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Le charme, le charisme, le rire effrayant d'Ersilia Soudais, député islamiste LFI, son alliée au sein du groupe NFP, constituent pour Bozo 🤡 un repoussoir idéal dans sa rivalité avec Melenchon pour la domination de l'extrême-gauche totalitaire !

L’oeil était dans la tombe et regardait Brutus !

Par les temps troublés que nous traversons, marqués par l’impuissance politique et la négation des principes constitutionnels dont la dissolution de l’Assemblée Nationale (en totale opposition avec la volonté du peuple français) a constitué le détonateur à l’été 2024, les incessantes et grossières manipulations orchestrées par l’exécutif pour reprendre en main la situation, en s’appuyant sur des médias asservis (presse subventionnée, audiovisuel de service public aux ordres et chaînes privées  muselées sous peine de non renouvellement de l’autorisation d’émettre [C8]), une justice administrative sous contrôle des technocrates énarchiques promus par le progressisme « woke » et une justice civile et pénale concédée à un syndicat trotskiste révolutionnaire (dont les représentants les plus éminents occupent les plus hauts rangs de la magistrature et président les hautes juridictions), le silence contre-nature du candidat le plus obnubilé par la prochaine présidentielle détonne !.
Il ne se manifeste qu’au travers un mutisme sidérant vu le personnage (bien qu’élu député NFP et allié de LFI à l’AN,  il ne participe à aucun débat et est systématiquement absent lors de tous les votes importants). Seuls l’activisme désordonné de son épouse, l’actrice Julie GAYET, (pour les actions en faveur des immigrés maghrébins et africains en situation irrégulière,  la production de films et séries audiovisuelles, largement financées par l’argent public avec les avances du CNC et la coproduction du service public audiovisuel) rappellent à quel point il a institué le « népotisme » en règle de gouvernement durant son règne, et ses apparitions dans la presse de caniveau pour entretenir les « sans dents » des difficultés liées à sa ménopause, remémorent à quel point il est toujours présent dans la sphère des médiocres ambitieux et intrigants politiques qui privilégient leur ambition et leurs intérêts personnels à celui de la Nation.
L’ombre, c’est vrai, n’est pas son biotope naturel ! Lui, c’est un animal à sang chaud ; pour exulter et se retrouver pleinement, il éprouve le besoin vital de resplendir tel les gemmes scintillantes dans l’obscurité de la mine, le diamant miraculeusement extrait par des enfants esclaves de la fange hostile  des sous sols colombiens ou d’Afrique du sud. Il est lumière éblouissante, doux soleil protecteur,  thérapeute divin des corps, des âmes et des esprits, guignol insurpassable des troisièmes mi-temps de rugby, auguste et inégalable « con » des raouts de clôture des grandes conventions politiques, fêtes de la rose ou autres festivals internationaux de musique,  de cinéma, voire de bande dessinée !
Il est né exhibitionniste, désinhibé, dans cette Normandie qui a recueilli chaleureusement son rival immigré « La Merluche »  (alors âgé de 11 ans) et sa Mère en 1962,  lorsqu’ils durent quitter leur patrie de cœur, le Maroc ; asile auquel il rend un vibrant hommage et dont l’expérience a traumatisé sa vie puisque son souvenir semble encore nourrir sa haine contre la France :

« Je ne supporte pas de vivre autrement que dans un endroit où les gens ne sont pas mélangés … Je ne peux pas survivre quand il n’y a que des blonds aux yeux bleus … C’est au-delà de mes forces. Je suis arrivé en France à 11 ans ! On a découvert un coin perdu de Normandie, le pays de Caux, où les gens n’avaient jamais vu personne ! Où, hélas pour eux, les malheureux souffraient d’un alcoolisme épouvantable ; moi, de ma vie, je n’avais jamais vu un homme ivre dans la rue ! Vous imaginez, au Maroc, cela n’existe pas ! Donc, nous étions consternés ! Personne ne parlait aucune espèce de langue étrangère ; la France des campagnes était extraordinairement plus arriérée que le Maroc des villes : Casablanca était une ville beaucoup plus moderne que Clermont-Ferrand … »

Il a besoin de lumière et de chaleur  pour se montrer, paraître, éblouir, parader, se pavaner sur les tapis rouge et s’afficher complaisamment et sans pudeur, dans le crépitement des flashs, sous les projecteurs et l’indiscrétion des caméras,  propulsé dans un état d’épectase transcendantale par l’exaltation jouissive à parler de « SA » personne, commenter ses pensées, ses sentiments, ses analyses , accabler ses adversaires, magnifier ses maigres réussites et surtout justifier ses errements, ses mensonges, ses manipulations des règles démocratiques et des électeurs, tout ce qu’il s’était engagé à faire et n’a pas fait, le bilan désastreux et létal pour le pays de ses cinq ans de présidence placés sous le signe du « Moi, je ! », de l’impuissance bouffonne, de l’inaction molle et de la pluie !

