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Ayant, entre autres, hérité du surnom de « L’INCRUSTE » tant sa présence obsédante sous les flashes des « tapis rouges » de tous les événements mondains où se produisent les intermittents du spectacle subventionnés par l’État et les Ministre de la Culture progressiste qui n’ont d’autre moyen de rappeler le bilan d’une oisiveté ministérielle à électroencéphalogramme plat, FLANBY n’apparaît désormais plus que dans les revues « people » en tant qu’accompagnateur de la productrice et actrice Julies GAYET, toujours puissamment associée au CNC et aux très généreuses subventions publiques versées pour ses productions cinématographiques,  ou dans l’actualité médiatique par la vente de la maison acquise dans le Xème arrondissement de Paris il y a quelques mois, revendue avec une juteuse plus-value immobilière !  Il n’a pas précisé si le monde de la finance était toujours son irréductible adversaire, mais pour des ennemis, ils semblent réconciliés tant ils collaborent très efficacement à son enrichissement personnel par des voies bien éloignées de la sueur du travail manuel. D’autant plus que l’assiduité, durant toute sa carrière, à réaliser un cumul étonnant de retraites multiples (notamment, retraite pleine de la Cour des Comptes dont il n’avait été Magistrat actif que durant trois ans) prouve à quel point cet « homme de gauche », héritier de Jaurès, Blum et Mitterrand, a toujours gardé un respect infini pour l’argent, le luxe et l’accumulation des richesses et des biens.
Bien que toujours disponible pour commenter sans fin l’actualité politique, critiquer ses adversaires, et se présenter comme le « sauveur » ultime pour un pays en décomposition sous les assauts de l’extrême-droite fasciste, antisémite, raciste et homophobe, force est de constater que son avis n’intéresse plus personne et que son omniprésence médiatique est malaisante, tant l’évocation de son nom, son élection à la magistrature suprême, ses mensonges, son inaction et son bilan affligeant constituent un affront à l’honneur du pays qui l’a élu et prêtent tout au plus à sourire et au ridicule tant il est synonyme de naufrage national et international.
Mais nul ne saurait ignorer que si les seuls marqueurs attachés à son magistère sont particulièrement douloureux et humiliants pour le pays, il a structuré et laissé en héritage des règles qui corsètent,  étouffent voire faussent et manipulent le libre débat démocratique, désormais limité à l’expression d’une seule famille de pensée au service des intérêts d’un clan mafieux, prétendument progressiste, et frappant d’infamie, voire d’ostracisme et de condamnation judiciaire toute opinion dérogatoire à la vérité officielle. Les moyens mis en œuvre sont désormais bien connus :

• mise sous tutelle de la presse en faillite, maintenue en vie et fonctionnarisée par les subventions publiques et placée sous tutelle d’intérêts liés au pouvoir, qu’ils viennent du monde social avec les lobbies LGBTQIA++  et pédophiles, (proches et financiers du pouvoir, rétribués par la légalisation forcée du « Mariage pour tous », de la « Procréation Médicalement Assistée » et à terme la « Gestation pour Autrui »), ou du monde industriel et économique avec le soutien étatique apporté aux grands groupes de téléphonie mobile (BOUYGUES – FREE –  SFR) dans l’attribution des fréquences en échange de leur prise en charge pour le pouvoir des grands titres en difficultés financières ; et de l’audiovisuel, avec un service public totalement asservi où n’opèrent que journalistes, chroniqueurs et autres commentateurs dûment labellisés pour leur engagement politique « progressiste », leur militantisme, voire plus simplement mutés de leur ancien poste de permanent du PS pour continuer leur propagande, comme Jean-Michel APATHIE ;
• assujettissement des  Justice civile, pénale et administrative à travers la nomination, par Mme TAUBIRA, de Magistrats trotskistes extrémistes,  militants du Syndicat de la Magistrature, à tous les postes clés de la Chancellerie et des Cours de Justice pour mener le combat contre ses adversaires ou rivaux politiques et les neutraliser, faussant – par leurs initiatives partisanes -, la libre expression d’un débat démocratique ;
• et bien sûr en accroissant,  par la signature de traités internationaux supérieurs au droit national, la soumission du pays à des règles édictées par des autorités technocratiques supranationales non élues et non soumises à une quelconque sanction électorale !.

Malgré ce bilan dévastateur, les structures et dirigeants qu’il a mis en place pour diriger la presse et le monde audiovisuel, les responsables de chaînes, les producteurs et animateurs dévoués sa personne qu’il a imposés, sont désormais parfaitement installés et, avec l’aval de son successeur et héritier politique, manipulent sans la moindre pudeur le corps électoral en militant en faveur du clan progressiste, dont ils sont l’émanation,  avec tous les moyens techniques et financiers dont l’État les a pourvus pour accabler, détruire voire neutraliser tout adversaire potentiel et imposer leur domination à l’opinion publique.

 

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FLANBY est donc maître des plateaux de télévision, et paraît lorsqu’il le souhaite pour commenter son actualité et son affligeante oisiveté, indiquer la voie à suivre aux dirigeants nationaux et internationaux qui n’en ont courre !.
Après le « pogrom » du 7 octobre en Israël, et les actes terroristes avec actes de torture, assassinats programmés et enlèvements criminels d’enfants et de femmes perpétrés par le mouvement HAMAS contre les citoyens israéliens, il se devait de livrer son analyse et donner les clés diplomatiques pour régler le situation ; c’est une heure complète pour s’exprimer qui lui a été offerte par la chaîne LCI (chaîne d’information privée du groupe BOUYGUES qui a gagné son accès à la libre diffusion nationale sous son mandat), pour faire effondrer des audiences déjà peu flatteuses.