la magistrature.
Pour le chaos qu’il a crée dans un pays rendu ingouvernable par son caprice de dissolution de l’assemblée nationale après le résultat décevant pour lui des européennes, il sort les gros sabots de la manipulation psychologique des foules au moyen de ce que les psychologues désignent sous le terme « d’effet drapeau ».
L’intelligence artificielle définit fort bien les ressorts psychologiques de cette manipulation, et les moyens de la mettre en œuvre ; notre « giton » présidentiel, « star » du Cabaret Michou, en suit les principes avec une étonnante servilité, sans introduire la moindre originalité, variante ou note personnelle.
Dommage qu’il nie toujours le vrai danger représenté par l’ALGERIE, le grand remplacement, les humiliations incessantes que ce pays nous inflige, telle la prise en otage d’un grand écrivain ou le refus d’accueillir sur son sol ses ressortissants placés sous OQTF en France ! Le dictateur TEBBOUNE, qui le dirige, a sans doute d’épouvantables secrets pour faire chanter notre « drag queen » nationale, qui s’aplatit encore et toujours ! Mais, c’est vrai, comme MELENCHON, « il ne saurait vivre dans un pays peuplé de blonds aux yeux bleus ; il préfère les arabes au teint olivatre ou les noirs d’ébène aux cheveux crepus », puisqu’il ne manque jamais de visiter les « boîtes » LGBT lorsqu’il se rend en Afrique, beaucoup plus à même de le satisfaire dans ses aspirations personnelles !
Le « modus opérandi » de cette vaste opération d’enfumage et de manipulation des esprits est ainsi présenté :
Lorsqu’un chef d’État dramatise une situation, cela peut déclencher un phénomène appelé « ralliement autour du drapeau » (rally ’round the flag effect). Ce concept désigne une tendance des citoyens à renforcer leur soutien envers leur dirigeant dans des moments perçus de crise ou de menace collective. Voici les principaux effets possibles :
- Renforcement de la légitimité : Face à une situation dramatique, les citoyens peuvent chercher un leadership fort et se tourner vers le chef d’État pour obtenir des réponses et une direction claire.
- Unité nationale : La perception d’une menace commune (qu’elle soit réelle ou amplifiée) peut inciter les individus à mettre de côté leurs différences politiques ou sociales pour se concentrer sur un objectif partagé.
- Mobilisation accrue : Un discours dramatique peut motiver les citoyens à s’engager activement, que ce soit à travers le soutien public, le volontariat ou d’autres formes de participation.
- Amélioration temporaire de la popularité : Les crises offrent souvent aux dirigeants une opportunité de se positionner en tant que protecteurs ou héros, ce qui peut temporairement augmenter leur taux d’approbation.
Dramatiser une situation pour provoquer un effet de resserrement peut être une stratégie puissante, surtout si elle est utilisée de manière intentionnelle et avec subtilité. Voici quelques techniques que vous pouvez adopter :
- Exagérer les enjeux : Présentez la situation comme un défi critique, une opportunité unique ou un risque important. Cela capte l’attention et pousse les individus ou les équipes à unir leurs efforts pour répondre à l’urgence perçue.
- Créer un sentiment d’urgence : Mettez en avant des échéances serrées ou des conséquences immédiates. Par exemple, « Si nous n’agissons pas maintenant, nous risquons de perdre notre avantage compétitif. »
- Utiliser des récits engageants : Créez une histoire émotionnelle autour de la situation, où les personnages, les défis et les enjeux sont magnifiés pour toucher directement les individus.
- Appeler à l’action collective : Appuyez-vous sur des valeurs communes ou un objectif partagé pour mobiliser et rapprocher les individus.
- Accentuer l’opposition externe : Identifiez une « menace » extérieure, qu’elle soit symbolique (comme la concurrence) ou concrète, pour inciter les gens à se regrouper et surmonter le défi ensemble.