 

Et tapi dans l’ombre, veille le Clown maléfique 🤡 !

Bozo en feu !

Il est allergique au « monde du silence », pour lequel il ne nourrit que répulsion et rejet ! Bien qu’il n’ait le plus souvent rien d’intéressant à dire, il faut qu’il s’exprime et donne son avis, même sur les sujets anodins qui lui sont totalement étrangers et indifférents. C’est un bonheur divin qu’il éprouve,  lorsque devant Yann BARTHES, sur le plateau de QUOTIDIEN, Jean-Michel APHATIE lui glace délicatement les chaussures et annonce qu’il sera le prochain président de la République ; lorsque Patrick COHEN, devant la dinde Anne Elisabeth LEMOINE, sur le plateau de « C A VOUS » produit par MEDIAWAN, lui enduit le corps d’huile douce et masse délicatement la plante de ses pieds en évoquant sur un ton suave les projets grandioses qu’ils mèneront de concert lors de son prochain quinquennat ; lorsque ses fidèles Karim RISSOULI ou Thomas SNEGAROFF, toujours produits par MEDIAWAN sur le service public, invitent sur leurs plateaux des invités dévoués à sa cause, tel Benjamin STORA – le commissaire politique des trotkistes-lambertistes – qui revisitent l’histoire à sa gloire, notamment la totale soumission au régime dictatorial algérien, devenue constante de la diplomatie française ; ou lorsque Alah Salame, et son complice donneur de leçons, Christophe Dechavanne, sur le plateau de QUELLE EPOQUE – éructent contre la droite et l’extrême droite fasciste, en affirmant qu’il fut le meilleur Président que la Vème République ait connu !
Et bien oui, porté par un tel enthousiasme, une telle idolâtrie,  sur les médias de service public et dans la presse « libre » mais en faillite, qu’il a sauvée en la faisant subventionner par le contribuable français, il lui est difficile de demeurer dans l’ombre anonyme et de ne pas se faire remarquer !

Mais prudence, réalisme et maturité doivent guider la campagne du futur Président de la République ; il doit en permanence veiller à ce que son enthousiasme et son exhibitionnisme démonstratifs ne viennent contrarier des plans de conquête aussi minutieusement préparés et ne l’amènent à commettre des bévues qui pourraient être dommageables à l’avenir radieux promis par APHATIE, COHEN, SALAME et DECHAVANNE : au mois de juin 2024, au mépris de tous ses principes politiques et moraux, il a abjuré sa foi en la social-démocratie molle et fait allégeance à Jean-Luc MELENCHON et sa maîtresse Sofia CHIKIROU afin de concourir sous le sigle « NOUVEAU FRONT POPULAIRE », sans lequel il n’avait aucune chance d’être élu député de la 1ère circonscription de la Corrèze. C’est vrai que ce nouveau titre ne lui rapporte rien d’autre que de nouvelles indemnités qui accroissent ses 66.000€ de droits à pensions de retraite, et qu’il s’en désintéresse totalement, ne siègeant que rarement sur les bancs de l’assemblée nationale où, pourtant, il a la chance de cotoyer au sein du même groupe parlementaire la poissonnière du vieux-port, Mathilde Pannot ; Manuel Bompard, l’Iznogoud de LFI, qui a théorisé le dogme politique révolutionnaire de son parti, résumé par ce commandement : « Le vote n’est pas forcément l’alpha et l’oméga de la démocratie. L’objectif c’est d’être le plus efficace possible ».
Et puis, quel plaisir de siéger désormais sur les mêmes bancs que les jeunes conventionnels montagnards de LFI, les porteurs d’abêtissement – de régression et d’abaissement que sont Louis BOYARD, le narco-trafiquant ; Raphaël ARNAULT, le créateur et chef de la milice « black-bloc » d’extrême-gauche « Jeunes Gardes » ; le remarquable chauffeur de taxi, videur de discothèque Sébastien DELOGU, qui a su démontrer que malgré son handicap intellectuel et son illettrisme, chacun pouvait trouver sa place au sein de la gauche française ; et tant d’autres spécimen rares, comme le pédéraste Antoine LEAUMENT (Antoinette, comme le nomme plaisamment MELENCHON), l’obèse islamiste Ersilia SOUDAIS au rire effrayant, ou le grotesque Thomas PORTES, pur produit du syndicalisme cheminot le plus obtus et bête ! Et quels regrets de ne pouvoir côtoyer sur ces mêmes bancs des phares de la pensée, telles la palestinienne Rimah HASSAN ou la ménagère de 35 ans, Manon AUBRY, qui  distillent leur venin mortel à Bruxelles !

Une discipline spartiate

  • Définition du but et élaboration d’une stratégie finement ciselée : Le but ultime depuis le mois de mai 2017, celui qui nourrit cet activisme compulsif qui renverse tous les obstacles et emporte préjugés et principes moraux, est bien évidemment la reprise du pouvoir dont il a été spolié par traitrise et coup de dague dans le dos porté par le fils naturel indigne élevé et nourri en son sein ; et bien entendu, se venger et faire payer au traitre et à tous ses complices cet assassinat d’une âme pure et désintéressée.
    Pour quel programme ?
    Mais il n’y en a pas, pas plus qu’il n’en existait en 2012 : mais attirer quotidiennement l’attention des médias, parader sous les crépitements des flashs et les projecteurs des caméras sur les plateaux de télévision servi par des serpillières gorgées de miel et de sirop d’orgeat  (bio-équitable !) , comme APHATIE, COHEN, BARTHES, Benjamin DUHAMEL ou Alah SALAME, n’est-ce pas le comble du bonheur terrestre pour un homme normal, déstructuré  (il fait le ménage, les courses et la cuisine) et simple ?
    La tactique suivie comporte plusieurs phases : faire l’unanimité à gauche pour être populaire en vue de sa qualification aux second tour de l’élection présidentielle. Cet objectif est atteint puisqu’il est le représentant « Nouveau Front Populaire » avec son élection comme député de la 1ère circonscription de la Corrèze, soutenu unanimement par l’extrême-gauche islamiste antisémite de LFI aux forces wokistes macronistes, via le Parti Socialiste et les Ecologistes, regroupés autour de lui. Cette union des forces progressistes totalitaires racistes et anti réactionnaires doit le porter à la présidence de la république en 2027.
    Mais pour cela, il doit reconquérir et assujettir le Parti Socialiste, en éliminer les dirigeants actuels et les remplacer par ses hommes de main ; l’affaire est en bonne voie, du fait de l’impopularité du premier secrétaire actuel, Olivier Faure, tellement veule dans sa soumission à LFI et son silence devant toutes ses dérives antisémites, qu’il dégoûte même ses plus chauds partisans. Nicolas Mayer-Rossignol, maire de Rouen, devrait lui succéder au prochain congrès : et Mayer-Rossignol est son homme, et ne manquera pas de le soutenir dans sa désignation de candidat social-démocrate à la Présidentielle !
    Du fait du caractère suicidaire de MELENCHON, candidat de l’extrémisme antisémite islamo-woke, il arrivera sans nul doute en tête des candidats de gauche au premier tour, et seul représentant des progressistes au second : alors se déclenchera l’habituel appel au rassemblement de toutes les forces dites de « l’arc républicain » contre l’arrivée au pouvoir d’une présidente fasciste, et l’habituel effet « drapeau » théorisé par Mitterrand, qui le portera à la présidence pour cinq ans.
    (à suivre …)
  • Ne pas se mouiller : discrétion médiatique
  • De rares interventions ciblées pour continuer d’exister
  • Polariser les médias sur la vie privée du couple : le rôle de Julie :
    — production de films avec l’argent public
    — la vie privée avec l’affirmation sans cesse assénée que l’homme normal est déstructuré, qu’il fait le ménage, les courses et la cuisine
  • Nourrir son ambition sans borne par l’esprit de vengeance !

« L’oeil était dans la tombe et regardait Brutus. »

Victor Hugo : « La conscience »
in « La légende des siècles » « Hetzel Editeur », 1859 p.15 à 18.